Un si beau mirage dans une oasis de flammes,
Une image oubliés, dans le désert de larmes
Des dunes a corps perdu celui d’une femme
Ou un trésor de diamant, déposé sur son âme
Aussi beau soit le mirage, il est pour le nomade mortel
Une image qui brûle, une larme de sable immortel
Une blessure si grande que l’on tomberait dedans
Une âme arrachée par une morsure de dents
Une richesse dans l'immensité,
Sable blanc durant la journée
Un oasis de pourpre, ornée de lumière
Un terre aride mais d’amours sous le mystère
La seule richesse c’est celle de son âme
Ne jamais perdre l’honneur même pour la plus belle dame
Une trêve, un dessin ou les lueurs s’enivrent
Un lieux, un rêve, une caresse de désir
Une brûlure dans le regard, la vue d’une fleur lyre
Celle que le tout puissant du ciel admire
Que dire face au délire de la vie
Que dire face à la brulure du regard
Partir recommencer être l’oubli
Reprendre un nouveau départ
Fleur des sables, ou rien ne poussent que le vent
La chaleur rougissant le cœur du désert hurlant
Mirage où les flammes, engouffrent le corps incandescent
Celui de cette femme au visage d’ange sanglotant
genre:duo
vendredi 30 avril 2010
MURMURES
Rash écoute moi ceci,
A vingt et une heure
Soit un peu après vingt
Hier avec lui j'étais.
Imagine un peu se qui se passait,
Déesse dotée d'intuition
Anita se serait donnée
Tout en elle s'embrasait
Oh!le ciel était beau et leur
Union aurait pu etre fètée.......
genre:duo
A vingt et une heure
Soit un peu après vingt
Hier avec lui j'étais.
Imagine un peu se qui se passait,
Déesse dotée d'intuition
Anita se serait donnée
Tout en elle s'embrasait
Oh!le ciel était beau et leur
Union aurait pu etre fètée.......
genre:duo
FLAMME DE BRUNES
Suis-moi dans l’écriture
De nos deux plumes, devenons mature,
Devenant démoniaques, l’amour est un théâtre.
Suis-moi vers l’errance, allons chercher l’amant,
Jouons la démence, de nos dessous en transe,
Que les hommes goûtent à nos vices, partons pour la transhumance.
Qu’ils se brûlent les lèvres, de notre désir amer,
Unies toi et moi, qu’ils déroulent nos bas de nos jarretières,
Qu’ils bavent, de plaisir, de nos envies cavalières.
Deux brunes pour un seul feu où le brasier les enflamme,
Qu’ils se brûlent de passion, nous dévorerons leurs âmes,
Jouant de luxure, pour les embraser, de nos charmes.
D'ailes sombres moirées,
Unissons nos plumes mordorées,
Exutoire de nos âmes emmêlées.
Femme vestale ou flamme fatale,
Le choix n'est infernal,
Que pour l'Homme banal.
Oraison ou passion,
Excessives, peu importe la raison,
Croquer le fruit du péché,
Qui oserait nous contrarier,
Soie coquine, velours et dentelle,
Caressent nos corps hâlés,
Enivre tous sens, parfum boisé,
Valeureux guerrier,pourtant,charmé,
Et chevalier succombe désarmé.
genre:duo
De nos deux plumes, devenons mature,
Devenant démoniaques, l’amour est un théâtre.
Suis-moi vers l’errance, allons chercher l’amant,
Jouons la démence, de nos dessous en transe,
Que les hommes goûtent à nos vices, partons pour la transhumance.
Qu’ils se brûlent les lèvres, de notre désir amer,
Unies toi et moi, qu’ils déroulent nos bas de nos jarretières,
Qu’ils bavent, de plaisir, de nos envies cavalières.
Deux brunes pour un seul feu où le brasier les enflamme,
Qu’ils se brûlent de passion, nous dévorerons leurs âmes,
Jouant de luxure, pour les embraser, de nos charmes.
D'ailes sombres moirées,
Unissons nos plumes mordorées,
Exutoire de nos âmes emmêlées.
Femme vestale ou flamme fatale,
Le choix n'est infernal,
Que pour l'Homme banal.
Oraison ou passion,
Excessives, peu importe la raison,
Croquer le fruit du péché,
Qui oserait nous contrarier,
Soie coquine, velours et dentelle,
Caressent nos corps hâlés,
Enivre tous sens, parfum boisé,
Valeureux guerrier,pourtant,charmé,
Et chevalier succombe désarmé.
genre:duo
UN BESOIN, UNE AIDE
Où mes mots se sont déversés, s’écoule un ruisseau
Sur une page souillée d’un monde impur,
Voici le temps de fermer ma porte sur mon bleu azur
Les voyelles sombrent sur le présent de mes maux
Le livre vieillissant est maintenant lourd
Le mot fin est inscrit sur la dernière page
Il est l’heure de le ranger dans une cage
Pour le condamner, l’enfermer à double tour
Ma plume va prendre son envol de son lourd fardeau
Aide moi à oublier l'arc en ciel, le jour multicolore
Je frappe sur les touches de mon clavier devenu indolore
Mes lignes mourantes croupissent dans de vastes flots
Prend cette plume, sa virginité et sa légèreté
Elle ne décrit que les plaisirs authentiques
Sa composition est fluide non sans rythmique
Et ses lignes ne se lisent qu’avec volupté
L’inspiration de mon cœur sombre dans le besoin
Fais revivre mes rêves, prodigue moi les soins
Immerge moi vers la lumière, que je sorte du trépas
Raccorde-moi avec la poésie, où mon cœur s’estampera
Baisse les yeux, regarde cette plume
Son encre ne saigne pas, ni larmes, ni chagrins
Elle glisse seule aidée par ta simple main
Pour dissiper le mauvais voile de la brume
genre:duo
Sur une page souillée d’un monde impur,
Voici le temps de fermer ma porte sur mon bleu azur
Les voyelles sombrent sur le présent de mes maux
Le livre vieillissant est maintenant lourd
Le mot fin est inscrit sur la dernière page
Il est l’heure de le ranger dans une cage
Pour le condamner, l’enfermer à double tour
Ma plume va prendre son envol de son lourd fardeau
Aide moi à oublier l'arc en ciel, le jour multicolore
Je frappe sur les touches de mon clavier devenu indolore
Mes lignes mourantes croupissent dans de vastes flots
Prend cette plume, sa virginité et sa légèreté
Elle ne décrit que les plaisirs authentiques
Sa composition est fluide non sans rythmique
Et ses lignes ne se lisent qu’avec volupté
L’inspiration de mon cœur sombre dans le besoin
Fais revivre mes rêves, prodigue moi les soins
Immerge moi vers la lumière, que je sorte du trépas
Raccorde-moi avec la poésie, où mon cœur s’estampera
Baisse les yeux, regarde cette plume
Son encre ne saigne pas, ni larmes, ni chagrins
Elle glisse seule aidée par ta simple main
Pour dissiper le mauvais voile de la brume
genre:duo
Mélange des genres
Quand j'écris pour tes yeux, chaque mot a sa place;
Ma plume les choisit pour leurs mille couleurs.
Quand j'écris pour ton cœur, le poète s'efface;
Les mots se font émois, les maux se font douleurs.
Les mots, êtres vivants, changent pour me complaire,
Vibrants, sous les élans fiévreux de ma pensée.
Les lettres sont fardées quand j’écris pour te plaire.
Je suis la costumière des mots romancés.
Quand j'écris pour ta voix, mes vers se font musique;
Ils seront symphonie quand tu les chanteras.
Quand j'écris pour ta peau, j'en deviens érotique,
Caressant des envies de ma plume d'ara.
J'élève sentiments et passions aux nuées,
Je ne veux rien de bas, de banal, d'ordinaire,
Je ne veux sous ma plume, que la voie lactée,
Mes mots sont la musique de l'imaginaire.
J'envie les envolées de tes vers aériens;
Face à leur poésie, je me trouve amateur;
Et si j'écris pour toi, mes mots restent terriens,
Englués sous l'emprise de l'apesanteur.
J'envie la précision de ta plume ingénieuse.
Où je suis confusion, tu es application.
Tu bâtis ton poème, sculpture harmonieuse,
Comme un palais qui force mon admiration.
Je rêve d'un monde idéal
Où nos deux plumes seraient une,
Mêlant poésie boréale
Et vers écrits au clair de lune.
Un monde où le feu aime l'eau,
Où le soleil rejoint la lune,
Rêve où ma plume et ton stylo
Tracent ensemble une ou deux runes.
Je rêve d'un monde inconnu
Où nos mots deviendraient caresses,
Et nos deux plumes ingénues
Nous berceraient de leurs promesses.
Présage d'un clair avenir
Et gage d'union créatrice?
Ou chimère et conte à dormir
Trompant la muse inspiratrice?
Je m'élance avec joie vers l'alliance attrayante
De nos styles, nos voix, nos riches différences.
Mais déjà la vie nous reprend dans sa tourmente;
Un signe, un mot de toi; promis, on recommence?
genre:duo
Ma plume les choisit pour leurs mille couleurs.
Quand j'écris pour ton cœur, le poète s'efface;
Les mots se font émois, les maux se font douleurs.
Les mots, êtres vivants, changent pour me complaire,
Vibrants, sous les élans fiévreux de ma pensée.
Les lettres sont fardées quand j’écris pour te plaire.
Je suis la costumière des mots romancés.
Quand j'écris pour ta voix, mes vers se font musique;
Ils seront symphonie quand tu les chanteras.
Quand j'écris pour ta peau, j'en deviens érotique,
Caressant des envies de ma plume d'ara.
J'élève sentiments et passions aux nuées,
Je ne veux rien de bas, de banal, d'ordinaire,
Je ne veux sous ma plume, que la voie lactée,
Mes mots sont la musique de l'imaginaire.
J'envie les envolées de tes vers aériens;
Face à leur poésie, je me trouve amateur;
Et si j'écris pour toi, mes mots restent terriens,
Englués sous l'emprise de l'apesanteur.
J'envie la précision de ta plume ingénieuse.
Où je suis confusion, tu es application.
Tu bâtis ton poème, sculpture harmonieuse,
Comme un palais qui force mon admiration.
Je rêve d'un monde idéal
Où nos deux plumes seraient une,
Mêlant poésie boréale
Et vers écrits au clair de lune.
Un monde où le feu aime l'eau,
Où le soleil rejoint la lune,
Rêve où ma plume et ton stylo
Tracent ensemble une ou deux runes.
Je rêve d'un monde inconnu
Où nos mots deviendraient caresses,
Et nos deux plumes ingénues
Nous berceraient de leurs promesses.
Présage d'un clair avenir
Et gage d'union créatrice?
Ou chimère et conte à dormir
Trompant la muse inspiratrice?
Je m'élance avec joie vers l'alliance attrayante
De nos styles, nos voix, nos riches différences.
Mais déjà la vie nous reprend dans sa tourmente;
Un signe, un mot de toi; promis, on recommence?
genre:duo
Mon père est parti....
Mon père est parti
On étais tous petits
Et a pris avec lui
L'amour et l'harmonie
Ma mère qui a souffert
Vécu en de la misère
Qui étais si jeune mère
Se retrouve dans l'Enfer
Jamais elle nous a abondonné
Toujours à Dieu, elle nous a prié
Qui reste avec elle, pour nous protégé
De cette affreuse humanité
Malgré toute cette souffrance,
La vie continue
Avec la décadence,
On a mouru et survécu
Comme un tourbillon,
Nous nous sommes perdu
Comme notre coeur opposé,
Résidu nos sentiments vertus
Réputons nos rêves et nos passions
Espèrons, l'amour et l'affection
Jamais faites preuve de pauvre ou de pitié
Toujours la tête haute,
En notre humanité
Mais lorsque l'influence nous a mené
On ces guidé, dans une perte de dignité
Mais un jours , on va se réveiller
Notre personne d'être, va se témoigner
Notre tête dressé, allons vous montré.......!
genre:duo
On étais tous petits
Et a pris avec lui
L'amour et l'harmonie
Ma mère qui a souffert
Vécu en de la misère
Qui étais si jeune mère
Se retrouve dans l'Enfer
Jamais elle nous a abondonné
Toujours à Dieu, elle nous a prié
Qui reste avec elle, pour nous protégé
De cette affreuse humanité
Malgré toute cette souffrance,
La vie continue
Avec la décadence,
On a mouru et survécu
Comme un tourbillon,
Nous nous sommes perdu
Comme notre coeur opposé,
Résidu nos sentiments vertus
Réputons nos rêves et nos passions
Espèrons, l'amour et l'affection
Jamais faites preuve de pauvre ou de pitié
Toujours la tête haute,
En notre humanité
Mais lorsque l'influence nous a mené
On ces guidé, dans une perte de dignité
Mais un jours , on va se réveiller
Notre personne d'être, va se témoigner
Notre tête dressé, allons vous montré.......!
genre:duo
RETOUR POUR MA RÉUSSITE
Je suis revenu
Sans que tu l'aye cru
Maintenant t'es perdu
Après que tu m'es vu
Dès aujourd'hui, j'ai su ma valeur
Mon bonheur, et que c'est moi la meilleur
J'ai suivi mon coeur et mes pensés
J'ai ménagé toute la salté
Le seul remède à mes douleurs
Quand je me rappelle de mes erreurs
Je suis de retour, pour mon destin
Avec mon âme pur, sans peur, sans crainte
Dire NON, oser et choisir
Construire, entreprendre et bâtir
Je suis là pour reprendre mes pèchés
Pour corrigé chaque heure de mon passé
Profiter de mes heures,
En étant à la hauteur
En montrant mes talents,
En chacun de mes oeuvres
Je m'apprête pour le plus haut
Pour le plus loin
Jusqu'à ce que ma mère
Puisse drèssé sa tête
En me tendant la main
Et me disant:
Vien ma fille...
Tu as fais très bien......
genre:duo
Sans que tu l'aye cru
Maintenant t'es perdu
Après que tu m'es vu
Dès aujourd'hui, j'ai su ma valeur
Mon bonheur, et que c'est moi la meilleur
J'ai suivi mon coeur et mes pensés
J'ai ménagé toute la salté
Le seul remède à mes douleurs
Quand je me rappelle de mes erreurs
Je suis de retour, pour mon destin
Avec mon âme pur, sans peur, sans crainte
Dire NON, oser et choisir
Construire, entreprendre et bâtir
Je suis là pour reprendre mes pèchés
Pour corrigé chaque heure de mon passé
Profiter de mes heures,
En étant à la hauteur
En montrant mes talents,
En chacun de mes oeuvres
Je m'apprête pour le plus haut
Pour le plus loin
Jusqu'à ce que ma mère
Puisse drèssé sa tête
En me tendant la main
Et me disant:
Vien ma fille...
Tu as fais très bien......
genre:duo
J'AI APPRIE....
Dans le temps...
Je me privais de ne faire ce que je n'avais envi
Je me privais de vous demandez mon avie
J'en avais mar de cet vie
Mais je restais silencieuse
Privé du sommeil de la nuit
Mon écriture précieuse
Toujours, je me fesais face à la justice
En mes erreurs, cet idée fixe
J'étais populaire,
NON! je n'étais pas populaire
J'étais trop populaire
Ce qui ne m'étais pas fière
Lorsque j'ai vu ma photo dans le journal
Ce texte si grâve,
Que mon nom m'étais sal
C'est ce qu'être banal
Tu ne sais ce que soufrir du mal..
C'est comme si dans ton coeur
Demeurais une bal
Partout dans le monde
Me sentai-je si mal dans ma peau
Écrit sur tout ses sondes,
JE CRIAIS...
C'EST FAUX... C'EST FAUX...
Mais j'ai apprie
Tout seul ai-je comprie
Apprie à être moi-même
Normal, libre et fidèle
En mon âme pur,
Je marche si fière
Pas comme toi
Je te l'assure
En cet allure
À dire sa serai trop dur
Je suis désolé
Je suis pas raciste
Mais un mur entre moi et toi
Je le consiste
J'ai comprie que j'étais ton esclave
Mais sans gêne, de ta part
C'étais grâve
C'est rendu mon tour
Mais je ne suis pas aussi brâve
J'ai apprie que seul m'étais un soulagement
J'ai apprie que les amis
Yen a peu des vrais dans la vie
De mon influence, je m'en ai démoli
J'étais haut, je suis bas
Qu'est-ce que tu en sais toi
Quelle genre de souffrance, souffrai-je dans ton cas
En tout cas
Je suis moi, je suis roi, je suis fatale,
Je suis grand, je vais haut....
ET TOI TU VAS BAS, ET TU LE RESTERAS
EN TOUT CAS, C'EST MON CAS
CAR JE SUIS TOUS CE QUE TU N'ES PAS!!!
genre:duo
Je me privais de ne faire ce que je n'avais envi
Je me privais de vous demandez mon avie
J'en avais mar de cet vie
Mais je restais silencieuse
Privé du sommeil de la nuit
Mon écriture précieuse
Toujours, je me fesais face à la justice
En mes erreurs, cet idée fixe
J'étais populaire,
NON! je n'étais pas populaire
J'étais trop populaire
Ce qui ne m'étais pas fière
Lorsque j'ai vu ma photo dans le journal
Ce texte si grâve,
Que mon nom m'étais sal
C'est ce qu'être banal
Tu ne sais ce que soufrir du mal..
C'est comme si dans ton coeur
Demeurais une bal
Partout dans le monde
Me sentai-je si mal dans ma peau
Écrit sur tout ses sondes,
JE CRIAIS...
C'EST FAUX... C'EST FAUX...
Mais j'ai apprie
Tout seul ai-je comprie
Apprie à être moi-même
Normal, libre et fidèle
En mon âme pur,
Je marche si fière
Pas comme toi
Je te l'assure
En cet allure
À dire sa serai trop dur
Je suis désolé
Je suis pas raciste
Mais un mur entre moi et toi
Je le consiste
J'ai comprie que j'étais ton esclave
Mais sans gêne, de ta part
C'étais grâve
C'est rendu mon tour
Mais je ne suis pas aussi brâve
J'ai apprie que seul m'étais un soulagement
J'ai apprie que les amis
Yen a peu des vrais dans la vie
De mon influence, je m'en ai démoli
J'étais haut, je suis bas
Qu'est-ce que tu en sais toi
Quelle genre de souffrance, souffrai-je dans ton cas
En tout cas
Je suis moi, je suis roi, je suis fatale,
Je suis grand, je vais haut....
ET TOI TU VAS BAS, ET TU LE RESTERAS
EN TOUT CAS, C'EST MON CAS
CAR JE SUIS TOUS CE QUE TU N'ES PAS!!!
genre:duo
j'ai besoin de toi
j'ai besoin de ta main,
pour y mettre la mienne.
j'ai besoin de ton cou,
pour y cacher ma peine.
j'ai besoin de tes bras,
pour consoler mes larmes.
et besoin de ta force,
pour y forger mes armes.
j'ai besoin de ta bouche,
qui pose sur mes lévres,
la douseur d'un baiser.
j'ai besoin de ton coeur,
counant à ma poitrine,
une chanson d'amour en duo.
j'ai besoin de tes yeux,
plongeant dans l'océan,
de mes crainte cachées,
et mes sombres tourments.
balayer soudain dans un trair de lumiére,
tout ce qui me fait peur et qui me désespère.
j'ai besoin de ta vie,
pour vivre absolument,
au temps du bonheur,
et au rythme du temps.
il n'y a qu'avec toi
que je connais des joies,
c'est tout simple,
tu vois moi j'ai besoin de toi.
genre:duo
pour y mettre la mienne.
j'ai besoin de ton cou,
pour y cacher ma peine.
j'ai besoin de tes bras,
pour consoler mes larmes.
et besoin de ta force,
pour y forger mes armes.
j'ai besoin de ta bouche,
qui pose sur mes lévres,
la douseur d'un baiser.
j'ai besoin de ton coeur,
counant à ma poitrine,
une chanson d'amour en duo.
j'ai besoin de tes yeux,
plongeant dans l'océan,
de mes crainte cachées,
et mes sombres tourments.
balayer soudain dans un trair de lumiére,
tout ce qui me fait peur et qui me désespère.
j'ai besoin de ta vie,
pour vivre absolument,
au temps du bonheur,
et au rythme du temps.
il n'y a qu'avec toi
que je connais des joies,
c'est tout simple,
tu vois moi j'ai besoin de toi.
genre:duo
Duo
Ô toi qui fus ma plume, sur un duo charmant
Que mon âme brûle, si nous nous effaçons un instant !
L’encre deviendra rouge, mes pages flamboyantes
Pour ne pas perdre l’ivresse dépose en même temps
Quelques mots déposés pour aider à rêver
Nous envoler vers une plus grande liberté
Dans chaque poète, il y a tout un monde étoilé
Qu'il est bien merveilleux quand il est partagé
Toi qui parfois souffre appel volonté Cupidon,
Mes lignes réagissent , avec attentions
Une arc et des flèches pour unir ton union
Volage sur des pensés, sauvage au cœur de lion
A force de l'appeler il m'a enfin entendu
Tu as guidé ses flèches pour qu'il ait droit au but
En découvrant l'amour, j'ai dû mourir un jour
En découvrant la vie, j'ai appris le toujours
Semant dans la passion des douceurs qui enivrent
Ton cœur, éparpillé, de nos vers se redessinent
Jouant en silence l’encre de nos mots,
Sur un nuage ou tu retrouveras les cimes du grand haut
Tel un pilote est ivre dans un piquet mortel
Je mourrai sans faillir dans les bras de ma belle
Je crie avec vaillance à l'encre de mes mots
Que rien ne peut être plus beau, que l'aventure d'un marmot
Ensembles toi et moi, on s’accroche dans l’abyme
Moi de mes longs sanglots, toi de l’amour qui te grise
A la sueur de nos écrits, poursuivant l’aventure
Rejoint mon dans la verte contrée, nos mots jamais ne s’usent
Que mon aura protège mes amies de toujours
Que mon amour me donne la force d'être heureux chaque jour
Je vous partage ma joie d'un tout simple bonheur
Celui d'avoir trouvé la paix au fond du cœur
genre:duo
Que mon âme brûle, si nous nous effaçons un instant !
L’encre deviendra rouge, mes pages flamboyantes
Pour ne pas perdre l’ivresse dépose en même temps
Quelques mots déposés pour aider à rêver
Nous envoler vers une plus grande liberté
Dans chaque poète, il y a tout un monde étoilé
Qu'il est bien merveilleux quand il est partagé
Toi qui parfois souffre appel volonté Cupidon,
Mes lignes réagissent , avec attentions
Une arc et des flèches pour unir ton union
Volage sur des pensés, sauvage au cœur de lion
A force de l'appeler il m'a enfin entendu
Tu as guidé ses flèches pour qu'il ait droit au but
En découvrant l'amour, j'ai dû mourir un jour
En découvrant la vie, j'ai appris le toujours
Semant dans la passion des douceurs qui enivrent
Ton cœur, éparpillé, de nos vers se redessinent
Jouant en silence l’encre de nos mots,
Sur un nuage ou tu retrouveras les cimes du grand haut
Tel un pilote est ivre dans un piquet mortel
Je mourrai sans faillir dans les bras de ma belle
Je crie avec vaillance à l'encre de mes mots
Que rien ne peut être plus beau, que l'aventure d'un marmot
Ensembles toi et moi, on s’accroche dans l’abyme
Moi de mes longs sanglots, toi de l’amour qui te grise
A la sueur de nos écrits, poursuivant l’aventure
Rejoint mon dans la verte contrée, nos mots jamais ne s’usent
Que mon aura protège mes amies de toujours
Que mon amour me donne la force d'être heureux chaque jour
Je vous partage ma joie d'un tout simple bonheur
Celui d'avoir trouvé la paix au fond du cœur
genre:duo
Cœurs perdu dans la nuit
Comme une envie d’images
Et de fruits défendus
Séduit par le langage
D’un regard corrompu
Je joue dans son sillage
Mes jeux sont défendus
Ils invitent au voyage
Ticket ? Belle inconnue ;o)
Tour du monde et coquillage
Vois comme je suis ému
Avide d’un regard éperdu
Secrète, prête pour un long voyage
Dans le flux, d’un monde perdu
Discrétion sous un ombrage
Arides ma bouche ce tue
Emporte-moi dans le flot des sages
Prenant la voute du vent perdu
A travers le déshabiller de mon voilage
Quittant le chemin pour les vagues
D’un moment charnel, celle de la vertu
genre:duo
Et de fruits défendus
Séduit par le langage
D’un regard corrompu
Je joue dans son sillage
Mes jeux sont défendus
Ils invitent au voyage
Ticket ? Belle inconnue ;o)
Tour du monde et coquillage
Vois comme je suis ému
Avide d’un regard éperdu
Secrète, prête pour un long voyage
Dans le flux, d’un monde perdu
Discrétion sous un ombrage
Arides ma bouche ce tue
Emporte-moi dans le flot des sages
Prenant la voute du vent perdu
A travers le déshabiller de mon voilage
Quittant le chemin pour les vagues
D’un moment charnel, celle de la vertu
genre:duo
Quand je vous regarde
Tout le monde a besoin de l'inspiration
Tout le monde a besoin d'une chanson
La Belle mélodie,
Quand les nuits ainsi longtemps.
La Cause là n'est aucune garantie
Que cette vie est facile.
Vraiment.
Quand mon monde se désintègre,
Quand il n'y a aucune lumière pour diviser l'obscurité
Que 's quand j'ai le coup d'œil à vous
Quand les signes inondent la côte
Et je peux 't ne trouver ma voie à la maison plus
Que 's quand je suis le coup d'œil à vous
Quand je vous regarde
Je vois le pardon, je vois la vérité
Vous m'aimez pour qui je suis
Comme les étoiles tiennent la lune
Directement là où ils appartiennent
Et je connais je 'm non seul
Vraiment.
Quand mon monde se désintègre,
Quand il n'y a aucune lumière pour diviser l'obscurité
Que 's quand je vois le coup d'œil à vous
Quand les signes inondent la côte
Et je peux 't ne trouver ma voie à la maison plus
Que 's quand je jette un coup d'œil à vous.
Vous m'apparaissez comme un rêve
Comme un kaléidoscope change de couleur
Qui me prouvent tout ce que j'ai besoin
De chaque haleine que je respire
Mettent 't vous connaissez
Vous 'êtes beau;
Vraiment, vraiment.
Quand les signes inondent la côte
Et je peux 't ne trouver ma voie à la maison plus
Que 's quand je vois le coup d'œil à vous
Je vous regarde.
Vous m'apparaissez comme un rêve.
genre:duo
Tout le monde a besoin d'une chanson
La Belle mélodie,
Quand les nuits ainsi longtemps.
La Cause là n'est aucune garantie
Que cette vie est facile.
Vraiment.
Quand mon monde se désintègre,
Quand il n'y a aucune lumière pour diviser l'obscurité
Que 's quand j'ai le coup d'œil à vous
Quand les signes inondent la côte
Et je peux 't ne trouver ma voie à la maison plus
Que 's quand je suis le coup d'œil à vous
Quand je vous regarde
Je vois le pardon, je vois la vérité
Vous m'aimez pour qui je suis
Comme les étoiles tiennent la lune
Directement là où ils appartiennent
Et je connais je 'm non seul
Vraiment.
Quand mon monde se désintègre,
Quand il n'y a aucune lumière pour diviser l'obscurité
Que 's quand je vois le coup d'œil à vous
Quand les signes inondent la côte
Et je peux 't ne trouver ma voie à la maison plus
Que 's quand je jette un coup d'œil à vous.
Vous m'apparaissez comme un rêve
Comme un kaléidoscope change de couleur
Qui me prouvent tout ce que j'ai besoin
De chaque haleine que je respire
Mettent 't vous connaissez
Vous 'êtes beau;
Vraiment, vraiment.
Quand les signes inondent la côte
Et je peux 't ne trouver ma voie à la maison plus
Que 's quand je vois le coup d'œil à vous
Je vous regarde.
Vous m'apparaissez comme un rêve.
genre:duo
Mon cœur, mon ange,
Avec des mots, et mes maux, je t’écris cette lettre,
Que tu liras, je l’espère, mais ça reste un peut-être,
Avec mon cœur, je t’écris ces quelques lignes.
De ton amour ma chérie, je ne suis pas digne.
Je dois partir loin de toi pourtant
J'aimerais être à tes cotés, être présent
Chaque jour je ne cesse de penser à toi
Mon cœur se déchire avec effroi.
Aussi me suis-je dis, que je ne t’aimais pas,
La colère aveuglante s’est emparée de moi.
Je t’ai quittée et je m’en veux terriblement,
Car j’aurais préféré être près de toi, mon enfant.
Si tu savais à quel point j'aurais préféré mourir
Que de te laisser seule continuant à me haïr
J'espère qu'un jour tu me pardonneras
D'avoir été faible et lâche à ce point-là
A ton insu et à celui de ta mère, je suis parti,
Envahir à nouveau ta vie, ma chérie, je ne le puis,
Il m’a fallu bien du courage pour écrire ces mots, ma vie
Mais, mon ange, je t’aime, et pour la première fois, te le dis...
J'aimerais te voir, comme tu dois avoir grandi
Tu dois avoir les yeux de ta chère mamie
Je souhaiterais caresser ton visage devant ce rivage
Accepterais-tu de me rencontrer ou veux-tu que je quitte le paysage ?
Ton papa qui t'aime...
genre:duo
Que tu liras, je l’espère, mais ça reste un peut-être,
Avec mon cœur, je t’écris ces quelques lignes.
De ton amour ma chérie, je ne suis pas digne.
Je dois partir loin de toi pourtant
J'aimerais être à tes cotés, être présent
Chaque jour je ne cesse de penser à toi
Mon cœur se déchire avec effroi.
Aussi me suis-je dis, que je ne t’aimais pas,
La colère aveuglante s’est emparée de moi.
Je t’ai quittée et je m’en veux terriblement,
Car j’aurais préféré être près de toi, mon enfant.
Si tu savais à quel point j'aurais préféré mourir
Que de te laisser seule continuant à me haïr
J'espère qu'un jour tu me pardonneras
D'avoir été faible et lâche à ce point-là
A ton insu et à celui de ta mère, je suis parti,
Envahir à nouveau ta vie, ma chérie, je ne le puis,
Il m’a fallu bien du courage pour écrire ces mots, ma vie
Mais, mon ange, je t’aime, et pour la première fois, te le dis...
J'aimerais te voir, comme tu dois avoir grandi
Tu dois avoir les yeux de ta chère mamie
Je souhaiterais caresser ton visage devant ce rivage
Accepterais-tu de me rencontrer ou veux-tu que je quitte le paysage ?
Ton papa qui t'aime...
genre:duo
L'infidél
Certains disent que la belle est plutôt cruelle
Et d’autres pensent que c’est irréel ou juste virtuel
L’infidèle c’est ainsi qu’on l’appellent
Car elle ne veut que de l’amour artificiel
Son corps, ne connaît que le plaisir charnel
Elle aime quand les hommes sur elle s’entremêlent
Et qu’ils laissent sur sa peau ce gout de miel
Quelques instants de bonheur et ses sens se mêlent
A ceux qu’elle charme par des mots qui ensorcellent
Alors qu’elle leurs jure un amour éternel
En sachant qu’ils ne passeront pas la veille
Car entre les jambes de cette insouciante demoiselle
Ce trouve le péché condamné par l’immortel
Mais son âme et son corps entre dans un infini duel
Car cette luxure l’entraine dans un dangereux tunnel
Ou elle perd ses repères et la vue du ciel
Elle essai peut être de combler l’amour maternel
Chez ses amants elle cherche de l’affection irrationnelle
Et pourtant au fond de son âme réside une étincelle
Qui éclaire le cœur de cette rebelle
Et dit pourquoi veux-tu toujours être elle ?
Redeviens-toi et regarde ce monde réel
Sois- toi qui autre fois étais l’une des sept merveilles
Que tout le monde aimaient ; écoute ce conseil.
genre:duo
Et d’autres pensent que c’est irréel ou juste virtuel
L’infidèle c’est ainsi qu’on l’appellent
Car elle ne veut que de l’amour artificiel
Son corps, ne connaît que le plaisir charnel
Elle aime quand les hommes sur elle s’entremêlent
Et qu’ils laissent sur sa peau ce gout de miel
Quelques instants de bonheur et ses sens se mêlent
A ceux qu’elle charme par des mots qui ensorcellent
Alors qu’elle leurs jure un amour éternel
En sachant qu’ils ne passeront pas la veille
Car entre les jambes de cette insouciante demoiselle
Ce trouve le péché condamné par l’immortel
Mais son âme et son corps entre dans un infini duel
Car cette luxure l’entraine dans un dangereux tunnel
Ou elle perd ses repères et la vue du ciel
Elle essai peut être de combler l’amour maternel
Chez ses amants elle cherche de l’affection irrationnelle
Et pourtant au fond de son âme réside une étincelle
Qui éclaire le cœur de cette rebelle
Et dit pourquoi veux-tu toujours être elle ?
Redeviens-toi et regarde ce monde réel
Sois- toi qui autre fois étais l’une des sept merveilles
Que tout le monde aimaient ; écoute ce conseil.
genre:duo
Au guet-apens de l’espoir
Quant à l'aurore brille ce rai qui me brûle,
De tout mon corps exalté ensuite il hurle…
Dans l'essor d'une brume franchit mon esprit.
Quand le remord l’exhume, depuis me survie
J’écoute en flot des heures durant l’éternel,
Savoure par lot malheurs, pourtant je l’espère…
Qu’un ange s’épanche sur ces flots du désert
S’adonne la chance de mes mots en prières.
Puis ce qui rougeoie n’offusque pas le silence,
Puisse tournoyer, perdure sans perdre absence.
Contemple la source, rafraîchissant mon sort.
Réanime mon cœur suppliant réconfort …
Dans ce guet-apens j’ai laissé mourir ma plume.
Sous cet ouragan, j’ai abandonné mon encre...
Sur la page blanche ces maux fondent d’écumes.
De mon impertinence blêmit que de cendre
Dans ce guet-apens aucun fond ne s’inscrit qui
De mon impertinence je l’harponne, j’hurle…
Il ne se dévoile d’aucun soupçon flétri
Sous cet ouragan, je me cramponne je lutte.
Quand au destin s’invite aux rêves d’une muse
La rancœur, cette misère qui nous emmure
Blême parchemin envoyé comme en murmure.
M’annonçant l’arrivée de nouveaux jours futurs.
genre:duo
De tout mon corps exalté ensuite il hurle…
Dans l'essor d'une brume franchit mon esprit.
Quand le remord l’exhume, depuis me survie
J’écoute en flot des heures durant l’éternel,
Savoure par lot malheurs, pourtant je l’espère…
Qu’un ange s’épanche sur ces flots du désert
S’adonne la chance de mes mots en prières.
Puis ce qui rougeoie n’offusque pas le silence,
Puisse tournoyer, perdure sans perdre absence.
Contemple la source, rafraîchissant mon sort.
Réanime mon cœur suppliant réconfort …
Dans ce guet-apens j’ai laissé mourir ma plume.
Sous cet ouragan, j’ai abandonné mon encre...
Sur la page blanche ces maux fondent d’écumes.
De mon impertinence blêmit que de cendre
Dans ce guet-apens aucun fond ne s’inscrit qui
De mon impertinence je l’harponne, j’hurle…
Il ne se dévoile d’aucun soupçon flétri
Sous cet ouragan, je me cramponne je lutte.
Quand au destin s’invite aux rêves d’une muse
La rancœur, cette misère qui nous emmure
Blême parchemin envoyé comme en murmure.
M’annonçant l’arrivée de nouveaux jours futurs.
genre:duo
les étapes de la vie
dans une de ces étapes,je te retrouve toi
que toi et personne d'autre
étant enfant ,je jouais
devenu ado ,je me maquillais
devenue adulte ,je travaillais
et mnt je fais quoi sans toi
a part le travail qui m'enpeste la tête
je n'ai que toi
tu es ma vie
tu es ma flamme
tu es mon bonheur
et personne ne poura te remplacer ni maintenant
ni jamais
genre:duo
que toi et personne d'autre
étant enfant ,je jouais
devenu ado ,je me maquillais
devenue adulte ,je travaillais
et mnt je fais quoi sans toi
a part le travail qui m'enpeste la tête
je n'ai que toi
tu es ma vie
tu es ma flamme
tu es mon bonheur
et personne ne poura te remplacer ni maintenant
ni jamais
genre:duo
Marche Nuptiale (Duo.).
Tu n’auras pas amour
Au jour de nos épousailles
Enfants blonds pour porter
Chemise blanche et ondoyante,
Plutôt que cela, t’offrirais
Le silence de ma vie
Et il deviendra royaume
Pour que tu en deviennes maître.
Comme toujours Amour
Je saurai rester simple
Et rallumer en toi,le feu doux de la vie
Interroger ton Ame ,lui criant mon espoir
Que nous deux rassemblés ,ne fassent qu’un le soir.
Tu n’auras pas amour
Au jour de nos épousailles
Cortège de famille pour enterrer
Le drap de glorieuse virginité,
Plutôt que cela, t’offrirais
Cortège de mes mains
Couronnes de mon corps
Pour protéger ta fragilité.
Comme toujours Amour
Les sombres lumiéres des jours
S’estomperons,bannis sous un ardent soleil
Et les arceaux du ciel ,frolant cette clarté
Glorieusement ,verrons cet Amour éternel.
Tu n’auras pas amour
Au jour de nos épousailles
Grand orgue, mains crossées, tête mitrée
Pour réchauffer froideur d’église,
Plutôt que cela, t’offrirais
Musique faite de mon amour
Epaule pour y reposer ta tête
Et chaleur de chez nous
Pour t’y enfermer.
Comme toujours Amour
Dans cette Eglise froide
J’enlacerai ton corps ,le prenant pour toujours
Et de ma main agile ,enserrant ta main moite
J’accrocherai ton coeur
Dans cet ultime Amour.
En ce jour de nos épousailles
Grandes présences de curieux
Quelque peu étranger
Gênés et envieux peut-être
De notre bonheur – simplicité
Et je t’offrirais alors simplement …de t’accompagner !!!!
genre:duo
Au jour de nos épousailles
Enfants blonds pour porter
Chemise blanche et ondoyante,
Plutôt que cela, t’offrirais
Le silence de ma vie
Et il deviendra royaume
Pour que tu en deviennes maître.
Comme toujours Amour
Je saurai rester simple
Et rallumer en toi,le feu doux de la vie
Interroger ton Ame ,lui criant mon espoir
Que nous deux rassemblés ,ne fassent qu’un le soir.
Tu n’auras pas amour
Au jour de nos épousailles
Cortège de famille pour enterrer
Le drap de glorieuse virginité,
Plutôt que cela, t’offrirais
Cortège de mes mains
Couronnes de mon corps
Pour protéger ta fragilité.
Comme toujours Amour
Les sombres lumiéres des jours
S’estomperons,bannis sous un ardent soleil
Et les arceaux du ciel ,frolant cette clarté
Glorieusement ,verrons cet Amour éternel.
Tu n’auras pas amour
Au jour de nos épousailles
Grand orgue, mains crossées, tête mitrée
Pour réchauffer froideur d’église,
Plutôt que cela, t’offrirais
Musique faite de mon amour
Epaule pour y reposer ta tête
Et chaleur de chez nous
Pour t’y enfermer.
Comme toujours Amour
Dans cette Eglise froide
J’enlacerai ton corps ,le prenant pour toujours
Et de ma main agile ,enserrant ta main moite
J’accrocherai ton coeur
Dans cet ultime Amour.
En ce jour de nos épousailles
Grandes présences de curieux
Quelque peu étranger
Gênés et envieux peut-être
De notre bonheur – simplicité
Et je t’offrirais alors simplement …de t’accompagner !!!!
genre:duo
Reviens-moi
Je n'ai fais que t'aimer
Pourtant tu m'as tromper
Ce n'était qu'un accident
Reviens-moi tu me manque énormémant
Je ne peus pas te perdonner
car tu as tout gacher
Tu m'avais promis un conte féerique
Tu m'a donné une histoire merdique
La vie est si duresans toi
Je ne demande qu'une chose
c'est que tu soit dans mes bras
Losque tu m'as oublier
J'ai cesser de pleurer
car j'ai cesser de t'aimer
Je ne t'ai pas oublier
car j'ai jamais cessé de t'aimer
genre:duo
Pourtant tu m'as tromper
Ce n'était qu'un accident
Reviens-moi tu me manque énormémant
Je ne peus pas te perdonner
car tu as tout gacher
Tu m'avais promis un conte féerique
Tu m'a donné une histoire merdique
La vie est si duresans toi
Je ne demande qu'une chose
c'est que tu soit dans mes bras
Losque tu m'as oublier
J'ai cesser de pleurer
car j'ai cesser de t'aimer
Je ne t'ai pas oublier
car j'ai jamais cessé de t'aimer
genre:duo
Peur que tu m'oublie
Ma soeur de coeur,
Quand tu n'es pas la je pleurs,
Car j'ai peur de faire une erreur,
De t'abandonner et que tu ne m'a rien fais,
Car je suis jalouse de ces gens autour de toi,
J'aimerais t'avoir que pour moi,
Mais je veut garder cette amitié,
A tout jamais de confiance, sincérité et complicité,
Alort je préfere souffrir en silence,
Pour mon innocence,
Desfois je doute de ton amitié,
Je ne sais pas pourquoi je n'en ai aucune idée,
Pourtant tes sincére,
Mais j'arrive à prouver le contraire,
Pense-tu à moi quand tu es avec ces personne-là?
Tu leurs dit je t'aime,
Tu leurs donne ta joie,
Tu leurs fais des calins ect...
Et alort moi tous sa?
Je t'aime et j'en souffre,
Que faire t'oublié et te laché?
Car je suis épuisé,
Non je n'y arrive pas?
Car je t'aime,
Voila mon problème.
genre:amitier
Quand tu n'es pas la je pleurs,
Car j'ai peur de faire une erreur,
De t'abandonner et que tu ne m'a rien fais,
Car je suis jalouse de ces gens autour de toi,
J'aimerais t'avoir que pour moi,
Mais je veut garder cette amitié,
A tout jamais de confiance, sincérité et complicité,
Alort je préfere souffrir en silence,
Pour mon innocence,
Desfois je doute de ton amitié,
Je ne sais pas pourquoi je n'en ai aucune idée,
Pourtant tes sincére,
Mais j'arrive à prouver le contraire,
Pense-tu à moi quand tu es avec ces personne-là?
Tu leurs dit je t'aime,
Tu leurs donne ta joie,
Tu leurs fais des calins ect...
Et alort moi tous sa?
Je t'aime et j'en souffre,
Que faire t'oublié et te laché?
Car je suis épuisé,
Non je n'y arrive pas?
Car je t'aime,
Voila mon problème.
genre:amitier
dimanche 25 avril 2010
Lætitia
Lætitia tu es toute nue
Lætitia je te prend par le cul
Lætitia je te montes dessus
Lætitia tu me suces le prépuce
Lætitia je te cunnilingus
Lætitia je te lèche l'anus
Je veux la fessée te rendre
Ca me donne envie de te prendre
Te retourner, t'étendre
T'attacher et descendre
Te baiser et attendre
Car mon pied je veux le prendre
Lætitia je bande pour toi
Lætitia tu mouilles déjà
Lætitia ton con est en émoi
Lætitia je rentre en toi
Lætitia je viens et tu vas
Lætitia j'éjacule en toi
Pour moi c'est fini
Tu peux remettre tes habits
Dans mon dos appelle ton ami
Il veut peut être que tu lui suces son vit
Non non, je ne lècherais pas ton clitoris
Moi mon pied je l'ai déjà pris
genre:sex
Lætitia je te prend par le cul
Lætitia je te montes dessus
Lætitia tu me suces le prépuce
Lætitia je te cunnilingus
Lætitia je te lèche l'anus
Je veux la fessée te rendre
Ca me donne envie de te prendre
Te retourner, t'étendre
T'attacher et descendre
Te baiser et attendre
Car mon pied je veux le prendre
Lætitia je bande pour toi
Lætitia tu mouilles déjà
Lætitia ton con est en émoi
Lætitia je rentre en toi
Lætitia je viens et tu vas
Lætitia j'éjacule en toi
Pour moi c'est fini
Tu peux remettre tes habits
Dans mon dos appelle ton ami
Il veut peut être que tu lui suces son vit
Non non, je ne lècherais pas ton clitoris
Moi mon pied je l'ai déjà pris
genre:sex
aimer avec volupte
Te faire un poème sur une scène d’amour, tu m’a demandé, tu as osé, tu m’as prié
Ecrire une telle scène, je vais la narrer, elle sera osée, j’espère ne pas te choquer
Faire cet exercice, pour faire ton imagination vagabonder, qui sait t’exciter
Après sur mon blog, s’être rencontrés, a une sorte de jeu, on a tous deux jouer
Imagines, je suis en face de toi, belle tu t’es faite, tu t’es a cet instant préparée
Rien que dans ton regard, je vois luire ce désir refoulé, d’être follement aimée
Elégamment vêtue, une petite robe boutonnée, qui me laisse tes dessous deviner
Un emplacement savamment choisi, en contre jour, pour voir ton corps se dessiner
Négligemment les jambes légèrement écartées, tu me laisses te regarder, amusée
Près de toi, une chaise, ou tu vas t’asseoir, avec grâce et volupté, jambes croisées
Oh, tu as pris ton temps, pour que ton entre jambe, j’ai eu le temps de l’observer
Et ton regard aguicheur, me disant viens, me suppliant presque de m’approcher
Mon corps s’est de toi rapproché, ma bouche s’est avec délice sur la tienne posée
Et d’échanger un merveilleux baiser, face a toi, je me suis tendrement agenouillé
Tes douces mains mon cou, ont entourés, pour savourer cette langue tant désirée,
Avec douceur, contre moi, je t’ai serré, ta poitrine, contre mon torse, s’est plaquée
Impatientes, mes mains sur tes hanches tu as posé, et judicieusement tu les as guidé
Mes mains, vers tes épaules, ont remontés, pour tes cheveux caresser, la tête cambrée
Et sur tes seins, ont délicatement glissé, pour nonchalamment, ta robe déboutonner
Rayonnante, tu étais, quand un a un dégrafé, ta fine robe j’ai tendrement écarté
Voir ton corps, de sous vêtements coquins, vêtus, dans ton cou un baiser j’ai déposé
Imperceptiblement, ma main ton soutien gorge, j’ai dégrafé, pour ta poitrine dévoiler
Rien tu ne disais, tes mains caressant mon torse, ma bouche sur ton sein s’est posée
Tu as frissonné, a ce chaud contact, ton sein ferme, ma langue, s’est amusé, a joué
Un sein dont le mamelon, dans ma bouche a durcit, tel un petit sexe excité, dressé
Et de ma main, l’autre caresser, ce bout dressé, tendu, comme s’il voulait allaiter
La chemise, tu m’as enlevé, mes mains, sur tes hanches, ton slip, le faisaient rouler
Lentement tu t’es levée, pour que je puisse l’enlever, tes mains vers ma ceinture aller
Et de défaire et laisser tomber cet obstacle, qu’était mon pantalon, ta main tu as glissé
Mon membre dressé, dans ta main tu as pris pour le caresser, avec docilité, et volupté
Experte, avec tu l’a d’un vas et vient, lent et cadencé doucement masturbé, flatté
Nue, tes jambes tu as écarté, ta toison me dévoiler, ma tête vers elle tu as emmené
Tendrement avec ma langue, les poils jouer, goulûment goûter, ton ventre j’ai dégusté
Chaud il était, et son doux et suave parfum exhalé, ma langue est encore plus bas aller
Ondulant, ton corps, ma langue a rencontré ton puit d’amour, il était doucement trempé
Mouillée, le lèvres entrouvertes, ma tête tu as plaqué, et ma langue avec s’est amusée
Mon membre encore plus excité, tendu a l’extrême, tu continuais a caresser, jouer
Et moi, de ton humidité, de ton nectar, me délecter, délicatement m’en abreuver
S’insinuant en toi, ma langue experte, le petit bout elle a doucement sucé, mordillé
Immense était ton désir, tes hanches allant et venant, comme pour en toi m’appeler
Caressant ton corps, abandonné, qui ardemment me demandait de encore plus loin aller
Ensemble sur le lit, nous nous sommes allongés, dans un long et voluptueux baiser
Tu m’as attiré a toi, les jambes écartées, ton puit d’amour j’ai doucement caresser
Avec douceur sur toi, je me suis mis, dans tes yeux, brillants, ton corps se cambrer
Irrésistiblement, mon membre, tu as guidé, vers ton intimité luisante, et lubrifiée
Tu voulais que je te pénètre, avec mon bout, les lèvres de ton sexe j’ai écarté
Lentement le frôler, contre ces lèvres près à l’engloutir, ton clitoris, le frotter
Avec douceur, lentement les frotter, un soubresaut, tout ton corps a vibré
Reluisant de ton humidité, mon membre contre ton ventre, je continu a caresser
Et avec douceur, tes lèvres s’ouvrent tel une fleur, me glisser, ton sexe m’absorber
Avec un même rythme, nos corps ont ondulés, mon membre de ton sexe ganté
Lentement ce va et vient, ton corps tendu, doucement ce rythme s’est accélère
Imperceptiblement, de petits gémissements, tu as laissé échappés, le cou cambré
Tes reins, ce rythme ont accélérés, quand dans ton ventre, le désir est monté
Et ce va et vient, est devenu une folle chevauchée, rauque ta voix, quand tu as râlé
Rien ne comptait plus que ce plaisir partagé, nos corps vibrant de façon effrénée
Et ton râle est devenu un immense cri, quand ta jouissance t’a d’un coup submergé
Vibrant, j’ai continué, deux ou trois fois, ton cri s’est échappé, totalement incontrôlé
En toi, ma semence a giclé, en plusieurs vagues, une a une a se succéder, en toi inonder
Ondulant ton corps bandé, comme pour mieux cette douce chaleur en toi, apprécier
Un élan de tendresse nous a submergé, quand profondément en toi, on s’est enlacés
Respirant encore tous deux, avec difficulté, mes mains, ton corps ont remerciés
Avec infinie douceur, près de toi, j’ai glissé, pour sur mon épaule tu viennes te lover
Les yeux luisants, tu m’as regardé, le plaisir dans ton regard, je l’ai vu, s’illuminer
Il émanait de ton corps, un bien être, la beauté d’un corps de femme comblée
Tes yeux tu as fermés, et doucement dans le sommeil, tu as doucement plongé
En te voyant ainsi assoupie, ton corps, j’ai eu encore envie, de le combler de l’aimer
Je t’ai regardé dormir, dans tes tendres rêves, tu étais partie, tu t’étais évadée
Et un sourire dans ton sommeil, sur tes lèvres s’est formé, ton visage s’est illuminé
Notre étreinte, ton cœur encore était en train de se la remémorer, la revisionner
Et délicatement d’un drap, ton corps, j’ai recouvert, pour pudiquement le cacher
Sans rien dire, je t’ai veillé, dans la chambre, la lumière descendait, la nuit tombée
Avec tendresse tes cheveux j’ai caressé, ta tête lovée, comme un chat, à ronronner
Un instant de tendre quiétude, de renouveau, un moment de douce sérénité
Regardant ton corps, j’ai imaginé, tous ces millions de petits moi, en toi lovés
Allant, nageant avec frénésie, pour leur devoir accomplir, ainsi programmés
Instant magique, au plus profond de toi, moi, dans ce lieu ou la vie va se créer
Sagement à l’abri, ce lieu accueillant, attend, cette autre moitié, d’être fécondé
genre:oser
Ecrire une telle scène, je vais la narrer, elle sera osée, j’espère ne pas te choquer
Faire cet exercice, pour faire ton imagination vagabonder, qui sait t’exciter
Après sur mon blog, s’être rencontrés, a une sorte de jeu, on a tous deux jouer
Imagines, je suis en face de toi, belle tu t’es faite, tu t’es a cet instant préparée
Rien que dans ton regard, je vois luire ce désir refoulé, d’être follement aimée
Elégamment vêtue, une petite robe boutonnée, qui me laisse tes dessous deviner
Un emplacement savamment choisi, en contre jour, pour voir ton corps se dessiner
Négligemment les jambes légèrement écartées, tu me laisses te regarder, amusée
Près de toi, une chaise, ou tu vas t’asseoir, avec grâce et volupté, jambes croisées
Oh, tu as pris ton temps, pour que ton entre jambe, j’ai eu le temps de l’observer
Et ton regard aguicheur, me disant viens, me suppliant presque de m’approcher
Mon corps s’est de toi rapproché, ma bouche s’est avec délice sur la tienne posée
Et d’échanger un merveilleux baiser, face a toi, je me suis tendrement agenouillé
Tes douces mains mon cou, ont entourés, pour savourer cette langue tant désirée,
Avec douceur, contre moi, je t’ai serré, ta poitrine, contre mon torse, s’est plaquée
Impatientes, mes mains sur tes hanches tu as posé, et judicieusement tu les as guidé
Mes mains, vers tes épaules, ont remontés, pour tes cheveux caresser, la tête cambrée
Et sur tes seins, ont délicatement glissé, pour nonchalamment, ta robe déboutonner
Rayonnante, tu étais, quand un a un dégrafé, ta fine robe j’ai tendrement écarté
Voir ton corps, de sous vêtements coquins, vêtus, dans ton cou un baiser j’ai déposé
Imperceptiblement, ma main ton soutien gorge, j’ai dégrafé, pour ta poitrine dévoiler
Rien tu ne disais, tes mains caressant mon torse, ma bouche sur ton sein s’est posée
Tu as frissonné, a ce chaud contact, ton sein ferme, ma langue, s’est amusé, a joué
Un sein dont le mamelon, dans ma bouche a durcit, tel un petit sexe excité, dressé
Et de ma main, l’autre caresser, ce bout dressé, tendu, comme s’il voulait allaiter
La chemise, tu m’as enlevé, mes mains, sur tes hanches, ton slip, le faisaient rouler
Lentement tu t’es levée, pour que je puisse l’enlever, tes mains vers ma ceinture aller
Et de défaire et laisser tomber cet obstacle, qu’était mon pantalon, ta main tu as glissé
Mon membre dressé, dans ta main tu as pris pour le caresser, avec docilité, et volupté
Experte, avec tu l’a d’un vas et vient, lent et cadencé doucement masturbé, flatté
Nue, tes jambes tu as écarté, ta toison me dévoiler, ma tête vers elle tu as emmené
Tendrement avec ma langue, les poils jouer, goulûment goûter, ton ventre j’ai dégusté
Chaud il était, et son doux et suave parfum exhalé, ma langue est encore plus bas aller
Ondulant, ton corps, ma langue a rencontré ton puit d’amour, il était doucement trempé
Mouillée, le lèvres entrouvertes, ma tête tu as plaqué, et ma langue avec s’est amusée
Mon membre encore plus excité, tendu a l’extrême, tu continuais a caresser, jouer
Et moi, de ton humidité, de ton nectar, me délecter, délicatement m’en abreuver
S’insinuant en toi, ma langue experte, le petit bout elle a doucement sucé, mordillé
Immense était ton désir, tes hanches allant et venant, comme pour en toi m’appeler
Caressant ton corps, abandonné, qui ardemment me demandait de encore plus loin aller
Ensemble sur le lit, nous nous sommes allongés, dans un long et voluptueux baiser
Tu m’as attiré a toi, les jambes écartées, ton puit d’amour j’ai doucement caresser
Avec douceur sur toi, je me suis mis, dans tes yeux, brillants, ton corps se cambrer
Irrésistiblement, mon membre, tu as guidé, vers ton intimité luisante, et lubrifiée
Tu voulais que je te pénètre, avec mon bout, les lèvres de ton sexe j’ai écarté
Lentement le frôler, contre ces lèvres près à l’engloutir, ton clitoris, le frotter
Avec douceur, lentement les frotter, un soubresaut, tout ton corps a vibré
Reluisant de ton humidité, mon membre contre ton ventre, je continu a caresser
Et avec douceur, tes lèvres s’ouvrent tel une fleur, me glisser, ton sexe m’absorber
Avec un même rythme, nos corps ont ondulés, mon membre de ton sexe ganté
Lentement ce va et vient, ton corps tendu, doucement ce rythme s’est accélère
Imperceptiblement, de petits gémissements, tu as laissé échappés, le cou cambré
Tes reins, ce rythme ont accélérés, quand dans ton ventre, le désir est monté
Et ce va et vient, est devenu une folle chevauchée, rauque ta voix, quand tu as râlé
Rien ne comptait plus que ce plaisir partagé, nos corps vibrant de façon effrénée
Et ton râle est devenu un immense cri, quand ta jouissance t’a d’un coup submergé
Vibrant, j’ai continué, deux ou trois fois, ton cri s’est échappé, totalement incontrôlé
En toi, ma semence a giclé, en plusieurs vagues, une a une a se succéder, en toi inonder
Ondulant ton corps bandé, comme pour mieux cette douce chaleur en toi, apprécier
Un élan de tendresse nous a submergé, quand profondément en toi, on s’est enlacés
Respirant encore tous deux, avec difficulté, mes mains, ton corps ont remerciés
Avec infinie douceur, près de toi, j’ai glissé, pour sur mon épaule tu viennes te lover
Les yeux luisants, tu m’as regardé, le plaisir dans ton regard, je l’ai vu, s’illuminer
Il émanait de ton corps, un bien être, la beauté d’un corps de femme comblée
Tes yeux tu as fermés, et doucement dans le sommeil, tu as doucement plongé
En te voyant ainsi assoupie, ton corps, j’ai eu encore envie, de le combler de l’aimer
Je t’ai regardé dormir, dans tes tendres rêves, tu étais partie, tu t’étais évadée
Et un sourire dans ton sommeil, sur tes lèvres s’est formé, ton visage s’est illuminé
Notre étreinte, ton cœur encore était en train de se la remémorer, la revisionner
Et délicatement d’un drap, ton corps, j’ai recouvert, pour pudiquement le cacher
Sans rien dire, je t’ai veillé, dans la chambre, la lumière descendait, la nuit tombée
Avec tendresse tes cheveux j’ai caressé, ta tête lovée, comme un chat, à ronronner
Un instant de tendre quiétude, de renouveau, un moment de douce sérénité
Regardant ton corps, j’ai imaginé, tous ces millions de petits moi, en toi lovés
Allant, nageant avec frénésie, pour leur devoir accomplir, ainsi programmés
Instant magique, au plus profond de toi, moi, dans ce lieu ou la vie va se créer
Sagement à l’abri, ce lieu accueillant, attend, cette autre moitié, d’être fécondé
genre:oser
Je suis seul
Au seuil de mon royaume,
J'entrevois la douceur des foyers et de leur chaumes,
Je n'ai envie que d'éjaculer mon mépris,
Si loin que même les plus vastes contré en seront humectée,
Voilà un bien triste baume pour mes larmes brûlées,
J'attends encore la face cachée de mon sosie,
D'ici là la lune me garde bien de ne pas faire de bêtises,
Mais...lentement ma cornée m'incise...
genre:amour
J'entrevois la douceur des foyers et de leur chaumes,
Je n'ai envie que d'éjaculer mon mépris,
Si loin que même les plus vastes contré en seront humectée,
Voilà un bien triste baume pour mes larmes brûlées,
J'attends encore la face cachée de mon sosie,
D'ici là la lune me garde bien de ne pas faire de bêtises,
Mais...lentement ma cornée m'incise...
genre:amour
m’as dit "touche"
tu m’as dit "touche"
et tu m’as mit ton sexe dans la bouche
les yeux remplis de larmes
toi, qui étais sage devant les gendarmes
je ne savais quoi faire
alors j’ai du me taire
pourquoi je n’es pas crier?
peut-être pour ne pas me faire tuer?
j’ai senti une main me carresser
elle allait de plus en plus bas
à mon sexe tu es arrivé
et tu y a mis tes doigts
toi qui comme une fou bandé
pour une enfant abandomné
ton sexe dur et fou
m’a pénétré d’un seul coup
j’ai du gémir, et tu m’as frappé
je n’en pouvé plus
toi qui éjaculer
comment as-tu pus?
tout en me mordant les seins
tu te sentais bien malin
moi le coeur meutri
je croyais que c’étais la fin de ma vie
puis tu m’as attaché
sans avoir ou je me trouvais
et tu es partis
toi et ton sexe pourri
me laissant seul, nu
je n’y croyais plus
c’est deux jours après
qu’il m’on retrouvé
je me sens plus moi même
est -ce qu’un je serai indemne
j’aurai la joie de vivre
mais l’espèrence de survivre
genre:sex
et tu m’as mit ton sexe dans la bouche
les yeux remplis de larmes
toi, qui étais sage devant les gendarmes
je ne savais quoi faire
alors j’ai du me taire
pourquoi je n’es pas crier?
peut-être pour ne pas me faire tuer?
j’ai senti une main me carresser
elle allait de plus en plus bas
à mon sexe tu es arrivé
et tu y a mis tes doigts
toi qui comme une fou bandé
pour une enfant abandomné
ton sexe dur et fou
m’a pénétré d’un seul coup
j’ai du gémir, et tu m’as frappé
je n’en pouvé plus
toi qui éjaculer
comment as-tu pus?
tout en me mordant les seins
tu te sentais bien malin
moi le coeur meutri
je croyais que c’étais la fin de ma vie
puis tu m’as attaché
sans avoir ou je me trouvais
et tu es partis
toi et ton sexe pourri
me laissant seul, nu
je n’y croyais plus
c’est deux jours après
qu’il m’on retrouvé
je me sens plus moi même
est -ce qu’un je serai indemne
j’aurai la joie de vivre
mais l’espèrence de survivre
genre:sex
Fellation2
Faisant de ta bouche un recueil de plaisirs;
Et le va et vient de ta langue décuplant mon désir;
La douceur de tes lèvres me donnant des frissons;
La dureté de mon sexe réveillant ton excitation...
Alternant langueur et vivacité,
Tour à tour gourmande et sensuelle,
Il ne te faut pas longtemps pour faire monter la pression.
Osmose parfaite de deux membres en action.
N'y tenant plus,je sens venir l'éjaculation...
genre:sex
Et le va et vient de ta langue décuplant mon désir;
La douceur de tes lèvres me donnant des frissons;
La dureté de mon sexe réveillant ton excitation...
Alternant langueur et vivacité,
Tour à tour gourmande et sensuelle,
Il ne te faut pas longtemps pour faire monter la pression.
Osmose parfaite de deux membres en action.
N'y tenant plus,je sens venir l'éjaculation...
genre:sex
Plus de timidité !
Laisse moi te toucher,
Laisse toi aller,
Et le destin t'emporter,
Je veux t'admirer de plus prêt,
Laisse moi glisser mes mains ou personne n'a accés,
Mes ta timidité de côté et laisse moi te montrer,
Ce qu'est la réalité,
Ne pense pas que je ne suis qu'un objet,
Détrompe toi je ne suis pas la que pour figurer,
Mais pour te faire vibrer,
Poser mes mains sur ton sex,
Et laisser faire le reste,
Mais toujours avec de la tendresse,
Laisse moi te montrer admire ce que tu as devant toi ,
Car cela ne se reproduira pas deux fois,
Fais toi plaisir prend moi fait moi tout ce que tu as envie ,
Par derrière ou devant je me laisserais faire,
Sans rien dire car ce soir c'est ta soirée chéri,
Tu peux y aller j'ai envie de faire l'amour toute la nuit,
Me faire jouir éjaculer comme un puits,
Lêche moi, embrasse moi ,
Montre moi tout ce que tu as,
Ah que j'aime quand tu es actif,
Je serais passive pour cette fois ....
genre:sex
Laisse toi aller,
Et le destin t'emporter,
Je veux t'admirer de plus prêt,
Laisse moi glisser mes mains ou personne n'a accés,
Mes ta timidité de côté et laisse moi te montrer,
Ce qu'est la réalité,
Ne pense pas que je ne suis qu'un objet,
Détrompe toi je ne suis pas la que pour figurer,
Mais pour te faire vibrer,
Poser mes mains sur ton sex,
Et laisser faire le reste,
Mais toujours avec de la tendresse,
Laisse moi te montrer admire ce que tu as devant toi ,
Car cela ne se reproduira pas deux fois,
Fais toi plaisir prend moi fait moi tout ce que tu as envie ,
Par derrière ou devant je me laisserais faire,
Sans rien dire car ce soir c'est ta soirée chéri,
Tu peux y aller j'ai envie de faire l'amour toute la nuit,
Me faire jouir éjaculer comme un puits,
Lêche moi, embrasse moi ,
Montre moi tout ce que tu as,
Ah que j'aime quand tu es actif,
Je serais passive pour cette fois ....
genre:sex
ALPHABET EROTIQUE POUR TOI MON AMOUR
A. Affamée , j'ai envie de faire l'amour
B. Brûlant , tu bandes de désir
C. Cochonne et coquine , ma chatte crie au secours
D. Dégoulinante de cyprine , j'ai envie de jouir
E. Ejaculation sur mon corps , tu as des frissons
F. Fougueuse d'envie , je te fais une fellation
G. Gourmande de tes doigts , tu me masturbes sans arrêter
H. Humidifié de ta langue , tu lèches mon clito trempé
I. Impatiente et excitée , j'écarte mes cuisses
J. Juteuse et stimulée , tu entres ton pénis
K. Kamasutra , nous le fesons avec avidité
L. Levrette est ma position préférée
M. Menotté , je profite de ton corps
N. Neutralisé , tu en demandes encore
O. Orgasme , tu sens que tu vas éjaculer
P. Préliminaires , je veut de nouveau te sucer
Q. Queue dans ma bouche , tu es au septième ciel
R. Récidive un cunillingus , c'est une merveille
S. Savoure mes tétons comme un parfum de campagne
T. Trempe et lèche tout mon corps au champagne
U. Union du lotus , une pénétration délicieuse
V. Verge et vagin accouplés , une union merveilleuse
W. Week-end sexuel à notre hôtel
X. Xxl est notre lit réel
Y. Yeux bridés par la passion de nos ébats
Z. Zone interdite sauf à toi et moi !
genre:sex
B. Brûlant , tu bandes de désir
C. Cochonne et coquine , ma chatte crie au secours
D. Dégoulinante de cyprine , j'ai envie de jouir
E. Ejaculation sur mon corps , tu as des frissons
F. Fougueuse d'envie , je te fais une fellation
G. Gourmande de tes doigts , tu me masturbes sans arrêter
H. Humidifié de ta langue , tu lèches mon clito trempé
I. Impatiente et excitée , j'écarte mes cuisses
J. Juteuse et stimulée , tu entres ton pénis
K. Kamasutra , nous le fesons avec avidité
L. Levrette est ma position préférée
M. Menotté , je profite de ton corps
N. Neutralisé , tu en demandes encore
O. Orgasme , tu sens que tu vas éjaculer
P. Préliminaires , je veut de nouveau te sucer
Q. Queue dans ma bouche , tu es au septième ciel
R. Récidive un cunillingus , c'est une merveille
S. Savoure mes tétons comme un parfum de campagne
T. Trempe et lèche tout mon corps au champagne
U. Union du lotus , une pénétration délicieuse
V. Verge et vagin accouplés , une union merveilleuse
W. Week-end sexuel à notre hôtel
X. Xxl est notre lit réel
Y. Yeux bridés par la passion de nos ébats
Z. Zone interdite sauf à toi et moi !
genre:sex
attente
Longtemps
Patienter dans le noir attaché par des cordes
Attendre
Et goûter chaque instant de ce jeu défendu
Oublier la pitié et la miséricorde
Quand viendra le moment que j’ai tant attendu
Rêver
En tirant sur les liens où mes poignets s’accrochent
Frémir
D’un frisson délicieux parcourant ma peau nue
Au bruit dans le couloir de vos pas qui s’approchent
A vous entendre rire avec des inconnus
Baisser
La tête honteusement lorsque la porte s’ouvre
Fermer
Les yeux quand du plafond une vive clarté
Dévoile mon corps nu à ceux qui me découvrent
Pendu les bras en croix et les pieds écartés.
Sentir
Leurs yeux posés sur moi comme une flétrissure
Rougir
D’entendre leurs propos et leurs ricanements
De chaque mot jeté comme d’une blessure
Humilié malheureux mais délicieusement
Alors
Résigné comme un chien misérablement lâche
Trembler
D’entendre dans mon dos un soyeux chuintement
C’est la chanson dans l’air que fait votre cravache
Quand votre bras retombe impitoyablement
Crier
Quand le cuir sur ma peau me mord et recommence
Danser
Marionnette grotesque et désarticulée
Implorer vainement l’impossible clémence
Japper d’une voix rauque et inarticulée
Gémir
Quand le fouet cesse enfin de claquer sans relâche
Brisé
Sans savoir quelle faute il m’a fallu expier
Attendre encore un peu qu’une main me détache
Et tomber humblement à genou à vos pieds
Et puis
Epuisé haletant et presque à bout de souffle
Courber
L’échine vers le sol et prosterné ainsi
Poser ma joue par terre, embrasser vos pantoufles
Et vous baiser les pieds en guise de « merci »
Enfin
Devant vos invités qui me couvrent d’injures
Malgré
La honte et le dégoût malgré l’humiliation
Tirer la langue pour nettoyer leurs chaussures
Leur offrant à chacun toute ma soumission
Après
De nouveau entravé les mains dessus la tête
Tout seul
Entendre mes bourreaux s’éloigner lentement
Savoir qu’ils reviendront consommer ma défaite
Profitant plus encor de mon renoncement
Attendre
Et trembler moins de peur que d’ignoble espérance
Rêver
D’être à nouveau sali d’être à nouveau fouetté
Mais la honte les coups mais cette déchéance
Le pire n’est il pas de les avoir souhaités
genre:sex
Patienter dans le noir attaché par des cordes
Attendre
Et goûter chaque instant de ce jeu défendu
Oublier la pitié et la miséricorde
Quand viendra le moment que j’ai tant attendu
Rêver
En tirant sur les liens où mes poignets s’accrochent
Frémir
D’un frisson délicieux parcourant ma peau nue
Au bruit dans le couloir de vos pas qui s’approchent
A vous entendre rire avec des inconnus
Baisser
La tête honteusement lorsque la porte s’ouvre
Fermer
Les yeux quand du plafond une vive clarté
Dévoile mon corps nu à ceux qui me découvrent
Pendu les bras en croix et les pieds écartés.
Sentir
Leurs yeux posés sur moi comme une flétrissure
Rougir
D’entendre leurs propos et leurs ricanements
De chaque mot jeté comme d’une blessure
Humilié malheureux mais délicieusement
Alors
Résigné comme un chien misérablement lâche
Trembler
D’entendre dans mon dos un soyeux chuintement
C’est la chanson dans l’air que fait votre cravache
Quand votre bras retombe impitoyablement
Crier
Quand le cuir sur ma peau me mord et recommence
Danser
Marionnette grotesque et désarticulée
Implorer vainement l’impossible clémence
Japper d’une voix rauque et inarticulée
Gémir
Quand le fouet cesse enfin de claquer sans relâche
Brisé
Sans savoir quelle faute il m’a fallu expier
Attendre encore un peu qu’une main me détache
Et tomber humblement à genou à vos pieds
Et puis
Epuisé haletant et presque à bout de souffle
Courber
L’échine vers le sol et prosterné ainsi
Poser ma joue par terre, embrasser vos pantoufles
Et vous baiser les pieds en guise de « merci »
Enfin
Devant vos invités qui me couvrent d’injures
Malgré
La honte et le dégoût malgré l’humiliation
Tirer la langue pour nettoyer leurs chaussures
Leur offrant à chacun toute ma soumission
Après
De nouveau entravé les mains dessus la tête
Tout seul
Entendre mes bourreaux s’éloigner lentement
Savoir qu’ils reviendront consommer ma défaite
Profitant plus encor de mon renoncement
Attendre
Et trembler moins de peur que d’ignoble espérance
Rêver
D’être à nouveau sali d’être à nouveau fouetté
Mais la honte les coups mais cette déchéance
Le pire n’est il pas de les avoir souhaités
genre:sex
Le Meunier
Samson le meunier est un vrai colosse,
Aussi laid qu'obèse et gras que hideux,
Son dos s'arrondit d'une énorme bosse
Et son regard glauque est libidineux.
