Le vert été est tellement tranquille
Devenu, ton visage de cristal.
À l’étang du soir sont mortes les fleurs,
Un cri de merle paniqué.
Vain espoir de vie ! déjà se dispose
Au départ l’hirondelle du foyer,
Et le soleil sombre sur la colline ;
Déjà la nuit propose un chemin d’astres.
Calme des villages ; autour résonnent
Les forêts abandonnées. Cœur,
Penche-toi, désormais plus amoureux,
Au-dessus de la sereine endormie.
Le vert été est tellement tranquille
Devenu, et le pas se fait entendre
De l’étranger parmi la nuit d’argent ;
Qu’une bête bleue pense à ses brisées,
Au bon écho de ses ans spirituels !
genre:autre



















Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire