Parfois pour quelques jours, quand mon maître s'absente,
Il me donne à garder à un petit marquis
Qui possède un domaine aux tourelles charmantes,
Entouré de hauts murs à coté de Roissy.
Le plaisir de cet homme amoureux de peinture
Est de réaliser des tableaux décadents,
De peindre des corps nus en obscènes postures
Et je sers de modèle à ses jeux innocents.
Les toiles qu'il accroche aux murs de l'atelier
Montrent chaque détail de mon corps grand ouvert,
Mon sexe lisse et doux, lèvres entrebâillées
Et l'ourlet mauve et rond de mon anus offert.
Il ne se sert jamais de mon obéissance
Et n'utilise pas mon corps pour ses envies,
Mais contemple souvent ma superbe indécence
Car je dois être nue tout le jour près de lui.
Et quelquefois le soir comme jument fidèle,
S'il me fait atteler aux brancards d'un sulky,
C'est pour mieux profiter de mes fesses jumelles
Pour une course folle autour de la prairie.
Trottinant devant lui qui me tient par les rênes,
Je veille à remuer ma croupe joliment
Jusqu'à ce qu'épuisée, en sueur, il me ramène
Devant les écuries où son valet m'attend.
Là, toujours attelée, ce serviteur inculte,
Sous les yeux du marquis ironique et narquois,
Profite de mon corps qu'il pétrit et m'insulte,
Me traitant de salope et de pute à bourgeois.
Il m'oblige à sucer sa verge large et lisse
Et me viole la gorge en puissants coups de reins,
Son maître calmement à ses cotés esquisse
Cette étreinte sauvage à grands coups de fusain.
Avant de dessiner les traits de mon visage
Que le valet présente en tirant mes cheveux,
Essayant de figer mes cris quand il saccage
Mon anus trop serré de son membre noueux.
genre:sex
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