Dans son vieux moulin, près de la rivière,
L'eau ne chante plus sur la roue de bois,
Mais à l'intérieur la meule de pierre
Inutilement grince quelquefois.
Deux esclaves nus, unis par les chaînes,
Inlassablement font tourner la roue,
Courbés sous le joug auquel les enchaînent
Les fers aux poignets et colliers aux cous.
Deux esclaves nus et mâle et femelle,
Peinant au moulin dans un même effort,
Offrent au meunier leurs croupes jumelles
Que vise son fouet, encore et encore.
Lorsque le serpent de cuir les agresse,
Leurs plaintes, leurs cris, leurs gémissements,
Amusent Samson dont tremble la graisse
Dans un rire affreux de contentement.
Ils sont harassés quand je les découvre,
Pitoyable et nue, tirée par le garde.
Passé l'escalier une porte s'ouvre
Et Samson sourit quand il me regarde,
D'un rictus hideux, presque une grimace,
En voyant mon corps déjà enchaîné
Et la nudité de la fille grasse
Punie comme moi et qu'il faut traîner.
" Voici deux catins à mettre à l'ouvrage !
Annonce le garde en nous présentant.
Enchaîne les donc à ton attelage
Et fais remuer leurs culs de juments !
As tu bien dressé la fille et sa lope,
La chienne n'a plus l'air d'être farouche !
Voyons si ton fouet l'a rendue salope,
Je vais lui fourrer ma queue dans la bouche ! "
Ils rient grassement tandis qu'ils déchaînent
Le couple haletant du terrible joug,
Puis le garde prend la fille et l'entraîne
Vers un vieux divan, tirée par le cou,
Le meunier brutal nous lie sans attendre
Ma compagne et moi et sauvagement
Son fouet vient claquer sur nos fesses tendres
Et claquer encor implacablement.
De ses hurlements Samson nous excite,
Comme du bétail, tendues sous l'effort,
A tourner la roue de plus en plus vite,
Poussant sur le joug de plus en plus fort.
Nous faisons grincer la meule de pierre
Et à chaque tour, Samson sans faiblir,
Sur nos croupes nues abat sa lanière
Et semble content s'il nous fait gémir.
Dans un dernier coup de fouet sur nos fesses,
Voyant son moulin tourner vite et bien,
Le meunier, grognant, enfin nous délaisse
Et va s'avachir auprès du gardien.
Celui-ci tenant fermement la tête
De la fille nue l'oblige à goûter
La verge tendue hors de sa braguette
Et trouve plaisants ses airs dégoûtés.
L'esclave à genou pleurniche et sanglote,
S'étouffant parfois quand le garde joue
A s'enfoncer tant qu'il heurte sa glotte
Et que quelques pleurs coulent sur ses joues.
Devant son mari blême d'impuissance
Misérablement la fille s'efforce
D'offrir au gardien son obéissance,
Lèvres arrondies au gland qui la force.
Samson lentement a ouvert son pagne,
Ordonnant au mâle en un geste odieux :
" Mets toi à genou comme ta compagne
Et nous verrons bien qui suce le mieux ! "
L'esclave interdit n'osant pas comprendre,
Le fouet du meunier lui vise les couilles.
Le mâle glapit, blessé au plus tendre
Et servilement, dompté, s'agenouille.
Pour jouir au mieux de sa déchéance
La main de Samson lui prend les cheveux
Et l'homme en dépit de sa répugnance
Doit ouvrir sa bouche à l'horrible queue.
Se faisant sucer comme bon leur semble
Les bourreaux grognant de contentement
Rythment de leurs mains dans un bel ensemble
Des bouches forcées le balancement.
Puis Samson lassé de cette caresse
Repousse du pied le mâle à genou.
C'est pour nous punir de notre paresse
Et le bras levé qu'il revient vers nous.
Quand son fouet s'abat : "Plus vite pétasses ! "
S'il tombe parfois sur mes reins brisés
C'est plutôt le cul de la fille grasse
A côté de moi qu'il semble viser.
Il rit de ses cris pointus de femelle
Quand à chaque tour, cambrée sous les coups
Elle fait trembler ses lourdes mamelles
Implorant pitié et pleurant beaucoup.
Puis en s'éloignant Samson nous menace :
" Trottez mes juments, plus vite et plus fort !
Je ferai danser vos culs de feignasses
Si vous ménagez par trop vos efforts. "
Aux pieds du divan la fille captive
Assiste effarée à l'humiliation
De son compagnon soumis qui s'active,
A faire au gardien une fellation.
" Malgré ses grands airs, ricane Samson
Ce petit pédé semble aimer la bite !
Quand tu jouiras, de toute façon
Mets la lui profond pour qu'il en profite. "
La main du meunier passe entre les cuisses
De la femme nue, fouillant sans complexe
Ses doigts boudinés cherchent l'orifice
Et l'ayant trouvé y glissent l'index.
Il force du doigt la caverne douce,
Y met le majeur puis un autre en plus
Et la fille crie en sentant le pouce
Dans un même temps lui percer l'anus.
Malgré les sursauts des reins lacérés
Le doigt indiscret viole l'anneau tendre.
" Elle a le con large et le cul serré.
Quelques coups de queue vont le lui détendre. "
Ses mains fermement contraignent la fille
A dresser sa croupe offerte et fendue.
Samson a genou entre ses chevilles
Apprête déjà sa verge tendue.
Ivre de désir, sans délicatesse,
Il force du gland l'úillet mauve et pale,
Obligeant l'esclave à ouvrir les fesses
Que d'un coup de reins, d'un seul, il empale.
Plantée violemment dans l'étroit passage
La queue du meunier, allant et venant
Encule la fille hurlante et saccage
L'anus éclaté à grands mouvements.
Le gardien jouit à la scène immonde
Et n'y tenant plus se vide en grognant
Dans la bouche du soumis qu'il inonde
De longs jets de sperme au goût répugnant.
Avant que Samson, gueulant comme un âne
Ne se cambre aussi, convulsivement,
Forçant un peu plus le cul qu'il profane
Et jouisse enfin, formidablement.
Tandis qu'en jurant le garde s'éloigne,
Poussant devant lui le couple affligé.
Enfin rassasié le meunier empoigne
Le fouet qu'il brandit pour nous corriger
Je devrai m'offrir à cette gargouille
Comme ces deux là, malgré sa laideur,
Lui sucer la queue, lui lécher les couilles,
Avaler sans fin sa mâle raideur .
Il me tarde que le garde revienne,
Que cessent les coups de fouet sur mon corps,
Je serai soumise et salope et chienne,
Tout ce qu'ils voudront , tout et pire encore.
Tout ce qu'ils voudront, mais que les coups cessent,
Qu'ils usent de moi comme d'un jouet
Je leur ouvrirai mon ventre et mes fesses
Tout ce qu'ils voudront, tout mais pas le fouet.
genre:sex
Aussi laid qu'obèse et gras que hideux,
Son dos s'arrondit d'une énorme bosse
Et son regard glauque est libidineux.
Dans son vieux moulin, près de la rivière,
L'eau ne chante plus sur la roue de bois,
Mais à l'intérieur la meule de pierre
Inutilement grince quelquefois.
Deux esclaves nus, unis par les chaînes,
Inlassablement font tourner la roue,
Courbés sous le joug auquel les enchaînent
Les fers aux poignets et colliers aux cous.
Deux esclaves nus et mâle et femelle,
Peinant au moulin dans un même effort,
Offrent au meunier leurs croupes jumelles
Que vise son fouet, encore et encore.
Lorsque le serpent de cuir les agresse,
Leurs plaintes, leurs cris, leurs gémissements,
Amusent Samson dont tremble la graisse
Dans un rire affreux de contentement.
Ils sont harassés quand je les découvre,
Pitoyable et nue, tirée par le garde.
Passé l'escalier une porte s'ouvre
Et Samson sourit quand il me regarde,
D'un rictus hideux, presque une grimace,
En voyant mon corps déjà enchaîné
Et la nudité de la fille grasse
Punie comme moi et qu'il faut traîner.
" Voici deux catins à mettre à l'ouvrage !
Annonce le garde en nous présentant.
Enchaîne les donc à ton attelage
Et fais remuer leurs culs de juments !
As tu bien dressé la fille et sa lope,
La chienne n'a plus l'air d'être farouche !
Voyons si ton fouet l'a rendue salope,
Je vais lui fourrer ma queue dans la bouche ! "
Ils rient grassement tandis qu'ils déchaînent
Le couple haletant du terrible joug,
Puis le garde prend la fille et l'entraîne
Vers un vieux divan, tirée par le cou,
Le meunier brutal nous lie sans attendre
Ma compagne et moi et sauvagement
Son fouet vient claquer sur nos fesses tendres
Et claquer encor implacablement.
De ses hurlements Samson nous excite,
Comme du bétail, tendues sous l'effort,
A tourner la roue de plus en plus vite,
Poussant sur le joug de plus en plus fort.
Nous faisons grincer la meule de pierre
Et à chaque tour, Samson sans faiblir,
Sur nos croupes nues abat sa lanière
Et semble content s'il nous fait gémir.
Dans un dernier coup de fouet sur nos fesses,
Voyant son moulin tourner vite et bien,
Le meunier, grognant, enfin nous délaisse
Et va s'avachir auprès du gardien.
Celui-ci tenant fermement la tête
De la fille nue l'oblige à goûter
La verge tendue hors de sa braguette
Et trouve plaisants ses airs dégoûtés.
L'esclave à genou pleurniche et sanglote,
S'étouffant parfois quand le garde joue
A s'enfoncer tant qu'il heurte sa glotte
Et que quelques pleurs coulent sur ses joues.
Devant son mari blême d'impuissance
Misérablement la fille s'efforce
D'offrir au gardien son obéissance,
Lèvres arrondies au gland qui la force.
Samson lentement a ouvert son pagne,
Ordonnant au mâle en un geste odieux :
" Mets toi à genou comme ta compagne
Et nous verrons bien qui suce le mieux ! "
L'esclave interdit n'osant pas comprendre,
Le fouet du meunier lui vise les couilles.
Le mâle glapit, blessé au plus tendre
Et servilement, dompté, s'agenouille.
Pour jouir au mieux de sa déchéance
La main de Samson lui prend les cheveux
Et l'homme en dépit de sa répugnance
Doit ouvrir sa bouche à l'horrible queue.
Se faisant sucer comme bon leur semble
Les bourreaux grognant de contentement
Rythment de leurs mains dans un bel ensemble
Des bouches forcées le balancement.
Puis Samson lassé de cette caresse
Repousse du pied le mâle à genou.
C'est pour nous punir de notre paresse
Et le bras levé qu'il revient vers nous.
Quand son fouet s'abat : "Plus vite pétasses ! "
S'il tombe parfois sur mes reins brisés
C'est plutôt le cul de la fille grasse
A côté de moi qu'il semble viser.
Il rit de ses cris pointus de femelle
Quand à chaque tour, cambrée sous les coups
Elle fait trembler ses lourdes mamelles
Implorant pitié et pleurant beaucoup.
Puis en s'éloignant Samson nous menace :
" Trottez mes juments, plus vite et plus fort !
Je ferai danser vos culs de feignasses
Si vous ménagez par trop vos efforts. "
Aux pieds du divan la fille captive
Assiste effarée à l'humiliation
De son compagnon soumis qui s'active,
A faire au gardien une fellation.
" Malgré ses grands airs, ricane Samson
Ce petit pédé semble aimer la bite !
Quand tu jouiras, de toute façon
Mets la lui profond pour qu'il en profite. "
La main du meunier passe entre les cuisses
De la femme nue, fouillant sans complexe
Ses doigts boudinés cherchent l'orifice
Et l'ayant trouvé y glissent l'index.
Il force du doigt la caverne douce,
Y met le majeur puis un autre en plus
Et la fille crie en sentant le pouce
Dans un même temps lui percer l'anus.
Malgré les sursauts des reins lacérés
Le doigt indiscret viole l'anneau tendre.
" Elle a le con large et le cul serré.
Quelques coups de queue vont le lui détendre. "
Ses mains fermement contraignent la fille
A dresser sa croupe offerte et fendue.
Samson a genou entre ses chevilles
Apprête déjà sa verge tendue.
Ivre de désir, sans délicatesse,
Il force du gland l'úillet mauve et pale,
Obligeant l'esclave à ouvrir les fesses
Que d'un coup de reins, d'un seul, il empale.
Plantée violemment dans l'étroit passage
La queue du meunier, allant et venant
Encule la fille hurlante et saccage
L'anus éclaté à grands mouvements.
Le gardien jouit à la scène immonde
Et n'y tenant plus se vide en grognant
Dans la bouche du soumis qu'il inonde
De longs jets de sperme au goût répugnant.
Avant que Samson, gueulant comme un âne
Ne se cambre aussi, convulsivement,
Forçant un peu plus le cul qu'il profane
Et jouisse enfin, formidablement.
Tandis qu'en jurant le garde s'éloigne,
Poussant devant lui le couple affligé.
Enfin rassasié le meunier empoigne
Le fouet qu'il brandit pour nous corriger
Je devrai m'offrir à cette gargouille
Comme ces deux là, malgré sa laideur,
Lui sucer la queue, lui lécher les couilles,
Avaler sans fin sa mâle raideur .
Il me tarde que le garde revienne,
Que cessent les coups de fouet sur mon corps,
Je serai soumise et salope et chienne,
Tout ce qu'ils voudront , tout et pire encore.
Tout ce qu'ils voudront, mais que les coups cessent,
Qu'ils usent de moi comme d'un jouet
Je leur ouvrirai mon ventre et mes fesses
Tout ce qu'ils voudront, tout mais pas le fouet.
genre:sex
Au Jardin
Dans le jardin, parmi les roses,
L'herbe est si verte et douce et tendre
Que j'aime, nue, à m'y étendre
Quand mon Maître, assis se repose.
L'herbe est si douce et tendre et verte
Que pour mériter sa clémence
J'implore sa mâle impatience
Langue sortie et bouche ouverte.
L'herbe est si verte et tendre et douce
Que sa liqueur m'enivre un peu
Lorsque sa main dans mes cheveux
M'attire à lui et me repousse.
Dans le jardin sous un vieux chêne
Où mon Maître aime à rêvasser,
Je peux aussi me délasser
Pendue au tronc par une chaîne.
Car mon seigneur parfois m'attache
Pour caresser mes charmes nus,
Mes reins offerts, mes seins menus,
Du cuir brûlant de sa cravache.
Quand il a fait couler mes pleurs,
Quand il m'a fait crier assez,
Mon Seigneur aime à rêvasser
Dans le jardin parmi les fleurs.
Dans le jardin parmi les fleurs,
Outre le chêne au tronc énorme
Il est un charme et un vieil orme,
Chacun d'entre eux a ma faveur
Quand enchaînée à l'un des trois,
Les seins écrasés sur l'écorce,
Je m'offre au Seigneur qui me force
Malgré mes cris au plus étroit.
Et j'aime assez, je le confesse
La mâle étreinte qu'il m'impose
Dans le jardin parmi les roses
En s'enfonçant entre mes fesses.
genre:sex
L'herbe est si verte et douce et tendre
Que j'aime, nue, à m'y étendre
Quand mon Maître, assis se repose.
L'herbe est si douce et tendre et verte
Que pour mériter sa clémence
J'implore sa mâle impatience
Langue sortie et bouche ouverte.
L'herbe est si verte et tendre et douce
Que sa liqueur m'enivre un peu
Lorsque sa main dans mes cheveux
M'attire à lui et me repousse.
Dans le jardin sous un vieux chêne
Où mon Maître aime à rêvasser,
Je peux aussi me délasser
Pendue au tronc par une chaîne.
Car mon seigneur parfois m'attache
Pour caresser mes charmes nus,
Mes reins offerts, mes seins menus,
Du cuir brûlant de sa cravache.
Quand il a fait couler mes pleurs,
Quand il m'a fait crier assez,
Mon Seigneur aime à rêvasser
Dans le jardin parmi les fleurs.
Dans le jardin parmi les fleurs,
Outre le chêne au tronc énorme
Il est un charme et un vieil orme,
Chacun d'entre eux a ma faveur
Quand enchaînée à l'un des trois,
Les seins écrasés sur l'écorce,
Je m'offre au Seigneur qui me force
Malgré mes cris au plus étroit.
Et j'aime assez, je le confesse
La mâle étreinte qu'il m'impose
Dans le jardin parmi les roses
En s'enfonçant entre mes fesses.
genre:sex
Week-end au château
Parfois pour quelques jours, quand mon maître s'absente,
Il me donne à garder à un petit marquis
Qui possède un domaine aux tourelles charmantes,
Entouré de hauts murs à coté de Roissy.
Le plaisir de cet homme amoureux de peinture
Est de réaliser des tableaux décadents,
De peindre des corps nus en obscènes postures
Et je sers de modèle à ses jeux innocents.
Les toiles qu'il accroche aux murs de l'atelier
Montrent chaque détail de mon corps grand ouvert,
Mon sexe lisse et doux, lèvres entrebâillées
Et l'ourlet mauve et rond de mon anus offert.
Il ne se sert jamais de mon obéissance
Et n'utilise pas mon corps pour ses envies,
Mais contemple souvent ma superbe indécence
Car je dois être nue tout le jour près de lui.
Et quelquefois le soir comme jument fidèle,
S'il me fait atteler aux brancards d'un sulky,
C'est pour mieux profiter de mes fesses jumelles
Pour une course folle autour de la prairie.
Trottinant devant lui qui me tient par les rênes,
Je veille à remuer ma croupe joliment
Jusqu'à ce qu'épuisée, en sueur, il me ramène
Devant les écuries où son valet m'attend.
Là, toujours attelée, ce serviteur inculte,
Sous les yeux du marquis ironique et narquois,
Profite de mon corps qu'il pétrit et m'insulte,
Me traitant de salope et de pute à bourgeois.
Il m'oblige à sucer sa verge large et lisse
Et me viole la gorge en puissants coups de reins,
Son maître calmement à ses cotés esquisse
Cette étreinte sauvage à grands coups de fusain.
Avant de dessiner les traits de mon visage
Que le valet présente en tirant mes cheveux,
Essayant de figer mes cris quand il saccage
Mon anus trop serré de son membre noueux.
genre:sex
Il me donne à garder à un petit marquis
Qui possède un domaine aux tourelles charmantes,
Entouré de hauts murs à coté de Roissy.
Le plaisir de cet homme amoureux de peinture
Est de réaliser des tableaux décadents,
De peindre des corps nus en obscènes postures
Et je sers de modèle à ses jeux innocents.
Les toiles qu'il accroche aux murs de l'atelier
Montrent chaque détail de mon corps grand ouvert,
Mon sexe lisse et doux, lèvres entrebâillées
Et l'ourlet mauve et rond de mon anus offert.
Il ne se sert jamais de mon obéissance
Et n'utilise pas mon corps pour ses envies,
Mais contemple souvent ma superbe indécence
Car je dois être nue tout le jour près de lui.
Et quelquefois le soir comme jument fidèle,
S'il me fait atteler aux brancards d'un sulky,
C'est pour mieux profiter de mes fesses jumelles
Pour une course folle autour de la prairie.
Trottinant devant lui qui me tient par les rênes,
Je veille à remuer ma croupe joliment
Jusqu'à ce qu'épuisée, en sueur, il me ramène
Devant les écuries où son valet m'attend.
Là, toujours attelée, ce serviteur inculte,
Sous les yeux du marquis ironique et narquois,
Profite de mon corps qu'il pétrit et m'insulte,
Me traitant de salope et de pute à bourgeois.
Il m'oblige à sucer sa verge large et lisse
Et me viole la gorge en puissants coups de reins,
Son maître calmement à ses cotés esquisse
Cette étreinte sauvage à grands coups de fusain.
Avant de dessiner les traits de mon visage
Que le valet présente en tirant mes cheveux,
Essayant de figer mes cris quand il saccage
Mon anus trop serré de son membre noueux.
genre:sex
Fouettée
Au premier coup reçu j'ai crié de surprise
Tant le cuir a brûlé mes fesses dénudées.
Mon bourreau cependant a prouvé sa maîtrise
Quand le deuxième coup a croisé le premier.
Ce monstre me fouettait avec application,
Usant avec vigueur d'un long fouet de cocher.
Maître me regardait avec délectation,
Souriant chaque fois que mon corps se cambrait
Quand le troisième coup eut claqué sur mes fesses
Je n'ai pu retenir un sourd gémissement,
Mais j'ai hurlé je crois quand la lanière épaisse
A lacéré mes reins d'un souple mouvement.
Maître ordonna alors au bourreau " Fais la taire " !
Celui-ci m'enfonça un mors entre les dents
Et referma le tout au moyen d'une paire
De sangles resserrées sur mon cou fermement.
Le coup suivant visa l'intérieur de mes cuisses
Et mon cri sëétouffa dans le cruel bâillon.
Le sixième mordit dans la chair tendre et lisse
De l'entrejambe offerte à la flagellation.
Je n'étais pas punie, j'avais été docile,
Si Maître me faisait endurer ce tourment
C'était pour son plaisir à voir mon corps gracile
Se tordre dans les liens, ouvert impudemment.
Le bourreau, méprisant, saisit une cravache.
Une première fois elle cingla mes reins.
J'ai rué follement, à briser mes attaches
Quand le coup qui suivit a lacéré mes seins.
" Pour les deux derniers coups, seulement sur les fesses,"
Ordonna mon seigneur modérant le bourreau,
Mais malgré mon regard suppliant de détresse
Par deux fois le cuir noir a claqué sur ma peau .
Quand le bourreau défit mes mains de la potence,
Je tombais sur le sol, frissonnante à ses pieds.
" Tu l'as bien cravachée, prend donc ta récompense"
Dit mon maître en riant de mes pleurs humiliés.
Et devant mon seigneur, sans même me défendre,
A genou sur le sol, les cuisses écartées,
Je n'ai pu que subir et me laisser pourfendre
Par la queue du bourreau qui m'a sodomisée.
genre:sex
Tant le cuir a brûlé mes fesses dénudées.
Mon bourreau cependant a prouvé sa maîtrise
Quand le deuxième coup a croisé le premier.
Ce monstre me fouettait avec application,
Usant avec vigueur d'un long fouet de cocher.
Maître me regardait avec délectation,
Souriant chaque fois que mon corps se cambrait
Quand le troisième coup eut claqué sur mes fesses
Je n'ai pu retenir un sourd gémissement,
Mais j'ai hurlé je crois quand la lanière épaisse
A lacéré mes reins d'un souple mouvement.
Maître ordonna alors au bourreau " Fais la taire " !
Celui-ci m'enfonça un mors entre les dents
Et referma le tout au moyen d'une paire
De sangles resserrées sur mon cou fermement.
Le coup suivant visa l'intérieur de mes cuisses
Et mon cri sëétouffa dans le cruel bâillon.
Le sixième mordit dans la chair tendre et lisse
De l'entrejambe offerte à la flagellation.
Je n'étais pas punie, j'avais été docile,
Si Maître me faisait endurer ce tourment
C'était pour son plaisir à voir mon corps gracile
Se tordre dans les liens, ouvert impudemment.
