Mes yeux sont clos par l’acide amère
Mes larmes sont celle du désert
Aucune sentiment ne me touche
Laissant mon coeur si farouche
La pitié me fait halluciné dans un fou rire
Je termine la vie d’une personne qui ne sait que subir
La peur, ne change aucun trait de mon visage si froid
Je l’utilise pour répendre l’éffroi
La sueur, je la crache sur la tombe de mes victimes
Leur rappelant la course de mon crime
La liberté, je l’emprisonne de mes fantasmes
Je l’étouffe, je la serre jusqu’a la crise d’asme
La femme, je la vole puis la viole avec mon regard mesquin
Dans ma jouissance, je fais couler son sang entre ses seins
L’homme, je m’amuse simplement à retracer sa fuite
Dans l’élan, je l’égorge pour libérer ma haine subite
Ainsi, sans conscience empéchant ma traversée
Je continu à étendre le sang dont je révais
Poussant l’autoriété à être présent
Que sur des corps à trous ou de membres manquants.......
Pensez qu’ils y’a des gens comme ça
Qu’ils sont présents dans votre propre nation
Peut être votre région, votre département, votre ville d’habitat
Votre quartier, ou même peut être......dans votre maison
genre:haine
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