Claire, tire la moi plus fort.
J'aime ta main qui l'agite,
Ta bouche qui me la tord,
Ton vagin qui est son gîte.
Il en est un moins fréquent
Où cela fait encore plus mal.
Quand j'y monte le camp,
Je me sens à fond de cale.
Mais c'est vraiment trop bon
Pour s'en passer comme du reste.
Il est une demeure sans fond
Qui apparaît entre deux pans de veste.
On s'y frotte avec ardeur
Même s'il manque des ouvertures,
D'ancestrales qui menaient au coeur
Pour qui triomphait de l'impur,
Dans ton décolleté, se cache-t-il
La voie généreuse d'un retour brutal
Aux frontières où l'homme futile
Se promet une liaison fatale.
Il orchestre à sa manière,
Flattant les étendues de chair
Pour combler tes zones érogènes
Et user les postes à galène.
Toujours à t'imaginer perchée
Que tu sois verte ou bien mûre.
Qu'importe si ton embouché
Se pratique sans ouverture.
Qu'est-ce en fait de pratiquer
Un chenal là où d'autres passent.
Distribuer de savants bouquets
Aux quatre coins de ta carcasse.
genre:erotik
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