Le bourreau, méprisant, saisit une cravache.
Une première fois elle cingla mes reins.
J'ai rué follement, à briser mes attaches
Quand le coup qui suivit a lacéré mes seins.
" Pour les deux derniers coups, seulement sur les fesses,"
Ordonna mon seigneur modérant le bourreau,
Mais malgré mon regard suppliant de détresse
Par deux fois le cuir noir a claqué sur ma peau .
Quand le bourreau défit mes mains de la potence,
Je tombais sur le sol, frissonnante à ses pieds.
" Tu l'as bien cravachée, prend donc ta récompense"
Dit mon maître en riant de mes pleurs humiliés.
Et devant mon seigneur, sans même me défendre,
A genou sur le sol, les cuisses écartées,
Je n'ai pu que subir et me laisser pourfendre
Par la queue du bourreau qui m'a sodomisée.
genre:sex
A table
Il m'arrive parfois de servir nue à table
Les quelques invités que mon maître convie,
Et quand je sens leurs yeux sur mon corps vulnérable
Je me sens à la fois troublée et avilie.
Mais après le dessert, quand Maître le commande
Je passe sous la nappe afin de leur offrir
L'entière soumission de mes lèvres gourmandes
Et mon habileté à les faire jouir.
Sortant sans hésiter leurs queues de leurs braguettes
Ils appuient doucement de la main sur ma tête
En me complimentant d'être si peu farouche.
Et prennent leur plaisir en m'inondant la bouche,
M'ordonnant d'avaler leur amère semence
Et d'offrir au suivant ma trouble complaisance.
genre:sex
Les quelques invités que mon maître convie,
Et quand je sens leurs yeux sur mon corps vulnérable
Je me sens à la fois troublée et avilie.
Mais après le dessert, quand Maître le commande
Je passe sous la nappe afin de leur offrir
L'entière soumission de mes lèvres gourmandes
Et mon habileté à les faire jouir.
Sortant sans hésiter leurs queues de leurs braguettes
Ils appuient doucement de la main sur ma tête
En me complimentant d'être si peu farouche.
Et prennent leur plaisir en m'inondant la bouche,
M'ordonnant d'avaler leur amère semence
Et d'offrir au suivant ma trouble complaisance.
genre:sex
L'alliance
Si Maître désormais m'interdit les bijoux,
Je porte toutefois à mon ventre une alliance,
Ornement de mon sexe épilé, lisse et doux,
Gage de mon amour, preuve d'obéissance.
Chaque pas dans la rue me fait me souvenir,
Par le doux frottement de l'or contre ma peau
Que j'ai fait le serment de lui appartenir
Quand il m'a fait percer pour poser cet anneau.
Et quand nue, enchaînée, il me promène en laisse,
C'est à cet endroit là qu'aggravant ma détresse
Il croche un mousqueton avant de m'exhiber,
Dans les cruels donjons où des regards complices
Détaillent à loisir, pendant entre mes cuisses,
La chaîne balançant à ma chair étirée.
genre:sex
Je porte toutefois à mon ventre une alliance,
Ornement de mon sexe épilé, lisse et doux,
Gage de mon amour, preuve d'obéissance.
Chaque pas dans la rue me fait me souvenir,
Par le doux frottement de l'or contre ma peau
Que j'ai fait le serment de lui appartenir
Quand il m'a fait percer pour poser cet anneau.
Et quand nue, enchaînée, il me promène en laisse,
C'est à cet endroit là qu'aggravant ma détresse
Il croche un mousqueton avant de m'exhiber,
Dans les cruels donjons où des regards complices
Détaillent à loisir, pendant entre mes cuisses,
La chaîne balançant à ma chair étirée.
genre:sex
la fellation
le prendre dans vos mains pour lui parlé d'amour
avec simplicité juste le caressé laisser le venir à vous
faire de cette objet de luxure un ardant complice
écoute le vous parlez de votre désir
l'embrasser et le soumettre à votre bouche
l'envelopper de tout votre savoir faire
avaler cette verge si correcte
toujours prête pour votre plaisir
innocente de se savoir aimer
oh ! joie de pouvoir éjaculer son bonheur
non ! deja prêt à recommencer
genre:sex
avec simplicité juste le caressé laisser le venir à vous
faire de cette objet de luxure un ardant complice
écoute le vous parlez de votre désir
l'embrasser et le soumettre à votre bouche
l'envelopper de tout votre savoir faire
avaler cette verge si correcte
toujours prête pour votre plaisir
innocente de se savoir aimer
oh ! joie de pouvoir éjaculer son bonheur
non ! deja prêt à recommencer
genre:sex
un bel acte
en étant sur mon nuage,je suis en plein présage,
je m'imagine nue à tes côtés, prête à te faire fantasmer,
sur mon corps de l'huile étalée, une odeur parfumée de fleur de tiaré,
un envoutement certain, tu me prends la main,
ouvrant les yeux, comme un garçon amoureux,
sentant ce parfum t'envahir, j'aperçois ton plus beau sourire,
ta main caresse mes seins, je suis éprise de frissons mais tu restes serein,
tu effleures mes lèvres de ta bouche,
je tremble dès que tu me touches,
ces baisers si sensuels,
me rendent si naturelle,
je me relève pour te titiller l'oreille,
tu es comme une merveille,
frissons et excitation mêlées,
cou désarticulé,
respiration en accélérée,
je te sens balbutier,
mes baisers descendent petit a petit au nombril,
tu as peur de partir en vrille,
passant mon doigt a la lisière de ton pantalon,
je ressens ton excitation,
puis je te déshabille,
tes pupilles brillent,
trouvant ce beau bijou,
je n'ai qu'une envie faire joujou,
m'offrant à elle,
comme une véritable pucelle,
je l'admire tout en la léchant,
de bas en haut cela est excitant,
m'arrêtant sur le frein particulièrement,
je m'amuse tout en te titillant,
ta verge durcit de plus en plus,
je sens ce fameux tonus,
gobant tes bourses,
à mes yeux c'est la source,
les faisant valser,
elles sont toutes mouillées,
tu me retournes d'un air sauvage,
en me disant que je n'ai pas été sage,
vient a mon tour d'être excitée,
un cuni je l'aurai bien mérité,
tu te mets à me lécher les lèvres puis le clitoris,
je subis un vrai supplice,
puis vient le tour de me doigter tout en continuant de me lécher,
je ne sais plus quoi dire je suis toute mouillée,
je hurle de désir,
je me mets à jouir,
ensuite je sens ta verge me pénétrer,
je te sens en moi, j'en suis toute excitée,
tes va et vient m'enchantent,
je deviens craquante,
je te saisis la nuque pour t'embrasser et te mordre la bouche,
puis mes mains posées sur tes fesses te touchent,
mes ongles plantés dans ton dos,
je crie toujours de plus en plus haut,
ce missionnaire m'ait fatal,
je me sens bestial,
vient au tour de l'andromaque,que je l'aime,
je me positionne sans problème,
toujours ce même plaisir,
toujours ce même désir,
je me mets accroupie et commence mes mouvements verticaux doucement,
puis de plus en plus rapidement,
tu es si excité que je crois rêver,
ton souffle s'accélère,
tu respires mon air,
puis passant à genoux,
afin de te sentir au fond du trou,
un régal cette position,
que je la fais avec admiration,
puis vient le tour de la levrette,
je crois que c'est ma fête,
tu aperçois mes belles courbes,
et connait mes pensées fourbes,
tes mains posées sur mes fesses,
je sens ces petites caresses,
et vient le moment de l'orgasme fatidique,
ou nous sommes uniques,
face a ce puissant effort,
on en redemande encore,
une fois l'acte terminé,
à ton oreille je viens susurrer,
que je t'ai toujours désiré...
genre:sex
je m'imagine nue à tes côtés, prête à te faire fantasmer,
sur mon corps de l'huile étalée, une odeur parfumée de fleur de tiaré,
un envoutement certain, tu me prends la main,
ouvrant les yeux, comme un garçon amoureux,
sentant ce parfum t'envahir, j'aperçois ton plus beau sourire,
ta main caresse mes seins, je suis éprise de frissons mais tu restes serein,
tu effleures mes lèvres de ta bouche,
je tremble dès que tu me touches,
ces baisers si sensuels,
me rendent si naturelle,
je me relève pour te titiller l'oreille,
tu es comme une merveille,
frissons et excitation mêlées,
cou désarticulé,
respiration en accélérée,
je te sens balbutier,
mes baisers descendent petit a petit au nombril,
tu as peur de partir en vrille,
passant mon doigt a la lisière de ton pantalon,
je ressens ton excitation,
puis je te déshabille,
tes pupilles brillent,
trouvant ce beau bijou,
je n'ai qu'une envie faire joujou,
m'offrant à elle,
comme une véritable pucelle,
je l'admire tout en la léchant,
de bas en haut cela est excitant,
m'arrêtant sur le frein particulièrement,
je m'amuse tout en te titillant,
ta verge durcit de plus en plus,
je sens ce fameux tonus,
gobant tes bourses,
à mes yeux c'est la source,
les faisant valser,
elles sont toutes mouillées,
tu me retournes d'un air sauvage,
en me disant que je n'ai pas été sage,
vient a mon tour d'être excitée,
un cuni je l'aurai bien mérité,
tu te mets à me lécher les lèvres puis le clitoris,
je subis un vrai supplice,
puis vient le tour de me doigter tout en continuant de me lécher,
je ne sais plus quoi dire je suis toute mouillée,
je hurle de désir,
je me mets à jouir,
ensuite je sens ta verge me pénétrer,
je te sens en moi, j'en suis toute excitée,
tes va et vient m'enchantent,
je deviens craquante,
je te saisis la nuque pour t'embrasser et te mordre la bouche,
puis mes mains posées sur tes fesses te touchent,
mes ongles plantés dans ton dos,
je crie toujours de plus en plus haut,
ce missionnaire m'ait fatal,
je me sens bestial,
vient au tour de l'andromaque,que je l'aime,
je me positionne sans problème,
toujours ce même plaisir,
toujours ce même désir,
je me mets accroupie et commence mes mouvements verticaux doucement,
puis de plus en plus rapidement,
tu es si excité que je crois rêver,
ton souffle s'accélère,
tu respires mon air,
puis passant à genoux,
afin de te sentir au fond du trou,
un régal cette position,
que je la fais avec admiration,
puis vient le tour de la levrette,
je crois que c'est ma fête,
tu aperçois mes belles courbes,
et connait mes pensées fourbes,
tes mains posées sur mes fesses,
je sens ces petites caresses,
et vient le moment de l'orgasme fatidique,
ou nous sommes uniques,
face a ce puissant effort,
on en redemande encore,
une fois l'acte terminé,
à ton oreille je viens susurrer,
que je t'ai toujours désiré...
genre:sex
Un doigt dans le c..................l
Il voulait me passer la bague au doigt
Mais je sentais qu' il me filait entre les doigts
Car il a connu une gonzesse et lui a fourré ses doigts partout
Comment je l'ai su c'est mon petit doigt qui me l'a dit
Moi, je lui obéissait au doigt et a l'oeil
Il mangeait avec ses doigts
Mettez ses doigts dans le nez
Ne savez rien faire de ses dix doigts
Je n'ai jamais levé mon petit doigt
Quand j'ai apprise son infidélité, j'ai cru me coincer mes doigts dans une porte
Sur le coup, j'ai pris deux doigts de whisky
Maintenant qu'il a mis ses doigts dans l'engrenage
Il va se bruler les doigts
J'étais a un doigt
De lui faire un doigt d'honneur
Maintenant, il s'en mord les doigts
Pour mon pardon,il peut se foutre le doigt dans l'oeil
Et un autre doigt dans le cul et bien profond
Et moi pendant ce temps, je prendrai mon pied avec mon doigt
Je ne m'en fais pas, un simple claquement de doigts, j'ai des amants a mes pieds
genre:oser
Mais je sentais qu' il me filait entre les doigts
Car il a connu une gonzesse et lui a fourré ses doigts partout
Comment je l'ai su c'est mon petit doigt qui me l'a dit
Moi, je lui obéissait au doigt et a l'oeil
Il mangeait avec ses doigts
Mettez ses doigts dans le nez
Ne savez rien faire de ses dix doigts
Je n'ai jamais levé mon petit doigt
Quand j'ai apprise son infidélité, j'ai cru me coincer mes doigts dans une porte
Sur le coup, j'ai pris deux doigts de whisky
Maintenant qu'il a mis ses doigts dans l'engrenage
Il va se bruler les doigts
J'étais a un doigt
De lui faire un doigt d'honneur
Maintenant, il s'en mord les doigts
Pour mon pardon,il peut se foutre le doigt dans l'oeil
Et un autre doigt dans le cul et bien profond
Et moi pendant ce temps, je prendrai mon pied avec mon doigt
Je ne m'en fais pas, un simple claquement de doigts, j'ai des amants a mes pieds
genre:oser
samedi 24 avril 2010
L'enfer de solitude
Je noie ma vie dans le romantisme
Pour séduire grâce a cette héroïsme
Pourtant rien a faire aucune fille me remarque
Que faut il faire pour que je me démarque
J'ai sortit plain de poème de ma tête
Rien a faire je me noie au fond de mon être
Je suis seul mais comme même entourer
Par des homme dont je ne peut me séparer
L'oxygène qui m'anime est du souffre
Quand je le respire seule je soufre
Je ne sais pas comment faire le premier pas
Mais dans la vie il y'a toujours première fois
Dans ma vie je me suis fais beaucoup de film
Dans mes nuit je me suis fait beaucoup de fille
Dans mes rêve je trouve la perle rare
Mais quand je me réveil mon destin est noir
Mes parole doivent t'inspirer le pire
Mais le plus dur c'est de mourir
Pour les filles d'on je n'ai jamais approché
Et pourtant dieux sais comment je les ai aimés
Malheureusement aucune relation tactile
Car dans mon esprit c'est difficile
Je soufre mais je ne retiens aucune leçon
Je soufre en écrivent des chanson
Dans mes rêve je suis auprès d'elle
Une fille dont le corps est un poème
Dont les yeux ne sont que perle
Et dont l'esprit et chimère
Les mots ne peuvent décrire se que je ressent
C'est compliqué et toujours différents
Peut être je ne suis pas fais pour vivre l'amour
En tous cas j'espérerais toujours
Dans une relation il y'a toujours un moment de peine
Et de le vivre j'aurais la haine
Il faut serment passer par la
Il y'a toujours une première fois
Je suis frustré a 18 ans toujours pas casé
Et mes potes sa dois bien les faire marrer
Mes parent dis que j'ai le temps
Moi je veut pas être dépucelé a 20 ans
Après il faut trouvé la perle rare
Celle qui pourrais se retrouvé dans ma mémoire
Je ne veut pas une amourette de passage
Ni d'une fille qui ne soit pas sage
Je veut une fille simple et gentil
Qui ne se la pete pas comme les autres filles
Je veut simplement la fille de mes rêve
Donc je vais dormir et que personne ne me réveille
genre:declaration d 'amour
Pour séduire grâce a cette héroïsme
Pourtant rien a faire aucune fille me remarque
Que faut il faire pour que je me démarque
J'ai sortit plain de poème de ma tête
Rien a faire je me noie au fond de mon être
Je suis seul mais comme même entourer
Par des homme dont je ne peut me séparer
L'oxygène qui m'anime est du souffre
Quand je le respire seule je soufre
Je ne sais pas comment faire le premier pas
Mais dans la vie il y'a toujours première fois
Dans ma vie je me suis fais beaucoup de film
Dans mes nuit je me suis fait beaucoup de fille
Dans mes rêve je trouve la perle rare
Mais quand je me réveil mon destin est noir
Mes parole doivent t'inspirer le pire
Mais le plus dur c'est de mourir
Pour les filles d'on je n'ai jamais approché
Et pourtant dieux sais comment je les ai aimés
Malheureusement aucune relation tactile
Car dans mon esprit c'est difficile
Je soufre mais je ne retiens aucune leçon
Je soufre en écrivent des chanson
Dans mes rêve je suis auprès d'elle
Une fille dont le corps est un poème
Dont les yeux ne sont que perle
Et dont l'esprit et chimère
Les mots ne peuvent décrire se que je ressent
C'est compliqué et toujours différents
Peut être je ne suis pas fais pour vivre l'amour
En tous cas j'espérerais toujours
Dans une relation il y'a toujours un moment de peine
Et de le vivre j'aurais la haine
Il faut serment passer par la
Il y'a toujours une première fois
Je suis frustré a 18 ans toujours pas casé
Et mes potes sa dois bien les faire marrer
Mes parent dis que j'ai le temps
Moi je veut pas être dépucelé a 20 ans
Après il faut trouvé la perle rare
Celle qui pourrais se retrouvé dans ma mémoire
Je ne veut pas une amourette de passage
Ni d'une fille qui ne soit pas sage
Je veut une fille simple et gentil
Qui ne se la pete pas comme les autres filles
Je veut simplement la fille de mes rêve
Donc je vais dormir et que personne ne me réveille
genre:declaration d 'amour
Maladie de l'esprit
Pour chaque jour passer
Pour chaque épreuve surmonté
Pour chaque larme verser
Pour chaque arme brise
Tous les jour sont différant
Et pourtant ils se ressemble
Peu importe les différent
Ils faut les vivre ensemble
L'amour est le seul remède a la maladie
Même si des fois il est pire que celle-ci
Chaque jour tes peurs se transforme en peine
Chaque jour tu pleur car tu as de la haine
La souffrance au quotidien sa tu connais
L'importance c'est de se sentir bien et de ne pas y pensé
Les écris de se poème peuvent se chanté
Et si tu a de la peine t'a cas essayé
Ta tête se remplira de joie
Tu n'aura plus peur de se que tu vois
Pour chaque jour passer
Pour chaque épreuve surmonté
Pour chaque larme verser
Pour chaque arme briser
Ton coeur n'oubliera jamais
Mis ta tête pourra le contrée .
genre:declaration d 'amour
Pour chaque épreuve surmonté
Pour chaque larme verser
Pour chaque arme brise
Tous les jour sont différant
Et pourtant ils se ressemble
Peu importe les différent
Ils faut les vivre ensemble
L'amour est le seul remède a la maladie
Même si des fois il est pire que celle-ci
Chaque jour tes peurs se transforme en peine
Chaque jour tu pleur car tu as de la haine
La souffrance au quotidien sa tu connais
L'importance c'est de se sentir bien et de ne pas y pensé
Les écris de se poème peuvent se chanté
Et si tu a de la peine t'a cas essayé
Ta tête se remplira de joie
Tu n'aura plus peur de se que tu vois
Pour chaque jour passer
Pour chaque épreuve surmonté
Pour chaque larme verser
Pour chaque arme briser
Ton coeur n'oubliera jamais
Mis ta tête pourra le contrée .
genre:declaration d 'amour
Sourire au cœur
Tant d'années sans te voir
Aussi longtemps j'avais perdu l'espoir
Mais voila enfin que tu montres ton nez
Après des années où je t'avais oublié
Mais grâce a toi cet hiver
Mon cœur de glace va céder
Il se brisera comme du verre
Car l'amour seul peut le briser
Tu es l'amour dont j'ai cessé de croire
Comme la vie m'a laissé choir
Tu es là et tu me donnes la foi
Car avant je ne l'avais pas
Mon cœur s'est mit a sourire
Ma vie va enfin pouvoir s'épanouir
genre:declaration d 'amour
Aussi longtemps j'avais perdu l'espoir
Mais voila enfin que tu montres ton nez
Après des années où je t'avais oublié
Mais grâce a toi cet hiver
Mon cœur de glace va céder
Il se brisera comme du verre
Car l'amour seul peut le briser
Tu es l'amour dont j'ai cessé de croire
Comme la vie m'a laissé choir
Tu es là et tu me donnes la foi
Car avant je ne l'avais pas
Mon cœur s'est mit a sourire
Ma vie va enfin pouvoir s'épanouir
genre:declaration d 'amour
Les ames oubliées
Les ames oubliées
Dans un lointain passé
Ou l'aube de la vie
Qu'on croyais endormis
Venais de s'eveillé
Une lueur pure
S'allumais dans mon coeur
Puis les années ce meurt
Et c'est la coupure
Le temps tel un voile
Cache les souvenirs
Penser a l'avenir
Deviens primordiale
Le cœur gelé par la quiétude
Emprisonnée par la raison
Empoisonnée par l'inquiétude
Oublier est la solution
Dans dans les ténèbre de la vie
Parfois la lueur nous rejoins
Et franchement sa fais du bien
De retrouvé ses vieux amis
genre:declaration d 'amour
Dans un lointain passé
Ou l'aube de la vie
Qu'on croyais endormis
Venais de s'eveillé
Une lueur pure
S'allumais dans mon coeur
Puis les années ce meurt
Et c'est la coupure
Le temps tel un voile
Cache les souvenirs
Penser a l'avenir
Deviens primordiale
Le cœur gelé par la quiétude
Emprisonnée par la raison
Empoisonnée par l'inquiétude
Oublier est la solution
Dans dans les ténèbre de la vie
Parfois la lueur nous rejoins
Et franchement sa fais du bien
De retrouvé ses vieux amis
genre:declaration d 'amour
ce poéme est pour toi soit forte je t' aime
Pourquoi un amour différent
Devrais être un amour absent
Tu n'as pas de chance
Tu vie dans l'errance
Les sons de ton piano
Font vibrer mon coeur
Comme tout les mots
Font maîtres mes pleurs
Le poids de ta solitude
Fais de ce monde une lassitude
Seule dans ta souffrance
Je vais te dire se que je pence
Tu es une fille magnifique
Gentille, simple et unique
Tes yeux sont une merveille
Brillants comme des perles
Avec ton air innocent
Tu garde ton esprit d'enfant
Tu as marqué de ta sympathie
Un impact dans ma vie
Tu seras toujours mon amie
Jamais un jour je t'oublie
genre:declaration d' amour
Devrais être un amour absent
Tu n'as pas de chance
Tu vie dans l'errance
Les sons de ton piano
Font vibrer mon coeur
Comme tout les mots
Font maîtres mes pleurs
Le poids de ta solitude
Fais de ce monde une lassitude
Seule dans ta souffrance
Je vais te dire se que je pence
Tu es une fille magnifique
Gentille, simple et unique
Tes yeux sont une merveille
Brillants comme des perles
Avec ton air innocent
Tu garde ton esprit d'enfant
Tu as marqué de ta sympathie
Un impact dans ma vie
Tu seras toujours mon amie
Jamais un jour je t'oublie
genre:declaration d' amour
dimanche 18 avril 2010
Femmes ! Dévoile…
Votre cœur n’est pas un joujou
A prendre plaisir de tous vos atouts.
Mélange irrésistible d’intelligence
Où se conjuguent beauté et élégance,
Sous le charme d’une femme et de ses paysages.
Aux yeux d’étoiles brillantes aux milles présages,
De ces rumeurs de vagues au milieu de l’océan,
Femmes bouillonnantes, sublime chaleur d’un volcan.
Bouche pulpeuse aux dents des neiges éternelles,
Silhouette grandie et rebelle,
Aux doigts de plumes multicolores
Légèreté, ils en déplorent
A se languir de ces minutes.
Hommes aux mains de brutes
A palper : l’artificiel bronzage ;
Descente lente, langoureux massage.
Dans un lieu secret des hommes
Pour un corps qui s’abandonne.
Silhouette en contre-jour :
Fuguer, serait réels chagrins pour toujours.
D’une douce et belle créature
Magique et si pure.
Femme banale,
Femme d’un idéal,
Femme de l’inertie,
Femme des plus belles années d’une vie.
Femme passionnelle
Discrète, respectable, extravagante, caractérielle
Humeur de tous les instants
Coutumes humées en occident.
Femmes, l’auteur se confesse
Penser à vous pour absence de son stress.
