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vendredi 19 mars 2010

petite fleur de vie,mon petit papillon d'amour....

Bonjour ma petite Fleur de vie, mon petit Papillon d’Amour, J’ai pas mal veillé, peut-être trop même, 7h10 a.m et je suis encore là à écouter, et encore les trois chansons, une après l’autre consécutivement. Je cherches un moyen de faire sortir tout ça, je cherches à comprendre encore comment se fait-il que je sois rendu au point de non retour, comment se peut-il que sans même le vouloir, mon orgueil soit à un point tel démembré que même la fuite ne me servirai plus à rien. J’écoute encore et le temps passe tellement doucement, tellement rapidement, j’essai juste de ne pas y penser, j’essai juste d’oublier un petit trente secondes, juste d’essayer un peu, tout recommence, tout reviens, l’estomac dans la fournaise tellement elle se referme, le coeur au gallot tellement fort, que je me demande bien si il ne me lâcherai pas avant son temps. Tu sais Judy, à écouter tout les paroles qui se disent, si tu réussis à faire adéquatement le rapprochement, je n’ai pas tout à fait réussi ça encore de la bonne façon, j’analyse peut-être trop tout avec un oeil positif mais le fait de prendre conscience de l’ampleur de ce qui arrive, je devrais probablement me prendre un billet pour la prochaine mission de la super Navette spatiale et aller me perdre dans le néant de façon très perdu, être de façon permanente à l’abri de tout ça au cas ou tout pétarderait de façon intermittente jusqu’au jour ou ma mort ferait volte-face... Mais non, sans risque possible que je prenne une telle décision, sans risque possible que je me décline. Prendre du temps comme je le fais, enivré par chacun de mes souvenirs, enivré par chacune de mes pensées qui me rappellent ton souvenir, la fébrilité au point culminent... Rien ne sera jamais plus réel, rien ne sera jamais plus vrai et à en juger de tout ce qui me rappel, de ne rien laisser pour contre, aucun risque à prendre surtout pas celui de laisser tomber et commencer à fraterniser avec les anges. Qu’elle erreur ferions-nous? Qu’elle sorte de monde ferai une telle chose... Rien devant ou derrière nous ferait faire en sorte que tout se passe comme tu en as si peur, rien de ce que tu peux imaginer pourrais venir mettre en péril tout ce que nous avons, autant la vision de ce que nous représentons l‘un envers l‘autre, autant les papillons, autant l’affection, j’irai encore plus loin que tout ça, j’irai même jusqu’à dire que rien de ce que tu peux imaginer, penser ne viendrai mettre en péril nos plus grandes discussions, pour un sujet ou un autre... autant pour l’Amour Judy... Autant pour la haine. Je suis certain de moi, et je suis très certains d’après ce que tu me fais comprendre à travers tout ce que tu me présentes comme truc. En commençant par tes paroles, même si tu ne dis pas grand choses de face, certains écrits que tu laisses apparaître à mon écran parlent d’eux même, les petits mots cachés dans le fond de tes yeux quand je l’est regarde, chaque petit geste Judy est aussi révélateur que tes paroles... Et plus que j’en aurai jamais espérer, tout ce qui a fait le « BANG » là ou sa fait mal... Mais avant, dit moi pourquoi tu as voulu me faire savoir tout ça? Pourquoi me laisser pénétrer aussi profond dans l’inimaginable? Pourquoi vouloir me faire souffrir si en partant tes intentions n’étaient pas fondés? Désolé pour ses questions et surtout la façon qu’elles sont dites, ne m’en veut pas pour ça, ce n’est pas prétentieux, j’ai juste pas trouvé autre chose pour demander... Ou sa fait mal... Énormément en plus... Il y a longtemps, souvient toi de ce temps quelques secondes, non prend quelques minutes pour y retourner... Si tu es là comme je suis, si nous sommes comme ça, il y avait jadis tout ça, de façon plus étroite, moins évolutives