Douce nuit,
Quand la nuit s’introduit, quand le noir envahit
Les rues et les routes de ma capitale,
Quand le jour s’est enfuit, quand le blanc est haï,
Lieux de déroute et pourtant vitale.
Sortons et profitons de cette liberté,
Qui chaque semaine nous est presque ôtée
Pour prendre position, nous laisser emporter,
Filons ! Quelle aubaine ! Mettons tout de côté.
Tout début a sa fin, il faut se raisonner,
Le sommeil arrivé, nous devrons nous rentrer,
Plonger dans un couffin, abris du nouveau-né,
Se laisser dériver, dans le lit se vautrer.
A présent nous partons dans nos rêves et pensées,
Il est temps de passer à la douceur des draps,
Enrobé de coton, sentiments vont danser,
De baisers embrassé avec maestria…
genre:autre
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