Homme parfois solitaire, parfois naïf
Foulant le sol d’une allée bordée d’ifs,
Seul, accompagnée de ses idées
Silhouettes devinées
A toutes les manons de la nuit
Attire le feu physique masculin. Sans bruit…
Espoir d’une rencontre éphémère
Parfois rien ! mais espère…
Un regard volé, mouvement isolé
Sur un corps abandonné
Ce n’est qu’un jeu
De l’amour du hasard, peut-être dangereux.
Rendez-vous secret à voix basse
De deux corps s’enlacent
Sensations et joie se passent.
Baisers volés et discrets
Echange de secrets.
Corps qui se frôlent :
Elle ou lui, qui jouera le premier rôle ?
Plaisirs de l’endroit défendu
Minutes royalement vécues.
Des ombres qui blessent
D’espoirs qui naissent
A verser tant de larmes
L’abandon, désarme.
Du meilleur et du pire,
Le vrai, c’est d’y vivre du plaisir.
Laissons à la lecture : dévoiler ces confidences,
Imaginations offertes à outrance.
Libres d’une journée : intime de l’an neuf
genre:amour
A prendre plaisir de tous vos atouts.
Mélange irrésistible d’intelligence
Où se conjuguent beauté et élégance,
Sous le charme d’une femme et de ses paysages.
Aux yeux d’étoiles brillantes aux milles présages,
De ces rumeurs de vagues au milieu de l’océan,
Femmes bouillonnantes, sublime chaleur d’un volcan.
Bouche pulpeuse aux dents des neiges éternelles,
Silhouette grandie et rebelle,
Aux doigts de plumes multicolores
Légèreté, ils en déplorent
A se languir de ces minutes.
Hommes aux mains de brutes
A palper : l’artificiel bronzage ;
Descente lente, langoureux massage.
Dans un lieu secret des hommes
Pour un corps qui s’abandonne.
Silhouette en contre-jour :
Fuguer, serait réels chagrins pour toujours.
D’une douce et belle créature
Magique et si pure.
Femme banale,
Femme d’un idéal,
Femme de l’inertie,
Femme des plus belles années d’une vie.
Femme passionnelle
Discrète, respectable, extravagante, caractérielle
Humeur de tous les instants
Coutumes humées en occident.
Femmes, l’auteur se confesse
Penser à vous pour absence de son stress.
Homme parfois solitaire, parfois naïf
Foulant le sol d’une allée bordée d’ifs,
Seul, accompagnée de ses idées
Silhouettes devinées
A toutes les manons de la nuit
Attire le feu physique masculin. Sans bruit…
Espoir d’une rencontre éphémère
Parfois rien ! mais espère…
Un regard volé, mouvement isolé
Sur un corps abandonné
Ce n’est qu’un jeu
De l’amour du hasard, peut-être dangereux.
Rendez-vous secret à voix basse
De deux corps s’enlacent
Sensations et joie se passent.
Baisers volés et discrets
Echange de secrets.
Corps qui se frôlent :
Elle ou lui, qui jouera le premier rôle ?
Plaisirs de l’endroit défendu
Minutes royalement vécues.
Des ombres qui blessent
D’espoirs qui naissent
A verser tant de larmes
L’abandon, désarme.
Du meilleur et du pire,
Le vrai, c’est d’y vivre du plaisir.
Laissons à la lecture : dévoiler ces confidences,
Imaginations offertes à outrance.
Libres d’une journée : intime de l’an neuf
genre:amour
Rappelle-toi
Rappelle-toi, quand l'Aurore craintive
Ouvre au Soleil son palais enchanté ;
Rappelle-toi, lorsque la nuit pensive
Passe en rêvant sous son voile argenté ;
A l'appel du plaisir lorsque ton sein palpite,
Aux doux songes du soir lorsque l'ombre t'invite,
Ecoute au fond des bois
Murmurer une voix :
Rappelle-toi.
Rappelle-toi, lorsque les destinées
M'auront de toi pour jamais séparé,
Quand le chagrin, l'exil et les années
Auront flétri ce coeur désespéré ;
Songe à mon triste amour, songe à l'adieu suprême !
L'absence ni le temps ne sont rien quand on aime.
Tant que mon coeur battra,
Toujours il te dira
Rappelle-toi.
Rappelle-toi, quand sous la froide terre
Mon coeur brisé pour toujours dormira ;
Rappelle-toi, quand la fleur solitaire
Sur mon tombeau doucement s'ouvrira.
Je ne te verrai plus ; mais mon âme immortelle
Reviendra près de toi comme une soeur fidèle.
Ecoute, dans la nuit,
Une voix qui gémit :
Rappelle-toi.
genre:amour
Ouvre au Soleil son palais enchanté ;
Rappelle-toi, lorsque la nuit pensive
Passe en rêvant sous son voile argenté ;
A l'appel du plaisir lorsque ton sein palpite,
Aux doux songes du soir lorsque l'ombre t'invite,
Ecoute au fond des bois
Murmurer une voix :
Rappelle-toi.
Rappelle-toi, lorsque les destinées
M'auront de toi pour jamais séparé,
Quand le chagrin, l'exil et les années
Auront flétri ce coeur désespéré ;
Songe à mon triste amour, songe à l'adieu suprême !
L'absence ni le temps ne sont rien quand on aime.
Tant que mon coeur battra,
Toujours il te dira
Rappelle-toi.
Rappelle-toi, quand sous la froide terre
Mon coeur brisé pour toujours dormira ;
Rappelle-toi, quand la fleur solitaire
Sur mon tombeau doucement s'ouvrira.
Je ne te verrai plus ; mais mon âme immortelle
Reviendra près de toi comme une soeur fidèle.
Ecoute, dans la nuit,
Une voix qui gémit :
Rappelle-toi.
genre:amour
LA SENTEUR DES BRAS
Entre tes bras jetés sur mes épaules nues,
Chère ! je sens monter des odeurs si connues
Des arômes si blonds, des parfums si légers…
Ô le vol sidéral sur les bois d’orangers !
La sueur qui vient poindre où ton coude se plisse
Comme un gel de nectar à la chair d’un calice
Fleure dans un enchaînement rieur et fou
Deux lys longs et câlins mis autour de mon cou.
Aussi quand loin des lits heureux où tu me lies
Mon nostalgique amour rêve aux nuits abolies
C’est l’odeur de tes bras qui m’enlace et m’étreint.
Et dès qu’un souvenir de leur parfum lointain
Revient errer encor dans mon âme touchée,
Je vois dans un éclair toute ta chair couchée.
genre:sex
Chère ! je sens monter des odeurs si connues
Des arômes si blonds, des parfums si légers…
Ô le vol sidéral sur les bois d’orangers !
La sueur qui vient poindre où ton coude se plisse
Comme un gel de nectar à la chair d’un calice
Fleure dans un enchaînement rieur et fou
Deux lys longs et câlins mis autour de mon cou.
Aussi quand loin des lits heureux où tu me lies
Mon nostalgique amour rêve aux nuits abolies
C’est l’odeur de tes bras qui m’enlace et m’étreint.
Et dès qu’un souvenir de leur parfum lointain
Revient errer encor dans mon âme touchée,
Je vois dans un éclair toute ta chair couchée.
genre:sex
VULVE BLONDE
Bien qu’elle ait une peau très brune, et que son cul
Soit énorme, et que sa lourde mamelle tombe,
Elle épate en blason déchiré sur l’écu
Un grand con d’or triangulaire qui surplombe.
Dans les cuisses de chair reluisante, la fleur
Délicate, se creuse avec des airs de rose.
Une odeur de printemps et de grande chaleur
Y perle, avec la jouissance qui l’arrose.
Le soleil, dispersé par des reflets errants,
Circule, à travers les buissons exubérants
Qui mitrent de métal fragile le stigmate ;
Le clitoris attend les ongles adorés
Et sous l’ombre des doigts qui zèbre la chair mate
S’ouvre la rose blonde entre les poils dorés.
genre:sex
Soit énorme, et que sa lourde mamelle tombe,
Elle épate en blason déchiré sur l’écu
Un grand con d’or triangulaire qui surplombe.
Dans les cuisses de chair reluisante, la fleur
Délicate, se creuse avec des airs de rose.
Une odeur de printemps et de grande chaleur
Y perle, avec la jouissance qui l’arrose.
Le soleil, dispersé par des reflets errants,
Circule, à travers les buissons exubérants
Qui mitrent de métal fragile le stigmate ;
Le clitoris attend les ongles adorés
Et sous l’ombre des doigts qui zèbre la chair mate
S’ouvre la rose blonde entre les poils dorés.
genre:sex
SEIN DE BRANLÉE
Le pauvre sein qu’elle a branlé d’un air distrait
S’avachit jusqu’à la ceinture. La tétine
Pend comme le pis blanc d’une chèvre qu’on trait
Du bout des doigts, où le dard brun se ratatine.
Sa rondeur s’est raidie entre les doigts baveux.
Un afflux lourd de sang a gonflé sa chair grasse
Et la chatouille exquise et fine des cheveux
A soulevé les seins vers la bouche vorace.
Mais au jour, après tous les spasmes assouvis,
Quand le sein tombe avec les vulves et les vits
Un haut-le-coeur descend des mamelles branlées.
La jeune peau se fane en blanc, et le tétin
Incapable d’essor au haut des chairs tremblées
S’allonge et maigrit comme un pénis enfantin.
genre:sex
S’avachit jusqu’à la ceinture. La tétine
Pend comme le pis blanc d’une chèvre qu’on trait
Du bout des doigts, où le dard brun se ratatine.
Sa rondeur s’est raidie entre les doigts baveux.
Un afflux lourd de sang a gonflé sa chair grasse
Et la chatouille exquise et fine des cheveux
A soulevé les seins vers la bouche vorace.
Mais au jour, après tous les spasmes assouvis,
Quand le sein tombe avec les vulves et les vits
Un haut-le-coeur descend des mamelles branlées.
La jeune peau se fane en blanc, et le tétin
Incapable d’essor au haut des chairs tremblées
S’allonge et maigrit comme un pénis enfantin.
genre:sex
MAIN DE BRANLÉE
Les doigts longs et libidineux sont toujours rances
D’avoir trempé dans le vagin sanguinolent
D’où sort, avec l’odeur écoeurante, un relent
D’outrages gras, et de spasmodiques souffrances.
Sous les ongles mangés s’épatent les bouts ronds
Des doigts, qui meurtriraient les fragiles muqueuses
Et l’on pense à les voir de pubertés visqueuses
Et de vierges en rut fourrageant leurs girons.
Seul, un ongle érecteur du clitoris se dresse…
Ô mains, d’où semble fuir un geste de caresse
Charmes blancs précurseurs de mon membre viril
Mains qui faites l’amour aux petites branlées
Je chérirai sur votre galbe puéril
La trace et le parfum des blancheurs écoulées.
genre:sex
D’avoir trempé dans le vagin sanguinolent
D’où sort, avec l’odeur écoeurante, un relent
D’outrages gras, et de spasmodiques souffrances.
Sous les ongles mangés s’épatent les bouts ronds
Des doigts, qui meurtriraient les fragiles muqueuses
Et l’on pense à les voir de pubertés visqueuses
Et de vierges en rut fourrageant leurs girons.
Seul, un ongle érecteur du clitoris se dresse…
Ô mains, d’où semble fuir un geste de caresse
Charmes blancs précurseurs de mon membre viril
Mains qui faites l’amour aux petites branlées
Je chérirai sur votre galbe puéril
La trace et le parfum des blancheurs écoulées.
genre:sex
L’HYMEN
Vierge, c’est le témoin de ta virginité
C’est le rempart du temple intérieur, ô Sainte !
C’est le pur chevalier défenseur de l’enceinte
Où le culte du Coeur se donne à la Beauté
Nul phallus n’a froissé la voussure velue
Du portail triomphal par où l’on entre en Dieu
Nul homme n’a connu ton étreinte de feu
Et le rut a laissé ta pudeur impollue.
Mais ton hymen se meurt, ses bords se sont usés
À force, nuit et jour, d’y boire des baisers
Avec l’acharnement de la langue farouche.
Et quelque jour, heurtant le voile exténué,
Le membre furieux dardé hors de ma bouche
Le déchiquettera comme un mouchoir troué.
genre:sex
C’est le rempart du temple intérieur, ô Sainte !
C’est le pur chevalier défenseur de l’enceinte
Où le culte du Coeur se donne à la Beauté
Nul phallus n’a froissé la voussure velue
Du portail triomphal par où l’on entre en Dieu
Nul homme n’a connu ton étreinte de feu
Et le rut a laissé ta pudeur impollue.
Mais ton hymen se meurt, ses bords se sont usés
À force, nuit et jour, d’y boire des baisers
Avec l’acharnement de la langue farouche.
Et quelque jour, heurtant le voile exténué,
Le membre furieux dardé hors de ma bouche
Le déchiquettera comme un mouchoir troué.
genre:sex
LE CLITORIS
Blotti sous la tiédeur des nymphes repliées
Comme un pistil de chair dans un lys douloureux
Le Clitoris, corail vivant, coeur ténébreux,
Frémit au souvenir des bouches oubliées.
Toute la Femme vibre et se concentre en lui
C’est la source du rut sous les doigts de la vierge
C’est le pôle éternel où le désir converge
Le paradis du spasme et le Coeur de la Nuit.
Ce qu’il murmure aux flancs, toutes les chairs l’entendent
À ses moindres frissons les mamelles se tendent
Et ses battements sourds mettent le corps en feu.
Ô Clitoris, rubis mystérieux qui bouges
Luisant comme un bijou sur le torse d’un dieu
Dresse-toi, noir de sang, devant les bouches rouges !
genre:sex
Comme un pistil de chair dans un lys douloureux
Le Clitoris, corail vivant, coeur ténébreux,
Frémit au souvenir des bouches oubliées.
Toute la Femme vibre et se concentre en lui
C’est la source du rut sous les doigts de la vierge
C’est le pôle éternel où le désir converge
Le paradis du spasme et le Coeur de la Nuit.
Ce qu’il murmure aux flancs, toutes les chairs l’entendent
À ses moindres frissons les mamelles se tendent
Et ses battements sourds mettent le corps en feu.
Ô Clitoris, rubis mystérieux qui bouges
Luisant comme un bijou sur le torse d’un dieu
Dresse-toi, noir de sang, devant les bouches rouges !
genre:sex
LES NYMPHES
Oui, des lèvres aussi, des lèvres savoureuses
Mais d’une chair plus tendre et plus fragile encor
Des rêves de chair rose à l’ombre des poils d’or
Qui palpitent légers sous les mains amoureuses.
Des fleurs aussi, des fleurs molles, des fleurs de nuit,
Pétales délicats alourdis de rosée
Qui fléchissent, pliés sur la fleur épuisée,
Et pleurent le désir, goutte à goutte, sans bruit.
Ô lèvres, versez-moi les divines salives
La volupté du sang, la chaleur des gencives
Et les frémissements enflammés du baiser
Ô fleurs troublantes, fleurs mystiques, fleurs divines,
Balancez vers mon coeur sans jamais l’apaiser,
L’encens mystérieux des senteurs féminines.
genre:sex
Mais d’une chair plus tendre et plus fragile encor
Des rêves de chair rose à l’ombre des poils d’or
Qui palpitent légers sous les mains amoureuses.
Des fleurs aussi, des fleurs molles, des fleurs de nuit,
Pétales délicats alourdis de rosée
Qui fléchissent, pliés sur la fleur épuisée,
Et pleurent le désir, goutte à goutte, sans bruit.
Ô lèvres, versez-moi les divines salives
La volupté du sang, la chaleur des gencives
Et les frémissements enflammés du baiser
Ô fleurs troublantes, fleurs mystiques, fleurs divines,
Balancez vers mon coeur sans jamais l’apaiser,
L’encens mystérieux des senteurs féminines.
genre:sex
LE MONT DE VÉNUS
Sous la fauve toison dressée en auréole
À la base du ventre obscène et triomphant,
Le Mont de Vénus, pur ainsi qu’un front d’enfant,
Brille paisiblement dans sa blancheur créole.
J’ose à peine le voir et l’effleurer du doigt ;
Sa pulpe a la douceur des paupières baissées
Sa pieuse clarté sublime les pensées
Et sanctifie au coeur ce que la chair y voit.
Ne t’étonne pas si ma pudeur m’empêche
De ternir l’épiderme exquis de cette pêche,
Si j’ai peur, si je veux l’adorer simplement
Et, penché peu à peu dans les cuisses ouvertes,
Baiser ton Vénusberg comme un saint sacrement
Tel que Tannhäuser baisant les branches vertes.
genre:sex
À la base du ventre obscène et triomphant,
Le Mont de Vénus, pur ainsi qu’un front d’enfant,
Brille paisiblement dans sa blancheur créole.
J’ose à peine le voir et l’effleurer du doigt ;
Sa pulpe a la douceur des paupières baissées
Sa pieuse clarté sublime les pensées
Et sanctifie au coeur ce que la chair y voit.
Ne t’étonne pas si ma pudeur m’empêche
De ternir l’épiderme exquis de cette pêche,
Si j’ai peur, si je veux l’adorer simplement
Et, penché peu à peu dans les cuisses ouvertes,
Baiser ton Vénusberg comme un saint sacrement
Tel que Tannhäuser baisant les branches vertes.
genre:sex
LES POILS
Quand j’énerve mes doigts dans vos épaisseurs claires
Grands poils blonds, agités d’un frisson lumineux,
Je crois vivre géante, aux âges fabuleux
Et broyer sous mes mains les forêts quaternaires.
Quand ma langue vous noue à l’entour de mes dents
Une autre nostalgie obsède mes narines :
Je crois boire l’odeur qu’ont les algues marines
Et mâcher des varechs sous les rochers ardents.
Mais mes yeux grands ouverts ont mieux vu qui j’adore :
C’est un peu d’océan dans un frisson d’aurore,
La mousse d’une lame, un embrun d’or vivant,
Flocon vague oublié par la main vénéré
Qui façonna d’écume et de soleil levant
Ta peau blanche et ton corps splendide, Cythérée !
genre:sex
Grands poils blonds, agités d’un frisson lumineux,
Je crois vivre géante, aux âges fabuleux
Et broyer sous mes mains les forêts quaternaires.
Quand ma langue vous noue à l’entour de mes dents
Une autre nostalgie obsède mes narines :
Je crois boire l’odeur qu’ont les algues marines
Et mâcher des varechs sous les rochers ardents.
Mais mes yeux grands ouverts ont mieux vu qui j’adore :
C’est un peu d’océan dans un frisson d’aurore,
La mousse d’une lame, un embrun d’or vivant,
Flocon vague oublié par la main vénéré
Qui façonna d’écume et de soleil levant
Ta peau blanche et ton corps splendide, Cythérée !
genre:sex
LA VULVE
Un rayon du soleil levant caresse et dore
Sa chair marmoréenne et les poils flavescents
Ô que vous énervez mes doigts adolescents
Grands poils blonds qui vibrez dans un frisson d’aurore.
Quand son corps fatigué fait fléchir les coussins
La touffe délicate éclaire sa peau blanche
Et je crois voir briller d’une clarté moins franche
Sous des cheveux moins blonds la chasteté des seins,
Et sous des cils moins longs les yeux dans leur cernure.
Car ses poils ont grandi dans leur odeur impure
La mousse en est légère et faite d’or vivant
Et j’y vois les reflets du crépuscule jaune ;
Aussi je veux prier en silence devant
Comme une Byzantine aux pieds d’un saint icône.
genre:sex
Sa chair marmoréenne et les poils flavescents
Ô que vous énervez mes doigts adolescents
Grands poils blonds qui vibrez dans un frisson d’aurore.
Quand son corps fatigué fait fléchir les coussins
La touffe délicate éclaire sa peau blanche
Et je crois voir briller d’une clarté moins franche
Sous des cheveux moins blonds la chasteté des seins,
Et sous des cils moins longs les yeux dans leur cernure.
Car ses poils ont grandi dans leur odeur impure
La mousse en est légère et faite d’or vivant
Et j’y vois les reflets du crépuscule jaune ;
Aussi je veux prier en silence devant
Comme une Byzantine aux pieds d’un saint icône.
genre:sex
L’ORCHIDÉE
Une fleur a mangé ton ventre jusqu’au fond
Sa tige se prolonge en dard sous les entrailles
Fouille la chair de sa racine et tu tressailles
Quand aux sursauts du coeur tu l’entends qui répond
C’est une fleur étrange et rare, une orchidée
Mystérieuse, à peine encore en floraison
Ma bouche l’a connue et j’ai conçu l’idée
D’asservir sous ses lois l’orgueil de ma raison.
C’est pourquoi, de ta fleur de chair endolorie,
Je veux faire un lys pur pour la Vierge Marie
Damasquiné d’or rouge et d’ivoire éclatant,
Corolle de rubis comme une fleur d’étoile
Chair de vierge fouettée avec des flots de sang
Ta Vulve rouge et blanche et toute liliale.
genre:sex
Sa tige se prolonge en dard sous les entrailles
Fouille la chair de sa racine et tu tressailles
Quand aux sursauts du coeur tu l’entends qui répond
C’est une fleur étrange et rare, une orchidée
Mystérieuse, à peine encore en floraison
Ma bouche l’a connue et j’ai conçu l’idée
D’asservir sous ses lois l’orgueil de ma raison.
C’est pourquoi, de ta fleur de chair endolorie,
Je veux faire un lys pur pour la Vierge Marie
Damasquiné d’or rouge et d’ivoire éclatant,
Corolle de rubis comme une fleur d’étoile
Chair de vierge fouettée avec des flots de sang
Ta Vulve rouge et blanche et toute liliale.
genre:sex
sexe
je rentri dan smon lit
et tu t'apa a la fenetre je touvris
tu te desabilla
je me desabilla aussi
et on commenca
je te sucer et apret tu l'enfonca
je fit un petit cri mes j'aimer ca
cete la1er foit
on sorter pas ensemble
on fait juste ca pour le plaisir
genre:sex
et tu t'apa a la fenetre je touvris
tu te desabilla
je me desabilla aussi
et on commenca
je te sucer et apret tu l'enfonca
je fit un petit cri mes j'aimer ca
cete la1er foit
on sorter pas ensemble
on fait juste ca pour le plaisir
genre:sex
Gasp
De sa main droite, L. s'empare de ma queue comme d'un trophée trop longtemps attendu.
Tant de mois de séparation.
Son visage se fige puis elle plante ses yeux verts dans les miens.
Ils me disent à quel point elle désire être prise, à quel point elle veut la sentir tout au fond d'elle.
Les mots qu'elle m'avait prononcé quelques jours auparavant résonnent dans ma tête : " sans aucune retenue ".
Dans un bruit de sussion et de salive totalement volontaire, elle engloutit mon sexe, dur à m'en faire mal, jusqu'à moitié.
Deux trois va-et-vient, sentir ses lèvres tendues autour de moi... Elle peine à me sucer entièrement, cela m'excite. Je grossis davantage.
Elle se retire et reprend son souffle bruyamment...
Rage du désir, elle me regarde à nouveau et se propulse pour que rien ne l'arrête.
A mi-parcours, elle hoquette et bloque sa respiration.
Se retenant de vomir mais avec la volonté d'une fille amoureuse, passe la barrière de sa gorge et s'enfonce sur ma queue jusqu'aux couilles, la bouche déformée, les yeux presque révulsés.
Suffocation
Plaisir
Mains crispées sur mes fesses
Gémissements plaintifs la bouche pleine
Larmes d'efforts qui font couler son rimmel...
genre:sex
Tant de mois de séparation.
Son visage se fige puis elle plante ses yeux verts dans les miens.
Ils me disent à quel point elle désire être prise, à quel point elle veut la sentir tout au fond d'elle.
Les mots qu'elle m'avait prononcé quelques jours auparavant résonnent dans ma tête : " sans aucune retenue ".
Dans un bruit de sussion et de salive totalement volontaire, elle engloutit mon sexe, dur à m'en faire mal, jusqu'à moitié.