mais présente. Souviens toi de tout ça comme c’était, souviens toi de toutes ses journées ou le temps nous permettait d’être unis.. De comparaison à aujourd’hui, c’est la seule différence qui existe, la permission du temps accordé te laissait amplement le libre choix. Aujourd’hui tout ça est permis, tout ça se frotte à toi comme tu l’as imaginé dans tes rêves les plus fous, tout ça fera en sorte que tu puisses desserrer les poings, tout ça, tout ce qui vie en toi, tout ces papillons, toutes cette fébrilité, les ailes te sortent doucement pour que tu reprennes ton envole, tout ton monde de rêve est à ta portée, la pour toi mais tu t’objectes à voir tes rêveries de façon à ce qu’elles reprennent la place, tu t’objectes à tes désirs, à tes passions, à tes amours, à moi-même... Il y a longtemps Judy, tu laissais sombré volontairement pour en oublier les biens fait que je pouvais jadis t’apporter si intensément pour pouvoir continuer d’avancer mais tu as fait en sorte qu’aujourd’hui tout ce que tu avais mis aux oubliettes, tout ce que tu avais gardé enfouie dans tes rêve depuis tes 11 ans... Si je suis là aujourd’hui, deux seules raisons y sont en causes, toi et moi... Tu voudrais prendre le temps de respirer, tu voudrais réapprendre à voler, tu voudrais t’accrocher à un rêve devenu réalité, tu voudrais franchir toutes tes limites à ce que tu te libères de tes peurs, tu voudrais réaliser le rêve... La seule chose que tu puisses, la seule chose possible qui soit pour toi, si tu veux vraiment en arriver à la fin de cette quête, si tu veux en arriver à un résultat plus que parfait... Cela serai de dire en ce jour, aussi véridique que réel, serai de te dire c’est à moi, c’est la seule chose que tu me dois et... Loin d’être la seule que je te devrai à ce jour. Récapitulons sur nos, sur tes craintes, ce que tu crois le plus plausible sur le déroulement de la situation, sur le développement accéléré, inattendu de ce qui est.. T’imagine un peu, toi qui savait déjà un peu à quoi t te retrouver devant moi, tu avais déjà idée que tes vieux fantômes viendrai de nouveau hanter ta vie sous toutes les formes qui soient. Tu savais ça et tu as quand même emboîté le pas d’une telle agressivité, d’une telle détermination que tu n’as pu t’empêcher de tomber, bien ancré à mon cou, bien ancré à ce que je suis, bien ancré à tout ce que je t’apporte. J’ai eu froid, j’en ai eu chaud, de sueur froide à en suer de chaleur, m’avancer tout doux sur ce que je ne croyais pas de si fragile, de si accessible, de si volcanique... Je m’attendais déjà à quelque chose d’assez spéciale, quelque chose de nouveau dans ma vie, quelque chose d’inusité, quelque chose d’explosif mais, continuons... Peu à peu, comme nous le faisions, je me laissais tenter un peu plus chaque fois, de découverte en découverte la tentation me surprenait à chaque fois et de plus en plus tu venais m’enjouer me faisant amoureux un peu plus de jour en jour. En continuant comme entamé, chaque jour je voulais en savoir un peu plus tout le temps sur toi, que tu me dises ce que tu étais, que tu me montre comment tout ça était, que tu me dises entre les lignes tout des démons du passé, j’a voulu en savoir encore d’avantage, comme si plus rien ne suffisait, comme si tout suffisait, une soirée rempli de tout ce qu’on aurai voulu avoir auparavant, toute cette douceur, toute ses caresses, tout cet amour, cette passion, tout ce qui a réussi cette nuit la est venue chercher en moi encore plus loin cette sensation qui jadis aurai du être mais, faut croire que tu es la seule à avoir trouvée comment, la seule à me rendre impuissant face à un regard, la seule à me faire perdre toutes idées conçues d’avance pour en exploiter le meilleur du moment, la seule à me faire oublier les raisons de l’enfouissement profonde de ce qu’on appel l’amour véritable, celui qui