Quelque velours est là, depuis saints instants,
Dans ce lit de passion ou ton coeur s'étend,
La gaterie de mon âme ne fus jamais rassasiée
Autant que ce soir, ou mon coeur se tais
Au rythmes de la nuit et d'une colère amusée.
Quelques ébats, quelques rêves argentés
Au coeur du dit "amour", ne purent s'empecher,
De pousser tes jambes, divine candeur
Et d'entrer en toi, parfum de bonheur
Pour aimer sans aimer et ne pas oublier.
Les cigarettes a la main, l'adrénaline au coeur,
Mélés au sang et a la chair, au gouffre de chaleur
Frémissant aux ondes des sombres plaisirs privés
Emportant d'un souffle toute insalubrité,
S'envolant au gré de chair ensanglantée.
Morts un a un, ou l'un dans l'autre,
Le rêve en est mort, il n'est plus le notre.
Il n'as jamais été, et n'as pu exister
Quand a notre âme nous nous sommes tués
Et a aucun instant nous nous fumes aimés.
genre:oser
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