Bébé j'aimais beaucoup regarder les yeux
J'aimais y voir leur profondeur
J'aimais y voir leur diversité de couleurs
Puis un jour on m'a menacé
On m'a obligé à regarder des yeux
Quand j'ai regardé ces yeux
On a commencé à me maltraiter
Depuis ce jour
Je n'arrive plus
A regarder les yeux
De personne
Je me force pourtant
Mais rien a faire je bloque vraiment
J'aimerai pouvoir un jour
Regarder à nouveau
Les yeux de tout ceux
Que j'aime et que j'apprécie
genre:declaration d'amour
samedi 26 juin 2010
Mon Filleul
Tu es né un jour de Mai.
Et déjà tout le monde t'aimait.
Tes Parents mon choisi comme Marraine.
Et j'ai été touchée au plus profond de moi même.
Je t'aime plus que tout.
Et pour toi je ferrais tout.
Tu es l'enfant de ma Sister.
Et tu es toujours dans mon coeur.
Tu es en quelque sorte mon petit prince.
Mon filleul pour qui je serais toujours là.
genre:amour
Et déjà tout le monde t'aimait.
Tes Parents mon choisi comme Marraine.
Et j'ai été touchée au plus profond de moi même.
Je t'aime plus que tout.
Et pour toi je ferrais tout.
Tu es l'enfant de ma Sister.
Et tu es toujours dans mon coeur.
Tu es en quelque sorte mon petit prince.
Mon filleul pour qui je serais toujours là.
genre:amour
Ce passé
Parfois le matin je me lève.
Je me demande ce que je fous là.
Et je le dis putain Rasta.
Faut que ton esprit prenne une trêve.
Que tu arrête de réfléchir et de penser.
Essaye d'avancer malgré ce putain de passé.
Qui malheureusement est toujours présent et que tu ressens.
En permanence par ces flashs de merde.
Essaye d'avancer en pensant au présent.
Mais rien à faire je n'arrive pas à vivre avec.
Et au plus le temps passe.
Au plus je me dis que je dois vivre avec.
Mais là pour le moment.
Je m'en sens plus capable.
Je n'en peu plus de vivre tout le temps.
Avec ce passé que je porte comme un cartable.
Alors je pense à le déposer.
Alors je pense à mettre un terme.
A devoir subir ce passé.
Je souhaite que mes yeux se ferment.
Et qu'ils ne s'ouvrent plus jamais.
Afin de pouvoir enfin reposer en paix.
genre:tristesse
Je me demande ce que je fous là.
Et je le dis putain Rasta.
Faut que ton esprit prenne une trêve.
Que tu arrête de réfléchir et de penser.
Essaye d'avancer malgré ce putain de passé.
Qui malheureusement est toujours présent et que tu ressens.
En permanence par ces flashs de merde.
Essaye d'avancer en pensant au présent.
Mais rien à faire je n'arrive pas à vivre avec.
Et au plus le temps passe.
Au plus je me dis que je dois vivre avec.
Mais là pour le moment.
Je m'en sens plus capable.
Je n'en peu plus de vivre tout le temps.
Avec ce passé que je porte comme un cartable.
Alors je pense à le déposer.
Alors je pense à mettre un terme.
A devoir subir ce passé.
Je souhaite que mes yeux se ferment.
Et qu'ils ne s'ouvrent plus jamais.
Afin de pouvoir enfin reposer en paix.
genre:tristesse
Ondée ...
Un amour fait de pluie, un amour fait de rêves
Qui traverse le temps et brave la tempête,
Des heures qui s’égrènent, ne laissant nulle trêve
À nos cœurs palpitants d’espoirs que rien n’arrête…
Combien de gros chagrins avons-nous vus venir ?
Mais aussi de bonheurs qui entraînent les rires,
Combien de ces clichés faits pour le souvenir
Avons-nous engrangés pour nos jours de délire ?
Petits ou grands plaisirs, douces nuits de romances,
Autour d’un feu joyeux grisés par le désir,
Larmes coulant amères de nos yeux en partance
Sur un quai, un oubli effaçant l’avenir…
Le retour imprévu alors qu‘on désespère
Et les bras qui se nouent impatients, affamés,
Une robe qui glisse au sol et le mystère
De cet acte charnel où s’imprègne le vrai…
Mes cheveux sur ta peau, tes lèvres sur ma bouche…
Alors, dans la tiédeur, savourer l’infini,
Voir l’eau sur ton dos nu coulant après la douche
En mille gouttelettes comme tombe la pluie…
Le vent peut bien souffler, la neige se poser,
J’ai chaud tout contre toi et je sais que l’hiver
Passera sur nos têtes sans troubler ces années
Car tu es mon aimé, celui par qui j’espère…
genre:tristesse
Qui traverse le temps et brave la tempête,
Des heures qui s’égrènent, ne laissant nulle trêve
À nos cœurs palpitants d’espoirs que rien n’arrête…
Combien de gros chagrins avons-nous vus venir ?