brûle en dedans, celui qui fait perdre toute notion, celui qui s’acharne à vouloir sortir, la seule à avoir réussi à me faire taire pour écouter cette grande réalité qui, le temps de 3:58sec est venue agir comme une bombe hydro-h sur mes souvenirs, un 3:58sec qui est venue bouleverser mon monde, un 3:58sec qui... Loin de ce que j’aurai pu imaginer, la perte de contrôle a été la totale, le souffle couper à chaque écoute, le sang en feu dans les veines, plus rien ne trouvera d’importance, ce brouillard venant faire éclat dans mes yeux, écouter encore et encore sans arrêt, je ne cesse de penser à toi, j’ai le coeur qui explose à chaque battement, j’ai la tête qui oublie tout ce qui existe le temps que je reprennes conscience du temps. Avec tes dires cachés aux travers les paroles de ses chansons, il est maintenant trop tard, j’ai pris conscience plus que le temps peut me faire faire, tu m’as ouvert « l’esprit » à ne plus savoir comment le fermer, ouvert a pleine grandeur, chaque fois tu entres un peu d’avantage et un peu plus a chaque fois, ce qui en résulte en quelques mots.. Mais que je prendrai les soins de te dire ça, que cela soit dit à ton oreille attentive et excitée à l’idée de se faire dire... Aujourd’hui je comprend, comme tu sais déjà, je comprend toutes tes peurs, je comprend toutes tes craintes, je comprend très bien ce que tu vie mais... Je me vois désolé de dire, mais aujourd’hui, la douleur serai inévitable et essayer de comprendre ce qui te fait peur comme ça, je serai plus du genre à mettre l’accent sur autre chose, j’irai plus à me demander si demain je réussirai à me passer de toi, je me demanderai plus si ta perte serai ma gloire ou si je m’y perdrai aussi, je serai plus porté a vouloir encore, que se soit ainsi demain, et encore pour des siècles à venir alors pour une chose, une seule que je perdrai pas trop de temps à t’expliquer, je fais très simple dans ce que tu croyais, dans ce que tu crois sûrement encore mais t’en viens à me faire prendre conscience de trop de choses vivantes en dedans, tu me fais aimer, tu me fais sentir aimé comme je n’aurai jamais osé vouloir, tu m’apporte tant d’inconnu en dedans... Tu sais Judy...
À l’aube de toutes les douceurs Tout n’est que soleil et bonheur On s’est trouvé on s’est connu
Et brûle le feu de nos débuts Nos lignes de cœur, nos lignes de vie Je t’ai juré, tu m’as promis
Et quand tu t’endors dans nos draps Desfois j’ai peur, je m’dis tout bas Que si demain j’étais ton doute Si tu n’me vois plus sur ta route Avant qu’tu n’ralentisses le pas Quand tu reviens sous notre toît Me l’diras-tu même si ça coûte C’est la seule chose que tu me dois Si t’as plus envie d’ma musique Et que tu danses sur d’autres rythmes Si tu as chaud dans d’autres bras
J’veux être le premier qui saura Et pour que l’on se sauve à temps, Pour éviter Le Grand Tourment Il me faut tout savoir de toi C’est la seule chose que tu me dois Avant les larmes, avant les autres Avant qu’on ne cherche à qui la faute M’aimeras-tu assez pour me dire Assez pour me laisser partir Seras-tu prête à tout risquer Jouer ton avenir pour me sauver Fais-moi confiance, j’t’en voudrai pas C’est la seule chose que tu me dois.....
Maintenant tu vois, chacun notre tour, chacun nos craintes mais chacun notre vouloir... Tu voudrais te sauver tandis que je voudrai t’aimer.. Tu ne prendrais pas le risque de perdre ce que tu as de façon à le perdre tout de même d’une autre façon, tandis que je ne laisserai pour rien aux monde quiconque venir s’interposer entre nous de façon catégorique, de façon à ne jamais perdre tout ce qu’on a, tu « voudrai » tant vivre tes rêves les plus fous comme ils sont tandis que je VEUX le faire, je VEUX vivre tout ça avec toi....
Je voudrai tant t’aimer comme je le peux,


genre:declaration d'amour

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