Tu te grattes la botte,
Manipules ta touffe,
Défriche ta motte,
Qu'il te la bouffe.
Il pénètre, tu restes sans bouger.
Tu aimes qu'il te voit
Te trousser, te la loger
De ce qu'il t'envoie.
Patrice est bon amant.
Il se suspend à tes seins
Où il te léche goulûment
En y coulant un joyeux levain.
Tu le couves de ta main crispée
Sur ses cheveux hérissés,
Sa langue labourant ton fripé.
Tu jouis de sa tête enfoncée
Entre tes cuisses qui l'enserrent.
Vous inversez les rôles d'actifs.
Tu baises son beau derrière
Puis son phallus pelé à vif.
A pleine bouche maintenant,
Tu enrobes son membre viril,
Ta gorge gênée par son gland
Jusqu'aux bourses où tu l'enfiles.
Tu ramènes tes cuisses contre ta poitrine,
Le laissant te pénétrer profond
Pour jouir de joutes intestines
Dans l'excavation creusée au pilon.
Quelle femme indigne tu fais
De te complaire en Patrice
Qui décharge son trophée
Dans l'urne de tes cuisses.
genre:erotik
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