Te faire un poème sur une scène d’amour, tu m’a demandé, tu as osé, tu m’as prié
Ecrire une telle scène, je vais la narrer, elle sera osée, j’espère ne pas te choquer
Faire cet exercice, pour faire ton imagination vagabonder, qui sait t’exciter
Après sur mon blog, s’être rencontrés, a une sorte de jeu, on a tous deux jouer
Imagines, je suis en face de toi, belle tu t’es faite, tu t’es a cet instant préparée
Rien que dans ton regard, je vois luire ce désir refoulé, d’être follement aimée
Elégamment vêtue, une petite robe boutonnée, qui me laisse tes dessous deviner
Un emplacement savamment choisi, en contre jour, pour voir ton corps se dessiner
Négligemment les jambes légèrement écartées, tu me laisses te regarder, amusée
Près de toi, une chaise, ou tu vas t’asseoir, avec grâce et volupté, jambes croisées
Oh, tu as pris ton temps, pour que ton entre jambe, j’ai eu le temps de l’observer
Et ton regard aguicheur, me disant viens, me suppliant presque de m’approcher
Mon corps s’est de toi rapproché, ma bouche s’est avec délice sur la tienne posée
Et d’échanger un merveilleux baiser, face a toi, je me suis tendrement agenouillé
Tes douces mains mon cou, ont entourés, pour savourer cette langue tant désirée,
Avec douceur, contre moi, je t’ai serré, ta poitrine, contre mon torse, s’est plaquée
Impatientes, mes mains sur tes hanches tu as posé, et judicieusement tu les as guidé
Mes mains, vers tes épaules, ont remontés, pour tes cheveux caresser, la tête cambrée
Et sur tes seins, ont délicatement glissé, pour nonchalamment, ta robe déboutonner
Rayonnante, tu étais, quand un a un dégrafé, ta fine robe j’ai tendrement écarté
Voir ton corps, de sous vêtements coquins, vêtus, dans ton cou un baiser j’ai déposé
Imperceptiblement, ma main ton soutien gorge, j’ai dégrafé, pour ta poitrine dévoiler
Rien tu ne disais, tes mains caressant mon torse, ma bouche sur ton sein s’est posée
Tu as frissonné, a ce chaud contact, ton sein ferme, ma langue, s’est amusé, a joué
Un sein dont le mamelon, dans ma bouche a durcit, tel un petit sexe excité, dressé
Et de ma main, l’autre caresser, ce bout dressé, tendu, comme s’il voulait allaiter
La chemise, tu m’as enlevé, mes mains, sur tes hanches, ton slip, le faisaient rouler
Lentement tu t’es levée, pour que je puisse l’enlever, tes mains vers ma ceinture aller
Et de défaire et laisser tomber cet obstacle, qu’était mon pantalon, ta main tu as glissé
Mon membre dressé, dans ta main tu as pris pour le caresser, avec docilité, et volupté
Experte, avec tu l’a d’un vas et vient, lent et cadencé doucement masturbé, flatté
Nue, tes jambes tu as écarté, ta toison me dévoiler, ma tête vers elle tu as emmené
Tendrement avec ma langue, les poils jouer, goulûment goûter, ton ventre j’ai dégusté
Chaud il était, et son doux et suave parfum exhalé, ma langue est encore plus bas aller
Ondulant, ton corps, ma langue a rencontré ton puit d’amour, il était doucement trempé
Mouillée, le lèvres entrouvertes, ma tête tu as plaqué, et ma langue avec s’est amusée
Mon membre encore plus excité, tendu a l’extrême, tu continuais a caresser, jouer
Et moi, de ton humidité, de ton nectar, me délecter, délicatement m’en abreuver
S’insinuant en toi, ma langue experte, le petit bout elle a doucement sucé, mordillé
Immense était ton désir, tes hanches allant et venant, comme pour en toi m’appeler
Caressant ton corps, abandonné, qui ardemment me demandait de encore plus loin aller
Ensemble sur le lit, nous nous sommes allongés, dans un long et voluptueux baiser
Tu m’as attiré a toi, les jambes écartées, ton puit d’amour j’ai doucement caresser
Avec douceur sur toi, je me suis mis, dans tes yeux, brillants, ton corps se cambrer
Irrésistiblement, mon membre, tu as guidé, vers ton intimité luisante, et lubrifiée
Tu voulais que je te pénètre, avec mon bout, les lèvres de ton sexe j’ai écarté
Lentement le frôler, contre ces lèvres près à l’engloutir, ton clitoris, le frotter
Avec douceur, lentement les frotter, un soubresaut, tout ton corps a vibré
Reluisant de ton humidité, mon membre contre ton ventre, je continu a caresser
Et avec douceur, tes lèvres s’ouvrent tel une fleur, me glisser, ton sexe m’absorber
Avec un même rythme, nos corps ont ondulés, mon membre de ton sexe ganté
Lentement ce va et vient, ton corps tendu, doucement ce rythme s’est accélère
Imperceptiblement, de petits gémissements, tu as laissé échappés, le cou cambré
Tes reins, ce rythme ont accélérés, quand dans ton ventre, le désir est monté
Et ce va et vient, est devenu une folle chevauchée, rauque ta voix, quand tu as râlé
Rien ne comptait plus que ce plaisir partagé, nos corps vibrant de façon effrénée
Et ton râle est devenu un immense cri, quand ta jouissance t’a d’un coup submergé
Vibrant, j’ai continué, deux ou trois fois, ton cri s’est échappé, totalement incontrôlé
En toi, ma semence a giclé, en plusieurs vagues, une a une a se succéder, en toi inonder
Ondulant ton corps bandé, comme pour mieux cette douce chaleur en toi, apprécier
Un élan de tendresse nous a submergé, quand profondément en toi, on s’est enlacés
Respirant encore tous deux, avec difficulté, mes mains, ton corps ont remerciés
Avec infinie douceur, près de toi, j’ai glissé, pour sur mon épaule tu viennes te lover
Les yeux luisants, tu m’as regardé, le plaisir dans ton regard, je l’ai vu, s’illuminer
Il émanait de ton corps, un bien être, la beauté d’un corps de femme comblée
Tes yeux tu as fermés, et doucement dans le sommeil, tu as doucement plongé
En te voyant ainsi assoupie, ton corps, j’ai eu encore envie, de le combler de l’aimer
Je t’ai regardé dormir, dans tes tendres rêves, tu étais partie, tu t’étais évadée
Et un sourire dans ton sommeil, sur tes lèvres s’est formé, ton visage s’est illuminé
Notre étreinte, ton cœur encore était en train de se la remémorer, la revisionner
Et délicatement d’un drap, ton corps, j’ai recouvert, pour pudiquement le cacher
Sans rien dire, je t’ai veillé, dans la chambre, la lumière descendait, la nuit tombée
Avec tendresse tes cheveux j’ai caressé, ta tête lovée, comme un chat, à ronronner
Un instant de tendre quiétude, de renouveau, un moment de douce sérénité
Regardant ton corps, j’ai imaginé, tous ces millions de petits moi, en toi lovés
Allant, nageant avec frénésie, pour leur devoir accomplir, ainsi programmés
Instant magique, au plus profond de toi, moi, dans ce lieu ou la vie va se créer
Sagement à l’abri, ce lieu accueillant, attend, cette autre moitié, d’être fécondé
genre:oser
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