Dans le jardin, parmi les roses,
L'herbe est si verte et douce et tendre
Que j'aime, nue, à m'y étendre
Quand mon Maître, assis se repose.
L'herbe est si douce et tendre et verte
Que pour mériter sa clémence
J'implore sa mâle impatience
Langue sortie et bouche ouverte.
L'herbe est si verte et tendre et douce
Que sa liqueur m'enivre un peu
Lorsque sa main dans mes cheveux
M'attire à lui et me repousse.
Dans le jardin sous un vieux chêne
Où mon Maître aime à rêvasser,
Je peux aussi me délasser
Pendue au tronc par une chaîne.
Car mon seigneur parfois m'attache
Pour caresser mes charmes nus,
Mes reins offerts, mes seins menus,
Du cuir brûlant de sa cravache.
Quand il a fait couler mes pleurs,
Quand il m'a fait crier assez,
Mon Seigneur aime à rêvasser
Dans le jardin parmi les fleurs.
Dans le jardin parmi les fleurs,
Outre le chêne au tronc énorme
Il est un charme et un vieil orme,
Chacun d'entre eux a ma faveur
Quand enchaînée à l'un des trois,
Les seins écrasés sur l'écorce,
Je m'offre au Seigneur qui me force
Malgré mes cris au plus étroit.
Et j'aime assez, je le confesse
La mâle étreinte qu'il m'impose
Dans le jardin parmi les roses
En s'enfonçant entre mes fesses.
genre:sex
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