Quant à l'aurore brille ce rai qui me brûle,
De tout mon corps exalté ensuite il hurle…
Dans l'essor d'une brume franchit mon esprit.
Quand le remord l’exhume, depuis me survie
J’écoute en flot des heures durant l’éternel,
Savoure par lot malheurs, pourtant je l’espère…
Qu’un ange s’épanche sur ces flots du désert
S’adonne la chance de mes mots en prières.
Puis ce qui rougeoie n’offusque pas le silence,
Puisse tournoyer, perdure sans perdre absence.
Contemple la source, rafraîchissant mon sort.
Réanime mon cœur suppliant réconfort …
Dans ce guet-apens j’ai laissé mourir ma plume.
Sous cet ouragan, j’ai abandonné mon encre...
Sur la page blanche ces maux fondent d’écumes.
De mon impertinence blêmit que de cendre
Dans ce guet-apens aucun fond ne s’inscrit qui
De mon impertinence je l’harponne, j’hurle…
Il ne se dévoile d’aucun soupçon flétri
Sous cet ouragan, je me cramponne je lutte.
Quand au destin s’invite aux rêves d’une muse
La rancœur, cette misère qui nous emmure
Blême parchemin envoyé comme en murmure.
M’annonçant l’arrivée de nouveaux jours futurs.
genre:duo
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