Sans toucher aux convictions,
Il ne saurait être autrement
Ou tue l’espoir, on tue l’homme
On tue le garçon, on tue le môme,
Mais jamais aucune balle
N’a tué la liberté d’expression.
L’écrit, ce besoin d’évasion
Ultime refuge des aèdes,
Pour mettre l’autre moi
Dans un sentiment de bien-être
Qui ouvre une fenêtre
Sur le monde extérieur
Pour vivre heureux avec soi.
La plume rebelle, tenace,
Dénonce le mal vivre,
L’insouciance de l’homme
S’amourache du téméraire,
Pour rendre hommage
A ceux qui sont mort
Pour la liberté d’expression.
genre:haine
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