le soir lentement arrive
le moment fatidique aussi
j'aimerai pourtant le proscrire
mais cela fait parti de la vie
j'aimerai pourtant avoir le plaisir
d'offrir sans dégout mon corps à l'homme de ma vie
malgrès mes nombreux efforts ça ne reste que désir
car ce mal subit me fait oublier cette envie
les maux de mon géniteur
s'atténue mais me bloque
pourquoi n'était-il pas protecteur
pour que sur ce point je ne soit pas une loque
les caresses et baisers du daron
contre son amour et sa tendresse
j'aimerai qu'il me demande pardon
pour m'offrir avec bonheur et délicatesse
à cause de lui mon mari subit
comment faire pour m'ouvrir à lui
sans que cette peur envahisse ma vie
comme une femme qui n'a rien en elle de détruit
genre:oser
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