Mais aussi de bonheurs qui entraînent les rires,
Combien de ces clichés faits pour le souvenir
Avons-nous engrangés pour nos jours de délire ?
Petits ou grands plaisirs, douces nuits de romances,
Autour d’un feu joyeux grisés par le désir,
Larmes coulant amères de nos yeux en partance
Sur un quai, un oubli effaçant l’avenir…
Le retour imprévu alors qu‘on désespère
Et les bras qui se nouent impatients, affamés,
Une robe qui glisse au sol et le mystère
De cet acte charnel où s’imprègne le vrai…
Mes cheveux sur ta peau, tes lèvres sur ma bouche…
Alors, dans la tiédeur, savourer l’infini,
Voir l’eau sur ton dos nu coulant après la douche
En mille gouttelettes comme tombe la pluie…
Le vent peut bien souffler, la neige se poser,
J’ai chaud tout contre toi et je sais que l’hiver
Passera sur nos têtes sans troubler ces années
Car tu es mon aimé, celui par qui j’espère…
genre:tristesse
Mutine ...
Mon chéri, je veux que tes lèvres
Sur les miennes viennent poser
Un baiser qui donne la fièvre,
Un baiser couleur de l’été..
Mon ami, je veux que ta bouche
Murmure des mots de passion.
De ceux qui font que l’on se couche
Dans un lit, comme un papillon…
De tes doigts au plaisir fugace
Je saurai me rassasier
Et mon cœur gardera la trace
De ces écrits si parfumés…
Dans tes yeux aux humeurs câlines,
L’amour viendra pour m’enchanter
Et les fées qu’en eux je devine
Sauront me faire succomber…
Lovés dans un champ couleur tendre,
Tu troubleras mes interdits
Et ta bouche qui sait s’y prendre
Mettra un point sur ces non-dits…
genre:autre
Sur les miennes viennent poser
Un baiser qui donne la fièvre,
Un baiser couleur de l’été..
Mon ami, je veux que ta bouche
Murmure des mots de passion.
De ceux qui font que l’on se couche
Dans un lit, comme un papillon…
De tes doigts au plaisir fugace
Je saurai me rassasier
Et mon cœur gardera la trace
De ces écrits si parfumés…
Dans tes yeux aux humeurs câlines,
L’amour viendra pour m’enchanter
Et les fées qu’en eux je devine
Sauront me faire succomber…
Lovés dans un champ couleur tendre,
Tu troubleras mes interdits
Et ta bouche qui sait s’y prendre
Mettra un point sur ces non-dits…
genre:autre
amour d'enfant
Mon cœur est à l’orage
Parsemé de doutes et de peur
Mais que dois-je faire ?
Moi qui n’as jamais
Connue ma mère
Comment pourrais-je
Un jour en devenir une ?
Au fond de mon cœur
Je sais que je te veux
Toi, si petit
Tu bougeras en moi
Et je ne pourrai
M’empêché de t’aimer
Et de te chérir
Car tu m’apporteras
Enfin le bonheur
Que j’ai longtemps attendue
genre:desespoir
Parsemé de doutes et de peur
Mais que dois-je faire ?
Moi qui n’as jamais
Connue ma mère
Comment pourrais-je
Un jour en devenir une ?
Au fond de mon cœur
Je sais que je te veux
Toi, si petit
Tu bougeras en moi
Et je ne pourrai
M’empêché de t’aimer
Et de te chérir
Car tu m’apporteras
Enfin le bonheur
Que j’ai longtemps attendue
genre:desespoir
mon père mon sauveur
Tu m’as aidé à grandir,
A grand éclat de rires.
Tu m’as soulagé
De cette souffrance
Où je m’étais enfermé !
Tu m’as offert une délivrance
Moi qui est perdu ma mère.
Tu étais là pour me soutenir
Et me guide dans les moments difficiles.
Même si devant moi
Tu n’as jamais reconnu ta souffrance.
Tu es mon père
Et je sais au fond de moi
Que tu m’as sauvé !
De cette détresse dans laquelle
Je m’étais enfermée malgré moi.
Pour moi tu es et tu resteras
Mon Père, Mon Sauveur
genre:tristesse
A grand éclat de rires.
Tu m’as soulagé
De cette souffrance
Où je m’étais enfermé !
Tu m’as offert une délivrance
Moi qui est perdu ma mère.
Tu étais là pour me soutenir
Et me guide dans les moments difficiles.
Même si devant moi
Tu n’as jamais reconnu ta souffrance.
Tu es mon père
Et je sais au fond de moi
Que tu m’as sauvé !
De cette détresse dans laquelle
Je m’étais enfermée malgré moi.
Pour moi tu es et tu resteras
Mon Père, Mon Sauveur
genre:tristesse
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