Deux trois va-et-vient, sentir ses lèvres tendues autour de moi... Elle peine à me sucer entièrement, cela m'excite. Je grossis davantage.
Elle se retire et reprend son souffle bruyamment...
Rage du désir, elle me regarde à nouveau et se propulse pour que rien ne l'arrête.
A mi-parcours, elle hoquette et bloque sa respiration.
Se retenant de vomir mais avec la volonté d'une fille amoureuse, passe la barrière de sa gorge et s'enfonce sur ma queue jusqu'aux couilles, la bouche déformée, les yeux presque révulsés.
Suffocation
Plaisir
Mains crispées sur mes fesses
Gémissements plaintifs la bouche pleine
Larmes d'efforts qui font couler son rimmel...
genre:sex
Semana Santa
Un sexe dans votre bouche le lundi,
des mains qui s'accrochent à vos hanches le mardi,
vos lèvres contre les siennes le mercredi,
votre cul qui souffre, s'offre et s'ouvre le jeudi,
vos jambes sur des épaules le vendredi,
votre bouton d'or dans sa bouche le samedi,
vos cris qui supplient le dimanche.
D'autres vous appellent salope,
d'autres vous jugent,
d'autres vous envient comme vous détestent.
Je vous appelle mon Amour.
genre:sex
des mains qui s'accrochent à vos hanches le mardi,
vos lèvres contre les siennes le mercredi,
votre cul qui souffre, s'offre et s'ouvre le jeudi,
vos jambes sur des épaules le vendredi,
votre bouton d'or dans sa bouche le samedi,
vos cris qui supplient le dimanche.
D'autres vous appellent salope,
d'autres vous jugent,
d'autres vous envient comme vous détestent.
Je vous appelle mon Amour.
genre:sex
Jour et Nuit
A quatre pattes, je te veux comme un animal.
Haletante, aux aguets, vive et sauvage.
Je prends ta croupe et les murs de ta chambre dansent.
Ta couette crisse et tu te cambres.
Ne t'aurais-je souhaité autrement qu'offerte cul et sexe ?
Ô ma souveraine, je t'appellerai mon étroitesse.
Balance tes reins en arrière, au rythme de mes incantations.
Tu es parfaite chienne, toi qui était reine.
Dans ce bureau si gris, tu étais si sage.
Ta vraie nature est celle de la jungle.
Prise et aimante,
pour un peu tu en écarterais tes fesses pour me sentir plus au fond.
Que dis-tu ?
"Oui" ?
"Oh oui" ?
Tu affirmes ton plaisir avec toi,
tu étais si discrète, tu es femme toute à moi.
Bientôt lorsque mon bassin frappera si vite et si précisément que tu perdras ton identité, tu jouiras comme une première fois, lorsque mes deux doigts bien plantés en toi, allaient et venaient à t'en décrocher le bassin, ma bouche arrimée à ton clitoris...
Tu es mon orgasme schizophrène.
genre:sex
Haletante, aux aguets, vive et sauvage.
Je prends ta croupe et les murs de ta chambre dansent.
Ta couette crisse et tu te cambres.
Ne t'aurais-je souhaité autrement qu'offerte cul et sexe ?
Ô ma souveraine, je t'appellerai mon étroitesse.
Balance tes reins en arrière, au rythme de mes incantations.
Tu es parfaite chienne, toi qui était reine.
Dans ce bureau si gris, tu étais si sage.
Ta vraie nature est celle de la jungle.
Prise et aimante,
pour un peu tu en écarterais tes fesses pour me sentir plus au fond.
Que dis-tu ?
"Oui" ?
"Oh oui" ?
Tu affirmes ton plaisir avec toi,
tu étais si discrète, tu es femme toute à moi.
Bientôt lorsque mon bassin frappera si vite et si précisément que tu perdras ton identité, tu jouiras comme une première fois, lorsque mes deux doigts bien plantés en toi, allaient et venaient à t'en décrocher le bassin, ma bouche arrimée à ton clitoris...
Tu es mon orgasme schizophrène.
genre:sex
Tremblante
Elle est là, tremblante, entre la peur et l'impatience.
Son visage est doux, sa position pourrait sembler humiliante.
Qui attend ainsi, sur un lit de plumes, à quatre pattes, le cul nu ?
Pourtant il n'en est rien.
La candide assume vouloir recevoir une correction.
Pas celle des lanières ou des fouets.
Non, celle des coups de reins et de l'abandon de soi.
L'abandon par la baise. Etre dépossédée par la possession.
Se faire corriger en levrette, presque sans préparation.
N'entendre que les bruits de la peau qui claque et celui de ses propres gémissements, irrépressibles.
Se faire prendre par derrière. Jusque dans son cul ?
En sera-t-elle capable ? Sans crier ?
Elle n'ose le redouter mais n'en peut plus d'attendre.
Mes mains sur ses hanches.
Solides.
Mon souffle derrière elle.
Voila.
Elle ferme les yeux.
genre:sex
Son visage est doux, sa position pourrait sembler humiliante.
Qui attend ainsi, sur un lit de plumes, à quatre pattes, le cul nu ?
Pourtant il n'en est rien.
La candide assume vouloir recevoir une correction.
Pas celle des lanières ou des fouets.
Non, celle des coups de reins et de l'abandon de soi.
L'abandon par la baise. Etre dépossédée par la possession.
Se faire corriger en levrette, presque sans préparation.
N'entendre que les bruits de la peau qui claque et celui de ses propres gémissements, irrépressibles.
Se faire prendre par derrière. Jusque dans son cul ?
En sera-t-elle capable ? Sans crier ?
Elle n'ose le redouter mais n'en peut plus d'attendre.
Mes mains sur ses hanches.
Solides.
Mon souffle derrière elle.
Voila.
Elle ferme les yeux.
genre:sex
Le sens des maux
Ne serais-tu pas en train de te faire baiser ?
Son visage grimace à chaque fois que ses fesses claquent.
Peau contre peau.
Le type derrière elle ne la ménage pas.
-Ouiii me répond-elle plaintivement.
-Et c'est bon ?
Elle semble avoir du mal à répondre.
-Oh mon dieu oui...
Elle qui voulait toujours "faire l'amour".
Elle qui trouvait le mot "baiser" vulgaire.
Un cours de Français n'est jamais superflu.
Je décide de sortir de l'alcove pour aller voir d'autres élèves.
Je reviendrais lorsqu'elle hurlera.
genre:sex
Son visage grimace à chaque fois que ses fesses claquent.
Peau contre peau.
Le type derrière elle ne la ménage pas.
-Ouiii me répond-elle plaintivement.
-Et c'est bon ?
Elle semble avoir du mal à répondre.
-Oh mon dieu oui...
Elle qui voulait toujours "faire l'amour".
Elle qui trouvait le mot "baiser" vulgaire.
Un cours de Français n'est jamais superflu.
Je décide de sortir de l'alcove pour aller voir d'autres élèves.
Je reviendrais lorsqu'elle hurlera.
genre:sex
En mission
Qui a dit que le missionnaire était une position ennuyeuse ?
Pas elle en tout cas.
Je ne penche pas non plus pour cet état de fait.
Le rythme de mon bassin entre ses cuisses, ses petits bruits, une main tendue caresse mes fesses, l'autre semble s'accrocher à ce qu'il reste de draps.
Son regard plongé dans le mien.
J'y lit le plaisir et l'envie de choses secrètes.
Ses yeux se referment, son visage se crispe l'espace d'un instant.
Gémissements.
Le sillon que je creuse en elle semble lui aller à ravir.
Ne tournons pas, ne cassons la dynamique.
Ne quittons pas cette position si dévaluée.
Il y a mille degrés, mille façons de changer d'angle.
Mes mains viennent saisir le haut de ses cuisses, je me relève un peu.
A l'angle des genoux, je la porte, je la soulève.
Ses fesses quittent le lit...
Et j'accélère.
Je suis le peintre de son corps et je peux voir immédiatement le rendu de mes efforts. Elle halète, je distingue nos deux sexes qui se prennent.
Je frotte, j'ouvre et lubrifie le premier tiers de son adorable con.
Vous avez du mal à reprendre votre respiration très chère ?
L'angle malaisé est source de plaisir.
De bas en haut, mon gland va chercher son point G.
Avec la position de mes mains, je peux choisir et modifier mes attaques.
Je suis maître de ses râles, de la violence de mes coups secs suivi de la douceur de mes petits va-et-vient ultra rapides.
Décollage immédiat.
Sa main gauche a rapidement quitté mes fesses pour rejoindre l'autre déjà crispée sur les draps. Elle s'affole, crie plus fort.
..."oh putaiiiiin"...
Si polie en société, mon amante est pleine d'effort dans la voix.
Effort pour subir l'assaut et garder le contrôle qu'elle n'aura bientôt plus.
Jolie trahison.
Voila que je fais basculer ses jambes au dessus de mes épaules...
Son regard se trouble, ses yeux qui ne restaient ouvert que par intermittence se ferment, rictus sur son visage, elle mord sa lèvre inférieure.
Ainsi installé aux commandes de son bassin, ses jambes battant l'air sur mes épaules, je passe à la pénétration la plus profonde que je puisse lui offrir.
Ses bras perdent le contrôle à leur tour, coudes devant le visage, ses mains viennent saisir l'oreiller au dessus d'elle...."c'est pas possible"... a-t-elle soufflé.
Les sons qui sortent de sa gorge sont amplifiés à mesure que je prends sa féminité.
Son attitude, son visage, ses cris, on la dirait toute droit sortie d'un Manga.
De petits râles suraigus, suivi de gémissements sourds trahissant l'intensité de...
Je ne sais pas si elle pourra tenir longtemps comme cela.
J'ai bien l'intention de vérifier.
genre:sex
Pas elle en tout cas.
Je ne penche pas non plus pour cet état de fait.
Le rythme de mon bassin entre ses cuisses, ses petits bruits, une main tendue caresse mes fesses, l'autre semble s'accrocher à ce qu'il reste de draps.
Son regard plongé dans le mien.
J'y lit le plaisir et l'envie de choses secrètes.
Ses yeux se referment, son visage se crispe l'espace d'un instant.
Gémissements.
Le sillon que je creuse en elle semble lui aller à ravir.
Ne tournons pas, ne cassons la dynamique.
Ne quittons pas cette position si dévaluée.
Il y a mille degrés, mille façons de changer d'angle.
Mes mains viennent saisir le haut de ses cuisses, je me relève un peu.
A l'angle des genoux, je la porte, je la soulève.
Ses fesses quittent le lit...
Et j'accélère.
Je suis le peintre de son corps et je peux voir immédiatement le rendu de mes efforts. Elle halète, je distingue nos deux sexes qui se prennent.
Je frotte, j'ouvre et lubrifie le premier tiers de son adorable con.
Vous avez du mal à reprendre votre respiration très chère ?
L'angle malaisé est source de plaisir.
De bas en haut, mon gland va chercher son point G.
Avec la position de mes mains, je peux choisir et modifier mes attaques.
Je suis maître de ses râles, de la violence de mes coups secs suivi de la douceur de mes petits va-et-vient ultra rapides.
Décollage immédiat.
Sa main gauche a rapidement quitté mes fesses pour rejoindre l'autre déjà crispée sur les draps. Elle s'affole, crie plus fort.
..."oh putaiiiiin"...
Si polie en société, mon amante est pleine d'effort dans la voix.
Effort pour subir l'assaut et garder le contrôle qu'elle n'aura bientôt plus.
Jolie trahison.
Voila que je fais basculer ses jambes au dessus de mes épaules...
Son regard se trouble, ses yeux qui ne restaient ouvert que par intermittence se ferment, rictus sur son visage, elle mord sa lèvre inférieure.
Ainsi installé aux commandes de son bassin, ses jambes battant l'air sur mes épaules, je passe à la pénétration la plus profonde que je puisse lui offrir.
Ses bras perdent le contrôle à leur tour, coudes devant le visage, ses mains viennent saisir l'oreiller au dessus d'elle...."c'est pas possible"... a-t-elle soufflé.
Les sons qui sortent de sa gorge sont amplifiés à mesure que je prends sa féminité.
Son attitude, son visage, ses cris, on la dirait toute droit sortie d'un Manga.
De petits râles suraigus, suivi de gémissements sourds trahissant l'intensité de...
Je ne sais pas si elle pourra tenir longtemps comme cela.
J'ai bien l'intention de vérifier.
genre:sex
So deep
Sauras-tu caresser mon sexe pour éveiller mes sens ?
Sauras-tu en souligner les contours, en mesurer la taille ?
Sauras-tu lui faire prendre forme, le sentir gonfler ?
Sauras-tu le prendre en bouche ?
Sauras-tu refermer tes lèvres sur moi ?
Sauras-tu faire courir ta langue, lécher et goûter ?
Sauras-tu souffler, aspirer, sucer ma vie ?
Puis je te saisirai...
Tu seras vaincue mais heureuse de l'être.
Avide.
Je pousserai.
Je t'épouserai comme un fourreau.
Ferme les yeux.
Tu accepteras que j'entre dans ta gorge.
Hauts le coeur.
Je pousserai encore.
Ton visage se déformera sous mes va-et-vient.
Comme tu aimes l'être par le con ou le cul,
aimeras-tu être baisée et possédée par la bouche ?
genre:sex
Sauras-tu en souligner les contours, en mesurer la taille ?
Sauras-tu lui faire prendre forme, le sentir gonfler ?
Sauras-tu le prendre en bouche ?
Sauras-tu refermer tes lèvres sur moi ?
Sauras-tu faire courir ta langue, lécher et goûter ?
Sauras-tu souffler, aspirer, sucer ma vie ?
Puis je te saisirai...
Tu seras vaincue mais heureuse de l'être.
Avide.
Je pousserai.
Je t'épouserai comme un fourreau.
Ferme les yeux.
Tu accepteras que j'entre dans ta gorge.
Hauts le coeur.
Je pousserai encore.
Ton visage se déformera sous mes va-et-vient.
Comme tu aimes l'être par le con ou le cul,
aimeras-tu être baisée et possédée par la bouche ?
genre:sex
18 ans
Je me souviens de cette jeune fille à qui j'ai appris l'amour.
Naïve, superbement faite et totalement inexpérimentée.
Quel délice de voir dans un regard la candeur et l'innocence pour aller y trouver l'envie, le désir et le feu dans les veines.
J'ai transformé cette demoiselle en démone de la fellation, en un ventre avide de pénétrations profondes et puissantes, en une chose humide, caline et sauvage.
Souvenirs émus.
Ses grands yeux clairs, ses cheveux longs si doux.
Elle m'avait abandonné son corps, sure que j'en ferai bon usage.
Et elle ramenait sa bouche contre la mienne...
"Je t'en prie, prends moi, prends moi..."
Léa où es-tu ?
genre:sex
Naïve, superbement faite et totalement inexpérimentée.
Quel délice de voir dans un regard la candeur et l'innocence pour aller y trouver l'envie, le désir et le feu dans les veines.
J'ai transformé cette demoiselle en démone de la fellation, en un ventre avide de pénétrations profondes et puissantes, en une chose humide, caline et sauvage.
Souvenirs émus.
Ses grands yeux clairs, ses cheveux longs si doux.
Elle m'avait abandonné son corps, sure que j'en ferai bon usage.
Et elle ramenait sa bouche contre la mienne...
"Je t'en prie, prends moi, prends moi..."
Léa où es-tu ?
genre:sex
Ma fragile salope
Je me suis damné à attendre son regard,
Damné à attendre son corps.
Mon âme au diable pour son cul offert.
Ne riez pas, vous en auriez fait autant,
et signé de votre sang.
Elle pose ses mains sur ses fesses et s'ouvre à moi.
Des étoiles dans mes yeux.
Un monde orgasmique pur apparaît.
Il va être aussi profond qu'elle le souhaitera.
Aussi violent que sa resistance le lui permettra.
Selon ses désirs...
Je vais ouvrir en deux cette poupée de porcelaine.
genre:sex
Damné à attendre son corps.
Mon âme au diable pour son cul offert.
Ne riez pas, vous en auriez fait autant,
et signé de votre sang.
Elle pose ses mains sur ses fesses et s'ouvre à moi.
Des étoiles dans mes yeux.
Un monde orgasmique pur apparaît.
Il va être aussi profond qu'elle le souhaitera.
Aussi violent que sa resistance le lui permettra.
Selon ses désirs...
Je vais ouvrir en deux cette poupée de porcelaine.
genre:sex
samedi 17 avril 2010
La vicieuse
Viens t'asseoir sur mon dard enduit de vaseline
Car je connais tes goûts, ma vicieuse Line,
Et qu'il te faut sentir
Un gros membre enfoncé dans tes chairs élastiques,
Cependant que d'un doigt prompt à te divertir
Par-devant tu t'astiques.
Sur ce clou palpitant assise sans bouger,
Tu n'attends le plaisir que de ton doigt léger,
Mais sitôt qu'il s'amène,
Lancinant et rapide, infernal et profond,
Ton corps comme en fureur sur mon dard se démène
Pour l'entrer jusqu'au fond !
genre:sex
Car je connais tes goûts, ma vicieuse Line,
Et qu'il te faut sentir
Un gros membre enfoncé dans tes chairs élastiques,
Cependant que d'un doigt prompt à te divertir
Par-devant tu t'astiques.
Sur ce clou palpitant assise sans bouger,
Tu n'attends le plaisir que de ton doigt léger,
Mais sitôt qu'il s'amène,
Lancinant et rapide, infernal et profond,
Ton corps comme en fureur sur mon dard se démène
Pour l'entrer jusqu'au fond !
genre:sex
Je t’ai déshabillée
Je t’ai déshabillée
Tu es maintenant nue
Tes remparts sont ôtés
Je vois tes seins, ton cul !
Bon Dieu que tu es belle
Offerte à mon plaisir !
Promis tu seras celle
De nous deux qui va jouir !
J’ai pincé ton téton.
J’en avais très envie,
tu m’avais dit « c’est bon !
j’aime quand tu me pétris ! »
Plutôt que des caresses,
toutes douces, toutes légères
j’appuie, je pince, je presse,
je malmène ta chair.
J’ai mis mes doigts en toi,
Et je l’ai caressé
L’intérieur tout laqué
De ton antre de roi.
Sucé le clitoris,
Léché toutes tes lèvres
Ca m’a donné la fièvre
C’était un vrai délice !
Je t’ai pénétrée loin,
Je me suis enfoncé
Dans ton puits tout mouillé.
J’ai limé avec soin,
Vite et puis doucement,
Je rentrais je sortais
Ton plaisir arrivai :
Tu l’as dit en hurlant!
J’ai écarté tes fesses,
Tu voulais cette caresse.
Tu l’as plus qu’appréciée…
…Et je t’ai enculée !
Mon vit dans ton anus,
J’en avais tant rêvé,
C’est fort, c’est bien serré…
Du plaisir ! Encore plus !
J’ai pissé dans ta bouche
(On dépasse les limites).
Tu me suçais la bite
Je t’ai donné une douche !
J’aime tout tes fluides
Ta pisse et ta cyprine,
Tu bois tous mes liquides
Mon sperme et mon urine.
Ai-je fais ou rêvé
Tout ce que j’ai décris ?
Est-ce la réalité,
Etait–ce la vraie vie ?
Peu importe ! Je t’aime
Et je veux ton plaisir !
genre: sex
Tu es maintenant nue
Tes remparts sont ôtés
Je vois tes seins, ton cul !
Bon Dieu que tu es belle
Offerte à mon plaisir !
Promis tu seras celle
De nous deux qui va jouir !
J’ai pincé ton téton.
J’en avais très envie,
tu m’avais dit « c’est bon !
j’aime quand tu me pétris ! »
Plutôt que des caresses,
toutes douces, toutes légères
j’appuie, je pince, je presse,
je malmène ta chair.
J’ai mis mes doigts en toi,
Et je l’ai caressé
L’intérieur tout laqué
De ton antre de roi.
Sucé le clitoris,
Léché toutes tes lèvres
Ca m’a donné la fièvre
C’était un vrai délice !
Je t’ai pénétrée loin,
Je me suis enfoncé
Dans ton puits tout mouillé.
J’ai limé avec soin,
Vite et puis doucement,
Je rentrais je sortais
Ton plaisir arrivai :
Tu l’as dit en hurlant!
J’ai écarté tes fesses,
Tu voulais cette caresse.
Tu l’as plus qu’appréciée…
…Et je t’ai enculée !
Mon vit dans ton anus,
J’en avais tant rêvé,
C’est fort, c’est bien serré…
Du plaisir ! Encore plus !
J’ai pissé dans ta bouche
(On dépasse les limites).
Tu me suçais la bite
Je t’ai donné une douche !
J’aime tout tes fluides
Ta pisse et ta cyprine,
Tu bois tous mes liquides
Mon sperme et mon urine.
Ai-je fais ou rêvé
Tout ce que j’ai décris ?
Est-ce la réalité,
Etait–ce la vraie vie ?
Peu importe ! Je t’aime
Et je veux ton plaisir !
genre: sex
Ta présence qu’un jolie souvenir
A présent,l'amour s’endort sur l'ame fissurés
Et la lumière d'espoir vient les colmater
Seul à errer au dessus du coeur,tu l’observes
tu fais le tri de mes objets que tu conserve
Ta présence qu’un jolie souvenir
Quand tu vide la penderie de mes sentiments
L’appartement est bien grand pour mon avenir
Pour revivre je dois changer complètement ma vie
ces murs placardés de tes photos
Donner le coeur à baldaquin d’un amour consumé
réduit un soir de bonheur d’un coup
reprend le chemin pour un nouveau résumé
Maintenant,l'espoir s’endort et jaillit la lune
Tu lui as envoyé un jour cet amour charmant
dessiné des sourires comme une fortune
De vie,une histoire de belle au bois dormant
Souvent
L’amour dans mon ame n’était qu’un rêve
Où moments s’écroulent comme l'espoir
Une pyramide si légère de carton qui s’achève
Et au réveil il reste deux cœurs qui s’écoutent
toi et moi
genre:amour
Et la lumière d'espoir vient les colmater
Seul à errer au dessus du coeur,tu l’observes
tu fais le tri de mes objets que tu conserve
Ta présence qu’un jolie souvenir
Quand tu vide la penderie de mes sentiments
L’appartement est bien grand pour mon avenir
Pour revivre je dois changer complètement ma vie
ces murs placardés de tes photos
Donner le coeur à baldaquin d’un amour consumé
réduit un soir de bonheur d’un coup
reprend le chemin pour un nouveau résumé
Maintenant,l'espoir s’endort et jaillit la lune
Tu lui as envoyé un jour cet amour charmant
dessiné des sourires comme une fortune
De vie,une histoire de belle au bois dormant
Souvent
L’amour dans mon ame n’était qu’un rêve
Où moments s’écroulent comme l'espoir
Une pyramide si légère de carton qui s’achève
Et au réveil il reste deux cœurs qui s’écoutent
toi et moi
genre:amour
Ma vie...
Une larme à mes yeux, une bouffée de chaleur
Envahissent mon esprit et submergent mon coeur
Je pense à toi ma muse mon amour de ma vie
Tu me tiens contre toi et puis tu me souri
Ils sont tellements rares ces beaux et courts instants
Lorsque l'on parle d'amour avec son amant
Mais on ne peut s'empecher de les vouloir encore
Ces moments douloureux, cet amour si fort......
Est ce du à l'interdit ou juste par amour?
Que l'on souhaite souffrir, à jamais, pour toujours?
Suis je certaine de vouloir te garder à jamais?
Ou est ce juste une excuse pour me préserver?
Non mon amour...je t'aime et ne me preserve pas
Je te veux comme époux, jours et nuits dans tes bras
Je veux prendre soin de toi je veux te rendre heureux
Je veux crier au monde : OUI ON EST AMOUREUX
genre:amour
Envahissent mon esprit et submergent mon coeur
Je pense à toi ma muse mon amour de ma vie
Tu me tiens contre toi et puis tu me souri
Ils sont tellements rares ces beaux et courts instants
Lorsque l'on parle d'amour avec son amant
Mais on ne peut s'empecher de les vouloir encore
Ces moments douloureux, cet amour si fort......
