Quand à peine vêtue d’un léger tissu
laissant deviner tes seins d’albâtre,
Un léger bas recouvrant tes jambes nues
Cachant à peine ce feu de l’âtre.
sous la mousse tendre
sommeille un brasier,
Comme un volcan encore en cendre
Qui ne fait que somnoler.
De mes doigts j’entrouvres
Avec délicatesse tes dentelles,
J’humes et je découvres
Ces arômes naturels.
Grande est ma tentation
Ou je ne peux résister,
Sous le feux de l’action
De ma bouche et le savourer.
Dans cette fontaine de jouvence
je m’abreuves de cet élixir,
ou le nectar est en abondance
Entre ce mélange de désir et plaisir.
genre:erotique
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