Cousin, cousine

Je m'appelle Sabine

Je ne suis plus une gamine
Je ne paie pas de mine
Mais je suis un peu libertine
Ma peau est couleur praline
Un peu comme les transalpines
Je suis épaisse comme une sardine
Mais avec une forte poitrine
En vacances d'été à Trémoulines
Je dansais une petite biguine
Avec mon cousin Nourredine
J'avais forcé sur le bibine
J'étais chaude comme une lapine
Collée, je sentais durcir sa pine
Aussi dure qu'une cartouche de chevrotine
On se donna rendez vous le soir chez tantine
Dans le couloir de nos chambres voisines
Je me faufilais comme une clandestine
Vétue legèrement d'une popeline
Lui sortait de sa douche et sa cabine
Moi je me léchais déja les babines
En voyant le tube de vaseline
Dans sa petite chaumine
Je me fis douce et calîne
Je ressentis une joie divine
Quand dans ma grosse turbine
Il m'envoya sa substance couleur opaline
Ce soir la comme dans un loft, nous avons finis nos ébats dans la piscine

genre:erotisme