A peine nous connaissons-nous que tu l’as enfoncée en moi, soulevée dans le noir. Puis tu la regardes - c’est dehors – avant de la lécher – c’est dedans.
Ce que tu fais. Je te respecterai toujours.
La main qui écrit est seule
Et celle qui te caresse ?
Mon sang coule d’abord sur tes doigts.
J’aime tant te dire que je t’aime que lui aussi.
Ou de jalousie je me cache la figure.
Ne t’appuie pas sur les fantômes, viens tout seul.
Sexe vivant. Il mérite des baisers de tous les côtés.
Tu trouves que je pleure trop. Tu trouves qu’on est heureux. ( Ceci n’étant qu’une phrase pour en faire deux.)
Ta joue reposant sur mon sexe, c’est ton regard vers moi qui ne s’écrira jamais.
La main toute nue.
Tu ne veux pas trop, et tu veux tellement longtemps.
Sans me quitter des yeux tu remontes.
Ton épaule est mouillée.
Je t’avais tutoyé d’un seul coup.
La gifle sans l’horreur.
J’embrasse ta bouche, tes lèvres, ta bouche, tes lèvres.
Tant que tu n’es pas parti je ne ferme pas les yeux. Tu ne pars pas sans me caresser la tête. Un moment
La couronne qui empêche de pleurer.
Le oui, le tien,
Répété jusqu’au ventre.
Pas d’enfant. Mais nous qui commençons.
Tout devient croyable.
Nus.
Une main, la tienne – belle – sur un ventre, le mien – heureux.
J’écris plus fort que me souvenir.
Je suis ici, ici tu peux.
genre:ados enfant
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