Est ce du à l'interdit ou juste par amour?
Que l'on souhaite souffrir, à jamais, pour toujours?
Suis je certaine de vouloir te garder à jamais?
Ou est ce juste une excuse pour me préserver?
Non mon amour...je t'aime et ne me preserve pas
Je te veux comme époux, jours et nuits dans tes bras
Je veux prendre soin de toi je veux te rendre heureux
Je veux crier au monde : OUI ON EST AMOUREUX
genre:amour
j'ai besoin.....
J'ai besoin de tes yeux pour voir autour de moi
Pour pouvoir dire mots j'ai besoin de ta voix
J'ai besoin de tes bras pour tenir debout
J'ai besoin de ta langue pour avoir du gout -
J'ai besoin de tes levres pour pouvoir sourir
Et de ton coeur aussi pour ne pas mourir
J'ai besoin de ton souffle pour pouvoir respirer
Et besoin de tout toi pour ne pas sombrer. -
Jai besoin de ta vie pour construire la mienne
J'ai besoin de ton sang pour irriguer mes veines
J'ai besoin de tes mots pour me sentir belle
Et de tout ton amour pour pouvoir etre celle -
Celle que tu desire au plus profond de toi
Celle avec qui tu souhaite mourir à chaque fois
J'ai besoin mon amour que tu m'aime et m'ennivre
Pour enfin etre heureuse et commencer à vivre
genre:amour
Pour pouvoir dire mots j'ai besoin de ta voix
J'ai besoin de tes bras pour tenir debout
J'ai besoin de ta langue pour avoir du gout -
J'ai besoin de tes levres pour pouvoir sourir
Et de ton coeur aussi pour ne pas mourir
J'ai besoin de ton souffle pour pouvoir respirer
Et besoin de tout toi pour ne pas sombrer. -
Jai besoin de ta vie pour construire la mienne
J'ai besoin de ton sang pour irriguer mes veines
J'ai besoin de tes mots pour me sentir belle
Et de tout ton amour pour pouvoir etre celle -
Celle que tu desire au plus profond de toi
Celle avec qui tu souhaite mourir à chaque fois
J'ai besoin mon amour que tu m'aime et m'ennivre
Pour enfin etre heureuse et commencer à vivre
genre:amour
Déclaration
Je voulais te dire
Te dire que je t'aime
Du plus profond de mon coeur
Tu es ma flamme
Mon coeur bats pour toi
De mille étincelle
Je voulais te dire
Te dire c'est quelque mots
Pour te dire
Te dire que je t'aime
genre:amour
Te dire que je t'aime
Du plus profond de mon coeur
Tu es ma flamme
Mon coeur bats pour toi
De mille étincelle
Je voulais te dire
Te dire c'est quelque mots
Pour te dire
Te dire que je t'aime
genre:amour
Années mensonge
Toutes ces années vécues dans le mensonge ta pas honte de me faire ça
Comment tes yeux pourront regarder tout droit dans les miens
Tu t’es inventé une personnalité qui ne t’appartient pas
Tu n’a jamais était naturelle je le savait bien
Tu voulait être parfaite pff bien sur pour moi
Tu croyais me garder on me racontant des sottises
Tu ma poussé a mes limites j’ai voulu mourir
Tu ma brisé tu a tout détruit et malgré ça je t’ai pardonné
Mais ma confiance en toi s’est envolée je te crois plus chérie
genre:amour
Comment tes yeux pourront regarder tout droit dans les miens
Tu t’es inventé une personnalité qui ne t’appartient pas
Tu n’a jamais était naturelle je le savait bien
Tu voulait être parfaite pff bien sur pour moi
Tu croyais me garder on me racontant des sottises
Tu ma poussé a mes limites j’ai voulu mourir
Tu ma brisé tu a tout détruit et malgré ça je t’ai pardonné
Mais ma confiance en toi s’est envolée je te crois plus chérie
genre:amour
mes anges
loin de toi je ne vie pas
dans tes bras je suis a toi
tu es mon homme rien cas moi
et pour tous sa je t'aime tu vois
mais dans la nuit je suis a lui
dans la vie j'y suis aussi
mes de qui il s'agit
de mon fils, de ma vie
je l'aime et toi aussi.
genre:amour
dans tes bras je suis a toi
tu es mon homme rien cas moi
et pour tous sa je t'aime tu vois
mais dans la nuit je suis a lui
dans la vie j'y suis aussi
mes de qui il s'agit
de mon fils, de ma vie
je l'aime et toi aussi.
genre:amour
vendredi 16 avril 2010
JE N’AI RIEN A TE DONNER
Je n’ai rien à te donner sauf l’amour que j’ai en moi
Je n’ai rien à te donner sauf l’amour qui est né pour toi
Quand je t’ai vu pour la première fois
J’ai su que je ne peux vivre sans toi
Je veux te donner mon âme, ma tendresse, mon affection
Mes rêves fous et l’espoir de vivre une belle narration
Si tu es sincère comme je le suis
Notre nid d’amour sera un palais
Avec toi je serai forte et confiante
Je te donnerai mon âme caressante
Mon émoi qui est plus fort que toutes les tempêtes de l Univers
Je te comblerai comme personne ne l’a jamais fait mon grand prince
Je te jure amour et fidélité aussi longtemps que je vivrais
genre:amour
Je n’ai rien à te donner sauf l’amour qui est né pour toi
Quand je t’ai vu pour la première fois
J’ai su que je ne peux vivre sans toi
Je veux te donner mon âme, ma tendresse, mon affection
Mes rêves fous et l’espoir de vivre une belle narration
Si tu es sincère comme je le suis
Notre nid d’amour sera un palais
Avec toi je serai forte et confiante
Je te donnerai mon âme caressante
Mon émoi qui est plus fort que toutes les tempêtes de l Univers
Je te comblerai comme personne ne l’a jamais fait mon grand prince
Je te jure amour et fidélité aussi longtemps que je vivrais
genre:amour
c'est là que tout commence
c'est là que tout commence
Fleur de l’amour, fleur de l’envie
Une beauté qui te donne la vie
Quand fleuri cette tendresse au fond de ton cœur
Où ton amour aussi puissant détruit le malheur
Couleur du ciel, couleur de l’enfer
La rivière est en colère
Le vent se lève, fait place au silence
Et la couleur du ciel ternit, la pluie commence
Soleil d’hiver, soleil d’été
Vient bel homme de mes envies
Yeux bleus étincelant qui ne change jamais
Vient m’ouvrir ton jardin secret, au sein du paradis
Nuage gris, nuage blanc
Le printemps de notre amour
Où l’on sort, où l’on passe de bon moment
Où tes sentiments sont là et pour toujours
genre:amour
Fleur de l’amour, fleur de l’envie
Une beauté qui te donne la vie
Quand fleuri cette tendresse au fond de ton cœur
Où ton amour aussi puissant détruit le malheur
Couleur du ciel, couleur de l’enfer
La rivière est en colère
Le vent se lève, fait place au silence
Et la couleur du ciel ternit, la pluie commence
Soleil d’hiver, soleil d’été
Vient bel homme de mes envies
Yeux bleus étincelant qui ne change jamais
Vient m’ouvrir ton jardin secret, au sein du paradis
Nuage gris, nuage blanc
Le printemps de notre amour
Où l’on sort, où l’on passe de bon moment
Où tes sentiments sont là et pour toujours
genre:amour
l'impatient
Impatient que je suis !!
Tel un taureau, que je suis,
A nouveau dans l’arène de l’amour
Galopant, enfin libéré et réjoui
Je peux aimer au grand jour.
Ma toréador est là, me jaugeant
De sa muleta Cardin rouge
Ses mouvements amples sont encourageants ;
Un cris, et paralysé d’effroi, point je ne bouge
Son drapé carmin m’excite
M’approcher d’elle est mon désir
Je bondis avec vélocité
D’une passe je ne peux la saisir
Après suites d’esquives
Son regard se fait charnel
Ma surprise se mue craintive
Mon amour devient obsessionnel
J’avance, d’un pas elle recule
D’amour j’ai la rage
Atmosphère devient canicule
Oui, je veux l’ancrage
Lentement, devant mes yeux l’effilé lame
Je comprends, loin d’elle je dois être
A vouloir la serrer de trop près on court au drame
Elle s’enfuira par la fenêtre.
Amour charnel pour l’instant
Amour passion ne va qu’un temps
Amour union de temps en temps
Amour en liberté tout le temps
Mais je l’aime tant !!
genre:amour
Tel un taureau, que je suis,
A nouveau dans l’arène de l’amour
Galopant, enfin libéré et réjoui
Je peux aimer au grand jour.
Ma toréador est là, me jaugeant
De sa muleta Cardin rouge
Ses mouvements amples sont encourageants ;
Un cris, et paralysé d’effroi, point je ne bouge
Son drapé carmin m’excite
M’approcher d’elle est mon désir
Je bondis avec vélocité
D’une passe je ne peux la saisir
Après suites d’esquives
Son regard se fait charnel
Ma surprise se mue craintive
Mon amour devient obsessionnel
J’avance, d’un pas elle recule
D’amour j’ai la rage
Atmosphère devient canicule
Oui, je veux l’ancrage
Lentement, devant mes yeux l’effilé lame
Je comprends, loin d’elle je dois être
A vouloir la serrer de trop près on court au drame
Elle s’enfuira par la fenêtre.
Amour charnel pour l’instant
Amour passion ne va qu’un temps
Amour union de temps en temps
Amour en liberté tout le temps
Mais je l’aime tant !!
genre:amour
pour toi l'ange égternel !!
c'est un ange!il porte le mon du prophéte.
fier et il en n'a dans la tete!
il ne joue pas avec les mots!
il écrit tout sur le tableau!
il quittera son bateau pour etre à mes cotés.
pour que je coule pas
car je sais pas nager..
c'est un ange! parmi d'autre!
mais c 'est a lui seul, que je déclare ma flamme!
avant qu'il m'enflamme!
et me brule avec ces l'armes!
c'est un ange!qui m'aime!
à qui je prise mes chaines!
car il compte pour moi et je l'aime!!!....
genre:amour
fier et il en n'a dans la tete!
il ne joue pas avec les mots!
il écrit tout sur le tableau!
il quittera son bateau pour etre à mes cotés.
pour que je coule pas
car je sais pas nager..
c'est un ange! parmi d'autre!
mais c 'est a lui seul, que je déclare ma flamme!
avant qu'il m'enflamme!
et me brule avec ces l'armes!
c'est un ange!qui m'aime!
à qui je prise mes chaines!
car il compte pour moi et je l'aime!!!....
genre:amour
Coule en moi ce doux parfum d’innocence
Coule en moi ce doux parfum d’innocence
Qui m’empreint d’une douceur
Opiné
Coule en moi ce parfum de jouvence
Ambré parfumant avec délicatesse
Mes cheveux imbibés
Coule en moi ce parfum de quiétude
Sérénité d’un chant mélodieux
En ma peau envoûté
Coule en moi ce parfum de servitude
D’un corps embaumé en mes vices
Cachés
Coule en moi ce parfum d’abondance
Cette félicité en tes charmes
Cloîtrés
Coule en moi ce parfum de suffisance
Cette envie d’assouvir de combler
Tes prières exaucées
Coule en moi ce parfum d’impertinence
Cet enchantement de tes sens
Dévoilés
Coule en moi ce parfum de doléances
Cette complainte indolore
En ta peau dénudé
Coule en moi ce parfum de désir
Cette envie subite de vouloir
T’effleuré
Coule en moi ce parfum
Ce doux soupir sur nos chairs
Enchevêtré
Coule en moi ce parfum
De mélisse de nos corps
Dénudés
Coule en nous ce parfum
Odorant de nos corps
Entrelacés
Coules en nous ce parfum
D’avarice cette luxure innée
De nos corps mélangés…
genre:amour
Qui m’empreint d’une douceur
Opiné
Coule en moi ce parfum de jouvence
Ambré parfumant avec délicatesse
Mes cheveux imbibés
Coule en moi ce parfum de quiétude
Sérénité d’un chant mélodieux
En ma peau envoûté
Coule en moi ce parfum de servitude
D’un corps embaumé en mes vices
Cachés
Coule en moi ce parfum d’abondance
Cette félicité en tes charmes
Cloîtrés
Coule en moi ce parfum de suffisance
Cette envie d’assouvir de combler
Tes prières exaucées
Coule en moi ce parfum d’impertinence
Cet enchantement de tes sens
Dévoilés
Coule en moi ce parfum de doléances
Cette complainte indolore
En ta peau dénudé
Coule en moi ce parfum de désir
Cette envie subite de vouloir
T’effleuré
Coule en moi ce parfum
Ce doux soupir sur nos chairs
Enchevêtré
Coule en moi ce parfum
De mélisse de nos corps
Dénudés
Coule en nous ce parfum
Odorant de nos corps
Entrelacés
Coules en nous ce parfum
D’avarice cette luxure innée
De nos corps mélangés…
genre:amour
L'objet de ses songes
Quand j’espère que ses dons sont des dérivatifs
Que mes yeux ne se ferment que pour croire aux soupirs
Que son être oblatif m’offrirait en souvenir,
Quand j’espère cela, il me semble être en vie.
Elle est douce pour mon âme, une âme sœur sans égale,
Une fontaine d’amour ne se trouvant nulle part
Qu’à présent, en présent, pour mon cœur firmament
En son sein elle fait naître des étoiles envoutantes.
Pour toujours partisan des envies d’affection
Je ne regrette aucune des actions de passion
Qui me poussèrent vers elle, pour elle, et par ses dons
Je connus le bonheur d’être l’objet de ses songes.
Quant au jeu d’émotions auquel on s’est livré
Ce matin ou ce soir, hier, dans un passé,
Ils enchantent nos rêves, des images sont laissées
Par nos âmes, les mémoires de ces temps achevés.
genre:amour
Que mes yeux ne se ferment que pour croire aux soupirs
Que son être oblatif m’offrirait en souvenir,
Quand j’espère cela, il me semble être en vie.
Elle est douce pour mon âme, une âme sœur sans égale,
Une fontaine d’amour ne se trouvant nulle part
Qu’à présent, en présent, pour mon cœur firmament
En son sein elle fait naître des étoiles envoutantes.
Pour toujours partisan des envies d’affection
Je ne regrette aucune des actions de passion
Qui me poussèrent vers elle, pour elle, et par ses dons
Je connus le bonheur d’être l’objet de ses songes.
Quant au jeu d’émotions auquel on s’est livré
Ce matin ou ce soir, hier, dans un passé,
Ils enchantent nos rêves, des images sont laissées
Par nos âmes, les mémoires de ces temps achevés.
genre:amour
je sais plus
j'abandonne mes écris
j'ais plus la force de me battre
cet amour trop puissant
il me désarme avec mes larmes
trop fort je suis éreinté
je larque les amares pour un nouveau port
ma peine est immence
abandonner nulle part
jais plus de repère
je sais plus dire je vous aime
je sais plus lui dire laisse moi
vis ta vie je sais plus .
genre:amour
j'ais plus la force de me battre
cet amour trop puissant
il me désarme avec mes larmes
trop fort je suis éreinté
je larque les amares pour un nouveau port
ma peine est immence
abandonner nulle part
jais plus de repère
je sais plus dire je vous aime
je sais plus lui dire laisse moi
vis ta vie je sais plus .
genre:amour
la jalousé des femmes
la jalousé des femmes
Le jour ce lève
Elle ma dis bonjour
Je lui dis je t’aime
Elle ma dis menteur
Ou vous été hier
Au pris de toi je dore
Non je ne parle pas de toi Je parle de ton cœur
Pardonne moi ma chère, il été ailleurs
Contente-toi de moi, tu a tout mon corps
C’est l’amour glacé, que je sens encor
Qui est cette femme là, que tu lui achète des fleurs
Ne dit pas sa ma chère, je t’aime très fort
Oui je suis amoureux d’une autre, un amour si fort
Je sens mon cœur ce déchire, et mes yeux qui pleurs
Dis-moi qui est-elle, tu ma fais très peur
Je ne peu pas tenir, je vais devenir folle
Celle que mon cœur aime
Elle a pris mon âme
Et toi mon amour
Tu a la jalousé des femmes
Stp parle-moi d’elle
Et je te promis de resté calme
Elle a la beauté et le charme
Elle est comme une petite rose éclaté
Elle est ma patience et ma volonté
Et je sens la joie quand elle est a mes coté
Elle est mon honneur et ma fierté
Elle est mon amour elle a tout ma fidélité
pardonne moi ma chère ne soit pas inquiété
C’est ma fille que j’aime
Et j’attends toujours qu’elle soit a mes cotés
genre:amour
Le jour ce lève
Elle ma dis bonjour
Je lui dis je t’aime
Elle ma dis menteur
Ou vous été hier
Au pris de toi je dore
Non je ne parle pas de toi Je parle de ton cœur
Pardonne moi ma chère, il été ailleurs
Contente-toi de moi, tu a tout mon corps
C’est l’amour glacé, que je sens encor
Qui est cette femme là, que tu lui achète des fleurs
Ne dit pas sa ma chère, je t’aime très fort
Oui je suis amoureux d’une autre, un amour si fort
Je sens mon cœur ce déchire, et mes yeux qui pleurs
Dis-moi qui est-elle, tu ma fais très peur
Je ne peu pas tenir, je vais devenir folle
Celle que mon cœur aime
Elle a pris mon âme
Et toi mon amour
Tu a la jalousé des femmes
Stp parle-moi d’elle
Et je te promis de resté calme
Elle a la beauté et le charme
Elle est comme une petite rose éclaté
Elle est ma patience et ma volonté
Et je sens la joie quand elle est a mes coté
Elle est mon honneur et ma fierté
Elle est mon amour elle a tout ma fidélité
pardonne moi ma chère ne soit pas inquiété
C’est ma fille que j’aime
Et j’attends toujours qu’elle soit a mes cotés
genre:amour
les larmes les plus belles sont celles de l'amour
Défi l'intolérance
Qui nourrit cette violence
Petit coeur en souffrance
Prends de la distance
Dénonce cette démence
cette brutalité n'a pas de sens
Brise ce silence
Et tu retrouveras la confiance
Pourquoi s'adonner à tant de haines
Quant oon ne sait plus dire je t'aime
Trouve issue, sors de cette galére
Tu ne peux rester dans cette misère
Mais qu'as tu fait de si important
Pour vivre ce présent
Tu ne peux tolérer ces châtiments
Digne d'un autre temps
Captivée, passionnée
Par cet espace de liberté
Tu voulais juste papoter
Mais le chat ne t'a pas préservée
J'ai envie de pleurer
De te voir si éprouvée
Donnes un sens à la vie
Implores le, je t'en supplie
Sors de cette solitude, cette errance
Rejaillies par ta présence
Vogues vers d'autres expériences
Plutôt que jouer l'abtisence
Croques la vie à pleines dents
Tu doit foncer maintennant
Captes la chaleur de tes amis
Et metes-toi vite en appétit
Il ya tant de chemins
De croisées, de destins
Il y aura d'autres jardins
A cultiver, oui demain
Demain, le soleill brillera
Ton sourire s'illuminera
Tu sais que je suis toujours là
Viens ronronner dans mes bras
Savoir comment je t'aime
En amour ou en amitié
Ce n'est pas le problème
L'essentiel, c'est que tu qois dans mes pensées
genre:amour
Qui nourrit cette violence
Petit coeur en souffrance
Prends de la distance
Dénonce cette démence
cette brutalité n'a pas de sens
Brise ce silence
Et tu retrouveras la confiance
Pourquoi s'adonner à tant de haines
Quant oon ne sait plus dire je t'aime
Trouve issue, sors de cette galére
Tu ne peux rester dans cette misère
Mais qu'as tu fait de si important
Pour vivre ce présent
Tu ne peux tolérer ces châtiments
Digne d'un autre temps
Captivée, passionnée
Par cet espace de liberté
Tu voulais juste papoter
Mais le chat ne t'a pas préservée
J'ai envie de pleurer
De te voir si éprouvée
Donnes un sens à la vie
Implores le, je t'en supplie
Sors de cette solitude, cette errance
Rejaillies par ta présence
Vogues vers d'autres expériences
Plutôt que jouer l'abtisence
Croques la vie à pleines dents
Tu doit foncer maintennant
Captes la chaleur de tes amis
Et metes-toi vite en appétit
Il ya tant de chemins
De croisées, de destins
Il y aura d'autres jardins
A cultiver, oui demain
Demain, le soleill brillera
Ton sourire s'illuminera
Tu sais que je suis toujours là
Viens ronronner dans mes bras
Savoir comment je t'aime
En amour ou en amitié
Ce n'est pas le problème
L'essentiel, c'est que tu qois dans mes pensées
genre:amour
Mon bien aimé est malade
Mon bien aime est malade
Il a besoin de moi
Pour lui tenir compagne
Dans ces nuits profondes
Le mal le surprend
La fièvre et la douleur
Sont ces maitres pour cette nuit
Je dois soulager sa souffrance
Et apaiser ces douleurs
Je serai prés de lui
Avec ma longue je lècherie tout son corps
Pour faire disparaitre la fièvre qui l’enflamme
Avec mes deux mains je lui prendrai dans mes bras
Pour qu’il boit ma tendresse
Avec mes baisers je calmerai ces battements de cœur
Avec mes morsures je lui injecte des doses d’adoucissant qu’il lui manquait
Avec mon Corps nu de déesse je me mettrai entre lui
Pour lui dégager ces cris de douleur
Oh un instant il souri il n’a plus mal
Sauf le mal de l’amour qui l’éprouve pour moi
genre:amour
Il a besoin de moi
Pour lui tenir compagne
Dans ces nuits profondes
Le mal le surprend
La fièvre et la douleur
Sont ces maitres pour cette nuit
Je dois soulager sa souffrance
Et apaiser ces douleurs
Je serai prés de lui
Avec ma longue je lècherie tout son corps
Pour faire disparaitre la fièvre qui l’enflamme
Avec mes deux mains je lui prendrai dans mes bras
Pour qu’il boit ma tendresse
Avec mes baisers je calmerai ces battements de cœur
Avec mes morsures je lui injecte des doses d’adoucissant qu’il lui manquait
Avec mon Corps nu de déesse je me mettrai entre lui
Pour lui dégager ces cris de douleur
Oh un instant il souri il n’a plus mal
Sauf le mal de l’amour qui l’éprouve pour moi
genre:amour
En vous...
De votre être émane cette protection
De votre être émane cette intention
Si fragile et pourtant conquérant
Si fragile et pourtant avenant
Si fragile et pourtant souriant
Complainte solitaire de vos douleurs encrées
Complainte solitaire de vos douleurs parsemées
Complainte solitaire de vos douleurs décimées
En vous sommeille cette fragilité
En vous sommeille l’amour
En vous sommeille soupir
En vous sommeille droiture
En vous sommeille l’envie
De bâtir de vivre une autre vie
Maladresse de vos mots
Maladresse de vos gestes
Maladresse de vos ivresses
Un homme sans une femme n’est que peut de chose
Une femme sans un homme n’est que peut de chose
En vous sommeille cette force
En nous espoir d’amour
En vous délice de toujours ….
genre:amour
De votre être émane cette intention
Si fragile et pourtant conquérant
Si fragile et pourtant avenant
Si fragile et pourtant souriant
Complainte solitaire de vos douleurs encrées
Complainte solitaire de vos douleurs parsemées
Complainte solitaire de vos douleurs décimées
En vous sommeille cette fragilité
En vous sommeille l’amour
En vous sommeille soupir
En vous sommeille droiture
En vous sommeille l’envie
De bâtir de vivre une autre vie
Maladresse de vos mots
Maladresse de vos gestes
Maladresse de vos ivresses
Un homme sans une femme n’est que peut de chose
Une femme sans un homme n’est que peut de chose
En vous sommeille cette force
En nous espoir d’amour
En vous délice de toujours ….
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