Comprends qu'il te faut les voir
Pour que je ne sois pas l'unique femme
Qui veuille bien recevoir
En elle, ta trompe qui se pâme.
J'aime tes pelotages rapides,
De te voir me désirer si fort.
Quand tu me jettes des regards perfides,
Tu me fais vibrer au bas du corps.
Te souviens-tu la première fois
Que tu as voulu me voir nue
Et que moi, je ne voulais pas
Et qu'après, je suis venue
Dans le salon, me déshabiller
Et que tu n'en croyais pas tes yeux.
Quand j'ai retiré mon string mouillé,
J'ai vu que s'érigeait ta queue.
Tu tremblais comme une feuille morte
Quand je me suis assise près de toi.
Je t'ai montré ma poitrine forte.
Et tu as mis ta main sur moi.
J'ai écarté mes cuisses au plonger
De tes doigts sur ma fente
Interdit, tu n'osais plus bouger
Comme si elle était glissante.
J'ai passé ma main sous ta chemise
Découvrant une forêt humide.
J'ai frétillé sur ton assise
Laissant couler des rivières limpides.
Je pleurais tant je jouissais.
Ô Patrice, nous n'aurions jamais du
Corps à corps, nous prélasser
De nos lèvres mordues.
genre:erotik
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